Une simple déclaration faite le 17 juin 2015, veille du mois de Ramadan, par Abdelfatah Hamadache, le leader des extrémistes salafistes de ...
Une simple déclaration faite le 17 juin 2015, veille du mois de Ramadan, par Abdelfatah Hamadache, le leader des extrémistes salafistes de l'algérois, à la radio algérienne Echourouk est la preuve irréfutable que l'organisation sanguinaire et barbare DAESH est bien ancrée en Algérie.
Dans sa déclaration enflammée, le terroriste se déclare favorable à l'ouverture d'une ambassade de DAESH dans son pays ; ni plus, ni moins !
Une déclaration d'un extrémiste notoirement connu en Algérie, qui s'ajoute à d'autres, à savoir ses appels au meurtre de l'écrivain Kamel Daoud, à la fermeture de toutes les églises et synagogues d'Algérie, à infantiliser la Femme et à s'en prendre aux laïcs, écrivains, chercheurs et politiques . Une telle déclaration interpelle !
En effet, comment les responsables algériens, notamment les sécuritaires, peuvent-ils laisser en liberté un terroriste d'une telle dangerosité, à qui est, de surcroît, accordé des temps d'antenne pour y véhiculer publiquement ses messages faisant l'apologie du terrorisme.
Il ne fait plus de doute qu'Hamadache bénéficie de bienveillance obscure dans les milieux politiques et sécuritaires de son pays, pour pouvoir tenir, au vu et au su de tous, des propos d'une extrême gravité.
Un inédit où l'on voit un pays, l'Algérie, qui prétend combattre le terrorisme, offrir allègrement la parole à extrémiste salafiste, proche de DAESH, alors que ceux qui se battent pour obtenir de meilleures conditions de vie en sont privés, voire sont emprisonnés et torturés.
Le doute n'est plus permis, DAESH est bien implanté en Algérie et à même pénétré les rouages sensibles de ce pays.
Ce silence plus que douteux des dirigeants algériens, sécuritaires et politiques, l'atteste, eux qui arrêtent et jugent des Algériens pour "soutien au terrorisme", alors que leurs comportements ne souffrent aucune comparaison avec ceux du dénommé Hamadache. Sa proximité implicite avec ces mêmes responsables lui assure une parfaite quiétude pour exercer, en toute tranquillité, ses activités terroristes en Algérie et ailleurs dans les pays voisins. Une hypothèse qui ne doit pas être écartée !
Farid Mnebhi.
Dans sa déclaration enflammée, le terroriste se déclare favorable à l'ouverture d'une ambassade de DAESH dans son pays ; ni plus, ni moins !
Une déclaration d'un extrémiste notoirement connu en Algérie, qui s'ajoute à d'autres, à savoir ses appels au meurtre de l'écrivain Kamel Daoud, à la fermeture de toutes les églises et synagogues d'Algérie, à infantiliser la Femme et à s'en prendre aux laïcs, écrivains, chercheurs et politiques . Une telle déclaration interpelle !
En effet, comment les responsables algériens, notamment les sécuritaires, peuvent-ils laisser en liberté un terroriste d'une telle dangerosité, à qui est, de surcroît, accordé des temps d'antenne pour y véhiculer publiquement ses messages faisant l'apologie du terrorisme.
Il ne fait plus de doute qu'Hamadache bénéficie de bienveillance obscure dans les milieux politiques et sécuritaires de son pays, pour pouvoir tenir, au vu et au su de tous, des propos d'une extrême gravité.
Un inédit où l'on voit un pays, l'Algérie, qui prétend combattre le terrorisme, offrir allègrement la parole à extrémiste salafiste, proche de DAESH, alors que ceux qui se battent pour obtenir de meilleures conditions de vie en sont privés, voire sont emprisonnés et torturés.
Le doute n'est plus permis, DAESH est bien implanté en Algérie et à même pénétré les rouages sensibles de ce pays.
Ce silence plus que douteux des dirigeants algériens, sécuritaires et politiques, l'atteste, eux qui arrêtent et jugent des Algériens pour "soutien au terrorisme", alors que leurs comportements ne souffrent aucune comparaison avec ceux du dénommé Hamadache. Sa proximité implicite avec ces mêmes responsables lui assure une parfaite quiétude pour exercer, en toute tranquillité, ses activités terroristes en Algérie et ailleurs dans les pays voisins. Une hypothèse qui ne doit pas être écartée !
Farid Mnebhi.