Le partenaire comorien le plus crédible des chancelleries contre le terrorisme transnational Connaissez-vous la dernière supputation, con...
Le partenaire comorien le plus crédible des chancelleries contre le terrorisme transnational
Connaissez-vous la dernière supputation, conjecture, rumeur folle et supposition hasardeuse et haineuse circulant en ce moment? Comme cela fait longtemps que les plus haineux des gens qui aiment détester Hamada Madi Boléro n’ont rien à dire contre leur idole, ils ont trouvé une parade, en prétendant sans le début de commencement d’une preuve: «Les troubles qui sont occasionnés actuellement par la deuxième opération “Île morte” sont le fait de Hamada Madi Boléro et de son ami Azali Assoumani. Leur but est de créer un climat de pourrissement total dans le pays pour qu’ils puissent faire un coup d’État comme en avril 1999». Quand on dit à ceux qui lancent de telles rumeurs en l’air qu’avant le putsch d’avril 1999, Hamada Madi Boléro et le Colonel Azali Assoumani ne se connaissaient pas et que l’homme de Mohéli n’a pas participé au coup d’État de l’homme de la Grande-Comore – ce qui est tout à fait vrai –, ils disent, imperturbables: «Hamada Madi Boléro est un malin, et il cache bien son jeu». De fait, quand la haine et la détestation atteignent un tel niveau, ça ne sert à rien de raisonner et de croire que la logique et la vérité peuvent ramener les gens à être plus intelligents dans leurs affirmations. Pourtant, ceux qui s’enferment dans une détestation viscérale de la personne de Hamada Madi Boléro gagneraient à reconnaître en lui les qualités d’homme d’État que des professionnels étrangers lui reconnaissent.
Pour preuve, un Colonel des Forces Royales Air du Maroc, ancien diplomate à Londres et également Docteur en Science politique (Relations internationales), a écrit sur Hamada Madi Boléro des mots qui gagneraient à être mieux connus des Comoriens les plus acharnés dans la détestation contre le Directeur du Cabinet du Président chargé de la Défense: «Les Comores, sous Azali Assoumani (1999-2006), collaboraient avec les États-Unis en matière de “lutte contre le terrorisme”. Mais, quand le ministre de la Défense, Hamada Madi Boléro, leur interlocuteur privilégié, démissionna du gouvernement en 2005, ils arrêtèrent le programme, faute d’interlocuteur sérieux et crédible. Hamada Madi Boléro connaît mieux que quiconque aux Comores les enjeux de la “lutte contre le terrorisme”»:Abderrahmane M’Zali: La coopération franco-africaine en matière de Défense,L’Harmattan, Collection «Études africaines», Paris, 2012, p. 416. C’est le point de vue d’un grand spécialiste, et il n’est pas Comorien. Donc, tout risque de connivence et de complaisance est à écarter. C’est ce que recommande l’objectivité.
La réalité, c’est quoi? La réalité, c’est que Hamada Madi Boléro a des capacités d’homme d’État que n’ont pas ses détracteurs, adversaires et ennemis, que personne n’écouterait le jour où la fantaisie saisirait le chef de l’État de leur confier des responsabilités étatiques. Il faut dire que dans les chancelleries, on aime les plénipotentiaires très conciliants, en même temps qu’on aime avoir en face de soi des interlocuteurs qui ont du cran, de l’estomac et du chien. Or, Hamada Madi Boléro en impose dans les chancelleries, qui aiment dialoguer avec lui plutôt qu’avec les gnangnans que les Comores dépêchent aux quatre coins du monde pour des missions aussi indéfinissables qu’indéfinies. C’est un principe cher aux diplomates: avoir à discuter avec un interlocuteur qui a de l’autorité, qui comprend les enjeux de sa mission et des relations internationales stratégiques de manière générale. Quand un pays partenaire des Comores sait que c’est Hamada Madi Boléro qui est délégué par les Comores pour une mission, il se dit: «Au moins, avec lui, nous allons discuter avec un interlocuteur sérieux et qui saisit parfaitement la raison de la négociation». Ceci est d’autant plus vrai que l’appareil diplomatique des Comores a la redoutable habitude de délaisser dédaigneusement la grande réservoir de ressources humaines à sa disposition pour ne se fier qu’à des bras cassés et à des aboyeurs de foire dont les excentricités mettent mal à l’aise les partenaires des Comores.
