Un Etat sans un bon dirigeant, c’est comme une équipe sans un bon entraîneur. La conséquence est connue, une équipe, meilleure soit-elle, m...
Un Etat sans un bon dirigeant, c’est comme une équipe sans un bon entraîneur. La conséquence est connue, une équipe, meilleure soit-elle, mais privée d’un vrai coach, le résultat demeurera toujours catastrophique. Malgré le savoir- Play des joueurs, les milliers d’argent dépensés par la direction, rien ne peut remplacer la question du coaching, car c’est un élément capital pour la performance de l’équipe. L’entraineur est le premier responsable qui traine son équipe, soit vers le haut ou vers le bas. Ce tableau est presque le même pour un dirigent d’un pays.
Le président étant le premier responsable de la marche du gouvernement. Sa manière de se comporter, de faire les choses compte beaucoup. S’il est voleur ou corrupteur, son entourage le sera ainsi. Il est sérieux, son entourage sera obligé de l’être. Il n’y a pas de science-confuse ou politique là-dessus, c’est la vérité. Et le peuple, c’est comme les supporters. Si tout va bien sur le terrain, ils applaudiront. Et le premier à être honoré, c’est l’entraineur. Pareil pour le chef de l’Etat, quand son gouvernement qui dirige, bosse bien, c'est lui qui reçoit les félicitations populaires. Pareil également, pour une armée. La question du chef est plus que primordiale. Comme disait Napoléon, on peut gagner une guerre avec une troupe des moutons en plaçant à sa tête un lion comme on peut aussi la perdre avec une troupe de lions en plaçant à sa tête un mouton, la question du chef dans n’importe quelle structure est plus importante.
Je pense, en effet, que le général Salimou a tout pour être un bon chef d'équipe. Deux qualités le différencient des autres prétendants à la direction de l'Etat comorien : le potentiel et le courage. La première reflète sa personnalité, son charisme et son long parcours professionnel bourré de diplômes obtenus dans les différents pays du Monde (France, Etats-Unis, Afrique du Sud). La seconde, illustre son passé au sein de la république. Le général Salim a eu le courage de maintenir sa position et conduire l'armée pour la libération de l'île d'Anjouan. Il a eu le courage également de faire face à l'ex président Sambi, gardé par des mercenaires étrangers, pour lui demander de respecter le principe de la tournante figurant dans la constitution comorienne.
C'est avec son courage enfin que beaucoup d'habitants de Ngazidja ont retrouvé la paix après des périodes de conflits inter-villageois. Ce courage là, ce n'est pas tous les leaders qu'ils l'ont. Il faut d'abord que l'on soit quelqu'un de nature humaniste, pacifiste et anti séparatiste comme le général Salimou. Personnellement, je suis convaincu que sous sa présidence, une bonne conduite dans nos différentes institutions s'imposera. Il n’y aura plus de l'auto-coaching dans les différents ministères mais plutôt une surveillance et une transparence permanente ce qui permettra au peuple de renouer avec l'Etat et d'avoir confiance aux dirigeants. Raison pour laquelle je soutiendrai la candidature de général Salimou aux élections présidentielles de 2016. Ces échéances seront décisives pour l'avenir des Comores et le peuple n'aura pas droit encore une fois à l'erreur. Pour ma part, je n'ai jamais été spectateur dans mon club et je ne compte pas l'être pour mon pays. Je serai sur le terrain aux côtés du Général Salimou avec toute ma génération, pour la victoire des Comores de demain.
Je pense, en effet, que le général Salimou a tout pour être un bon chef d'équipe. Deux qualités le différencient des autres prétendants à la direction de l'Etat comorien : le potentiel et le courage. La première reflète sa personnalité, son charisme et son long parcours professionnel bourré de diplômes obtenus dans les différents pays du Monde (France, Etats-Unis, Afrique du Sud). La seconde, illustre son passé au sein de la république. Le général Salim a eu le courage de maintenir sa position et conduire l'armée pour la libération de l'île d'Anjouan. Il a eu le courage également de faire face à l'ex président Sambi, gardé par des mercenaires étrangers, pour lui demander de respecter le principe de la tournante figurant dans la constitution comorienne.
C'est avec son courage enfin que beaucoup d'habitants de Ngazidja ont retrouvé la paix après des périodes de conflits inter-villageois. Ce courage là, ce n'est pas tous les leaders qu'ils l'ont. Il faut d'abord que l'on soit quelqu'un de nature humaniste, pacifiste et anti séparatiste comme le général Salimou. Personnellement, je suis convaincu que sous sa présidence, une bonne conduite dans nos différentes institutions s'imposera. Il n’y aura plus de l'auto-coaching dans les différents ministères mais plutôt une surveillance et une transparence permanente ce qui permettra au peuple de renouer avec l'Etat et d'avoir confiance aux dirigeants. Raison pour laquelle je soutiendrai la candidature de général Salimou aux élections présidentielles de 2016. Ces échéances seront décisives pour l'avenir des Comores et le peuple n'aura pas droit encore une fois à l'erreur. Pour ma part, je n'ai jamais été spectateur dans mon club et je ne compte pas l'être pour mon pays. Je serai sur le terrain aux côtés du Général Salimou avec toute ma génération, pour la victoire des Comores de demain.
OMAR ABDILLAH, Itsandra Mdjini et Mitsamihouli Mdjini,
Joueur de 2E division de la ligue régionale Rhône- alpes. Club Sportif de Tarentaise,
Master II Droit des Affaires, Spécialité Juriste d’entreprises.