Voilà 40 ans que les Comores ont arraché l'indépendance à la France pour retrouver leur liberté et leur souveraineté. Cette Indépendanc...
Voilà 40 ans que les Comores ont arraché l'indépendance à la France pour retrouver leur liberté et leur souveraineté.
Cette Indépendance n est toutefois pas achevée, entre le contentieux de Mayotte et les dizaine de milliers de morts du visa Balladur, l'incompétence d'autorités comoriennes budgetivores et de plus en plus corrompues, incapables au bout de quatre décennies de proposer au Comorien lambda l eau courante, l électricité, un système de santé digne de ce nom, une éducation performante, des prix accessibles pour les produits de première nécessité ou encore une justice équitable et pour tous, il était plus que nécessaire pour les 200 000 Comoriens qui vivent en France - entre Marseille, Lyon, Le Havre, Dunkerque, Nice, Paris ou La Courneuve de faire un bilan.
D'autant plus que dans un an, des élections présidentielles se profilent en 2016 et la découverte de gisements de pétrole au large de notre archipel, le manque cruel de patriotisme des dirigeants comoriens comme le retour du séparatisme insulaire à Ngazidja comme à Ndzouani nous oblige à poser les vraies questions, les vrais enjeux.
Car sans Unité, Solidarité et Développement et Vision du futur entre Comoriens, nous nous condamnons à mort, à être partagé et démembré par ceux qui nous convoitent depuis si longtemps et ils sont de plus en plus nombreux. Nous voulons demeurer debout, libre et acteur de notre destinée.
Cette Indépendance n est toutefois pas achevée, entre le contentieux de Mayotte et les dizaine de milliers de morts du visa Balladur, l'incompétence d'autorités comoriennes budgetivores et de plus en plus corrompues, incapables au bout de quatre décennies de proposer au Comorien lambda l eau courante, l électricité, un système de santé digne de ce nom, une éducation performante, des prix accessibles pour les produits de première nécessité ou encore une justice équitable et pour tous, il était plus que nécessaire pour les 200 000 Comoriens qui vivent en France - entre Marseille, Lyon, Le Havre, Dunkerque, Nice, Paris ou La Courneuve de faire un bilan.
D'autant plus que dans un an, des élections présidentielles se profilent en 2016 et la découverte de gisements de pétrole au large de notre archipel, le manque cruel de patriotisme des dirigeants comoriens comme le retour du séparatisme insulaire à Ngazidja comme à Ndzouani nous oblige à poser les vraies questions, les vrais enjeux.
Car sans Unité, Solidarité et Développement et Vision du futur entre Comoriens, nous nous condamnons à mort, à être partagé et démembré par ceux qui nous convoitent depuis si longtemps et ils sont de plus en plus nombreux. Nous voulons demeurer debout, libre et acteur de notre destinée.
Par Mohamed Ali Ismaïl
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