Depuis les années 1990, les Comores sont plongées dans la «fourniture» de terroristes, dont les agissements perturbent et tourmentent le monde. On a dû s’en rendre compte quand les horribles attentats du 7 août 1998 contre les Ambassades des États-Unis en Tanzanie et au Kenya avaient été planifiés et commis par un Comorien parti étudier la Médecine au Pakistan et qui a fini dans le terrorisme transnational, devenant le représentant personnel d’Oussama Ben Laden en Afrique de l’Est, avant de se faire tuer sous des bombes états-uniennes le 8 juin 2011. En réalité, dès son entrée au gouvernement fin avril 1999, Hamada Madi Boléro a bien compris les dangers de l’implication de Comoriens dans le terrorisme international. En homme formé en ex-Union Soviétique par de vrais spécialistes des Relations internationales, il n’a jamais manifesté la moindre complaisance envers les groupuscules ayant fait du lavage de cerveaux et de la radicalisation des esprits une façon de vivre et de faire mourir. Dès lors, alors qu’il était ministre de la Défense et de la Sécurité sous Azali Assoumani, chaque fois qu’on lui apprenait qu’une ONG suspecte avait ouvert une école coranique quelque part, il réagissait et faisait fermer ladite école sans état d’âme. Comme il y allait de la sécurité de l’État comorien et même de la sécurité mondiale, dans tous les cas, il faisait son travail de manière professionnelle sans se soucier des cris d’orfraie que poussaient les bien-pensants et les chantres de la bien-pensance. C’est un comportement de professionnel consciencieux.
Hamada Madi Boléro dit partager entièrement le point de vue de Jacques Foccart, quand celui-ci affirmait, à juste titre, d’ailleurs: «Une menace qui vise plus spécifiquement les Comores vient des milieux islamistes, notamment d’un groupe basé au Kenya. Or, l’absence de réaction française ne se justifie pas par un manque de moyens. Les bacheliers comoriens qui veulent faire des études supérieures souhaitent tous, ou presque, aller à l’université de la Réunion. Ils sont deux cents ou deux cent cinquante par an. On leur donne quatre bourses. Résultat: les autres vont en Iran, en Arabie Saoudite ou dans les Émirats, où ils sont accueillis à bras ouverts. C’est du moins ainsi que je vois la situation»: Jacques Foccart: Foccart parle. Entretiens avec Philippe Gaillard, Tome II, Fayard et Éditions Jeune Afrique, Paris, 1997, p. 440. C’est la pure réalité, même si aux Comores, rares sont ceux qui veulent admettre une telle réalité. Du reste, on a vu Ahmed Sambi, alors Président (2006-2011), livrer à la République islamique d’Iran des locaux construits par l’Union européenne pour la mise en place des fameuses «medersas» ou écoles de propagande idéologique et de radicalisation. Soit on est un homme d’État, soit on est un marchand de talismans.
Depuis la fin de l’État en Somalie, à la suite de la chute peu glorieuse du dictateur local Mohamed Syad Barre, le 27 janvier 1991, ce pays est devenu un repaire de bandits, de pirates de la mer et de terroristes psychotiques et sadiques. Les pirates somaliens sévissent jusque dans les eaux territoriales des Comores. Il a fallu prendre des mesures énergiques et, en accord et avec l’autorisation du Président Ikililou Dhoinine, Hamada Madi Boléro s’attela à la mise en place d’une unité de garde-côtes pour sécuriser les eaux territoriales comoriennes. Avant, beaucoup avaient parlé et fait une étonnante gesticulation dramatique, mais n’ont rien réglé. C’est donc Hamada Madi Boléro qui a négocié avec le Sultanat d’Oman les modalités pratiques de l’opération de création de l’unité de garde-côtes à la suite des entretiens qui avaient eu lieu entre le Président Ikililou Dhoinine et le Sultan Qabus Ibn Saïd.
Et puis, début 2015, il y a eu la création, par le même Hamada Madi Boléro, d’une Unité antiterroriste. Cette évolution n’est pas banale parce qu’elle se fait en parfait accord avec les partenaires internationaux des Comores, qui connaissent parfaitement le rôle de maillon faible que joue le pays dans le terrorisme transnational. La reprise en considération des enjeux du terrorisme international par les Comores n’est donc pas une affaire d’aboyeurs, mais celle des professionnels, très rares aux Comores, malheureusement. Là où d’autres mettraient des mois et des années à réagir, Hamada Madi Boléro assume ses responsabilités et fait parler son sens de l’État et de l’autorité. Là où d’autres font de la génuflexion, des salamalecs et du béni oui-oui, Hamada Madi Boléro ne voit que l’intérêt supérieur de l’État comorien, même si cela déplaît dans certains milieux politiques qu’on n’a même pas besoin de nommer.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Vendredi 13 février 2015.
