Pendant qu’aux Comores, la plupart de certains partis politiques sont en train de crier au scandale et à un hold-up électoral, il faudrait ...
Pendant qu’aux Comores, la plupart de certains partis politiques sont en train de crier au scandale et à un hold-up électoral, il faudrait qu’on puisse analyser la situation actuelle et tirer des conclusions constructives sans pour autant tirer une sonnette d’alarme qui, selon moi, mettrai en cause l’unité nationale.
Il est vrai que notre constitution connaît des failles ainsi que notre code électoral communal.
Il faut se l’avouer aujourd’hui, le fait d’avoir une constitution qui est pour une politique de tournante pour chaque ile comorienne, que chaque île à le droit, par cette constitution d’accéder à son tour à la magistrature suprême, mais qu’au fond de tout cela, tout « comorien » peut se présenter « candidat » dans n’importe quelle île, excusez moi du terme mais cela est une mascarade. Comment y’aurait il tournante si, aujourd’hui la nature et l’éthique même de cette politique ne peut être respectée.
Pour rappel, l’objectif de la tournante est de préserver l’unité nationale qui est aujourd’hui menacée par sa propre constitution et par certains partisans qui crient au scandale, et qui veulent profiter de ce vide juridique aujourd’hui alors qu’ils se disent patriotes et nationalistes.
J’ai pris goût au pouvoir, j’y ai goûté et je veux revenir, mais non, la constitution doit être révisée dans le respect de la nature de la politique de la tournante.
Nous avons connu des élections législatives et municipales.
Nous avons élus les conseillers des îles, l’assemblée nationale et les maires. L’UPDC a gagné la présidence de l’assemblée de l’Union, le parti de Mouigni Baraka le conseil de l’ile et le Parti Orange la Capitale fédérale de l’Union.
Il faut savoir qu’au tout début, bien avant les élections municipales, le premier parti à avoir sensibilisé les autres partis politiques et mouvements contre le vote des chefs de quartiers et de villages et le Parti Orange qui était représenté par Hassane Massoundi et Hamid Jaffar, néanmoins aucun parti politique ni mouvement n’a voulu porter atteinte à cette loi.
Je ne vous l’apprends certainement pas, cette loi ne date pas d’aujourd’hui, et lorsqu’un parti ou mouvement politique se lance dans des élections, il se doit d’être informé et d’être renseigné sur les différentes conditions de déroulement et des lois applicables au futur scrutin, ce qui a été fait par le Ministère de l’Intérieur.
Qu’on ne vienne pas aujourd’hui nous mentir sur le déroulement du scrutin communal. Des partis se sont retirés et ceux qui étaient présents on voté. On va même dire que ceux qui ont défendu et fait voter cette loi ont été pris la corde au cou.
La loi ne peut arranger tout le monde, mais elle doit être appliquée pour le respect de la constitution.
Tandis que nous traversons une situation très difficile au niveau politico-économique et social, nous devons nous unir pour préserver l’intégrité de l’unité nationale. Nous n’accepterons pas qu’un groupuscule vienne remettre en cause la constitution car comme je l’ai expliquée plus haut même si vide juridique il y a, mais la nature et la morale de la constitution doivent être respectés.
Il est vrai que notre constitution connaît des failles ainsi que notre code électoral communal.
Il faut se l’avouer aujourd’hui, le fait d’avoir une constitution qui est pour une politique de tournante pour chaque ile comorienne, que chaque île à le droit, par cette constitution d’accéder à son tour à la magistrature suprême, mais qu’au fond de tout cela, tout « comorien » peut se présenter « candidat » dans n’importe quelle île, excusez moi du terme mais cela est une mascarade. Comment y’aurait il tournante si, aujourd’hui la nature et l’éthique même de cette politique ne peut être respectée.
Pour rappel, l’objectif de la tournante est de préserver l’unité nationale qui est aujourd’hui menacée par sa propre constitution et par certains partisans qui crient au scandale, et qui veulent profiter de ce vide juridique aujourd’hui alors qu’ils se disent patriotes et nationalistes.
J’ai pris goût au pouvoir, j’y ai goûté et je veux revenir, mais non, la constitution doit être révisée dans le respect de la nature de la politique de la tournante.
Nous avons connu des élections législatives et municipales.
Nous avons élus les conseillers des îles, l’assemblée nationale et les maires. L’UPDC a gagné la présidence de l’assemblée de l’Union, le parti de Mouigni Baraka le conseil de l’ile et le Parti Orange la Capitale fédérale de l’Union.
Il faut savoir qu’au tout début, bien avant les élections municipales, le premier parti à avoir sensibilisé les autres partis politiques et mouvements contre le vote des chefs de quartiers et de villages et le Parti Orange qui était représenté par Hassane Massoundi et Hamid Jaffar, néanmoins aucun parti politique ni mouvement n’a voulu porter atteinte à cette loi.
Je ne vous l’apprends certainement pas, cette loi ne date pas d’aujourd’hui, et lorsqu’un parti ou mouvement politique se lance dans des élections, il se doit d’être informé et d’être renseigné sur les différentes conditions de déroulement et des lois applicables au futur scrutin, ce qui a été fait par le Ministère de l’Intérieur.
Qu’on ne vienne pas aujourd’hui nous mentir sur le déroulement du scrutin communal. Des partis se sont retirés et ceux qui étaient présents on voté. On va même dire que ceux qui ont défendu et fait voter cette loi ont été pris la corde au cou.
Qu’on vienne alors m’expliquer alors pourquoi aujourd’hui certains partis sont en train de faire le tour du Monde et crier au scandale et à un hold-up électoral ?
La loi ne peut arranger tout le monde, mais elle doit être appliquée pour le respect de la constitution.
Tandis que nous traversons une situation très difficile au niveau politico-économique et social, nous devons nous unir pour préserver l’intégrité de l’unité nationale. Nous n’accepterons pas qu’un groupuscule vienne remettre en cause la constitution car comme je l’ai expliquée plus haut même si vide juridique il y a, mais la nature et la morale de la constitution doivent être respectés.
Akram Said Mohamed