Connaissez-vous la dernière supputation, conjecture, rumeur folle et supposition hasardeuse et haineuse circulant en ce moment? Comme cela fait longtemps que les plus haineux des gens qui aiment détester Hamada Madi Boléro n’ont rien à dire contre leur idole, ils ont trouvé une parade, en prétendant sans le début de commencement d’une preuve: «Les troubles qui sont occasionnés actuellement par la deuxième opération “Île morte” sont le fait de Hamada Madi Boléro et de son ami Azali Assoumani. Leur but est de créer un climat de pourrissement total dans le pays pour qu’ils puissent faire un coup d’État comme en avril 1999». Quand on dit à ceux qui lancent de telles rumeurs en l’air qu’avant le putsch d’avril 1999, Hamada Madi Boléro et le Colonel Azali Assoumani ne se connaissaient pas et que l’homme de Mohéli n’a pas participé au coup d’État de l’homme de la Grande-Comore – ce qui est tout à fait vrai –, ils disent, imperturbables: «Hamada Madi Boléro est un malin, et il cache bien son jeu». De fait, quand la haine et la détestation atteignent un tel niveau, ça ne sert à rien de raisonner et de croire que la logique et la vérité peuvent ramener les gens à être plus intelligents dans leurs affirmations. Pourtant, ceux qui s’enferment dans une détestation viscérale de la personne de Hamada Madi Boléro gagneraient à reconnaître en lui les qualités d’homme d’État que des professionnels étrangers lui reconnaissent.
Pour preuve, un Colonel des Forces Royales Air du Maroc, ancien diplomate à Londres et également Docteur en Science politique (Relations internationales), a écrit sur Hamada Madi Boléro des mots qui gagneraient à être mieux connus des Comoriens les plus acharnés dans la détestation contre le Directeur du Cabinet du Président chargé de la Défense: «Les Comores, sous Azali Assoumani (1999-2006), collaboraient avec les États-Unis en matière de “lutte contre le terrorisme”. Mais, quand le ministre de la Défense, Hamada Madi Boléro, leur interlocuteur privilégié, démissionna du gouvernement en 2005, ils arrêtèrent le programme, faute d’interlocuteur sérieux et crédible. Hamada Madi Boléro connaît mieux que quiconque aux Comores les enjeux de la “lutte contre le terrorisme”»:Abderrahmane M’Zali: La coopération franco-africaine en matière de Défense,L’Harmattan, Collection «Études africaines», Paris, 2012, p. 416. C’est le point de vue d’un grand spécialiste, et il n’est pas Comorien. Donc, tout risque de connivence et de complaisance est à écarter. C’est ce que recommande l’objectivité.
La réalité, c’est quoi? La réalité, c’est que Hamada Madi Boléro a des capacités d’homme d’État que n’ont pas ses détracteurs, adversaires et ennemis, que personne n’écouterait le jour où la fantaisie saisirait le chef de l’État de leur confier des responsabilités étatiques. Il faut dire que dans les chancelleries, on aime les plénipotentiaires très conciliants, en même temps qu’on aime avoir en face de soi des interlocuteurs qui ont du cran, de l’estomac et du chien. Or, Hamada Madi Boléro en impose dans les chancelleries, qui aiment dialoguer avec lui plutôt qu’avec les gnangnans que les Comores dépêchent aux quatre coins du monde pour des missions aussi indéfinissables qu’indéfinies. C’est un principe cher aux diplomates: avoir à discuter avec un interlocuteur qui a de l’autorité, qui comprend les enjeux de sa mission et des relations internationales stratégiques de manière générale. Quand un pays partenaire des Comores sait que c’est Hamada Madi Boléro qui est délégué par les Comores pour une mission, il se dit: «Au moins, avec lui, nous allons discuter avec un interlocuteur sérieux et qui saisit parfaitement la raison de la négociation». Ceci est d’autant plus vrai que l’appareil diplomatique des Comores a la redoutable habitude de délaisser dédaigneusement la grande réservoir de ressources humaines à sa disposition pour ne se fier qu’à des bras cassés et à des aboyeurs de foire dont les excentricités mettent mal à l’aise les partenaires des Comores.
Depuis les années 1990, les Comores sont plongées dans la «fourniture» de terroristes, dont les agissements perturbent et tourmentent le monde. On a dû s’en rendre compte quand les horribles attentats du 7 août 1998 contre les Ambassades des États-Unis en Tanzanie et au Kenya avaient été planifiés et commis par un Comorien parti étudier la Médecine au Pakistan et qui a fini dans le terrorisme transnational, devenant le représentant personnel d’Oussama Ben Laden en Afrique de l’Est, avant de se faire tuer sous des bombes états-uniennes le 8 juin 2011. En réalité, dès son entrée au gouvernement fin avril 1999, Hamada Madi Boléro a bien compris les dangers de l’implication de Comoriens dans le terrorisme international. En homme formé en ex-Union Soviétique par de vrais spécialistes des Relations internationales, il n’a jamais manifesté la moindre complaisance envers les groupuscules ayant fait du lavage de cerveaux et de la radicalisation des esprits une façon de vivre et de faire mourir. Dès lors, alors qu’il était ministre de la Défense et de la Sécurité sous Azali Assoumani, chaque fois qu’on lui apprenait qu’une ONG suspecte avait ouvert une école coranique quelque part, il réagissait et faisait fermer ladite école sans état d’âme. Comme il y allait de la sécurité de l’État comorien et même de la sécurité mondiale, dans tous les cas, il faisait son travail de manière professionnelle sans se soucier des cris d’orfraie que poussaient les bien-pensants et les chantres de la bien-pensance. C’est un comportement de professionnel consciencieux.
Hamada Madi Boléro dit partager entièrement le point de vue de Jacques Foccart, quand celui-ci affirmait, à juste titre, d’ailleurs: «Une menace qui vise plus spécifiquement les Comores vient des milieux islamistes, notamment d’un groupe basé au Kenya. Or, l’absence de réaction française ne se justifie pas par un manque de moyens. Les bacheliers comoriens qui veulent faire des études supérieures souhaitent tous, ou presque, aller à l’université de la Réunion. Ils sont deux cents ou deux cent cinquante par an. On leur donne quatre bourses. Résultat: les autres vont en Iran, en Arabie Saoudite ou dans les Émirats, où ils sont accueillis à bras ouverts. C’est du moins ainsi que je vois la situation»: Jacques Foccart: Foccart parle. Entretiens avec Philippe Gaillard, Tome II, Fayard et Éditions Jeune Afrique, Paris, 1997, p. 440. C’est la pure réalité, même si aux Comores, rares sont ceux qui veulent admettre une telle réalité. Du reste, on a vu Ahmed Sambi, alors Président (2006-2011), livrer à la République islamique d’Iran des locaux construits par l’Union européenne pour la mise en place des fameuses «medersas» ou écoles de propagande idéologique et de radicalisation. Soit on est un homme d’État, soit on est un marchand de talismans.
Depuis la fin de l’État en Somalie, à la suite de la chute peu glorieuse du dictateur local Mohamed Syad Barre, le 27 janvier 1991, ce pays est devenu un repaire de bandits, de pirates de la mer et de terroristes psychotiques et sadiques. Les pirates somaliens sévissent jusque dans les eaux territoriales des Comores. Il a fallu prendre des mesures énergiques et, en accord et avec l’autorisation du Président Ikililou Dhoinine, Hamada Madi Boléro s’attela à la mise en place d’une unité de garde-côtes pour sécuriser les eaux territoriales comoriennes. Avant, beaucoup avaient parlé et fait une étonnante gesticulation dramatique, mais n’ont rien réglé. C’est donc Hamada Madi Boléro qui a négocié avec le Sultanat d’Oman les modalités pratiques de l’opération de création de l’unité de garde-côtes à la suite des entretiens qui avaient eu lieu entre le Président Ikililou Dhoinine et le Sultan Qabus Ibn Saïd.
Et puis, début 2015, il y a eu la création, par le même Hamada Madi Boléro, d’une Unité antiterroriste. Cette évolution n’est pas banale parce qu’elle se fait en parfait accord avec les partenaires internationaux des Comores, qui connaissent parfaitement le rôle de maillon faible que joue le pays dans le terrorisme transnational. La reprise en considération des enjeux du terrorisme international par les Comores n’est donc pas une affaire d’aboyeurs, mais celle des professionnels, très rares aux Comores, malheureusement. Là où d’autres mettraient des mois et des années à réagir, Hamada Madi Boléro assume ses responsabilités et fait parler son sens de l’État et de l’autorité. Là où d’autres font de la génuflexion, des salamalecs et du béni oui-oui, Hamada Madi Boléro ne voit que l’intérêt supérieur de l’État comorien, même si cela déplaît dans certains milieux politiques qu’on n’a même pas besoin de nommer.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Vendredi 13 février 2015.
