Le guide pour briller en entretien d’embauche Comme le dit l’adage, « qui sème des CV récolte des entretiens d’embauche ». Mais l’adage ...
Le guide pour briller en entretien d’embauche
Comme le dit l’adage, « qui sème des CV récolte des entretiens d’embauche ». Mais l’adage ne dit rien sur la suite des opérations : qui récolte des entretiens d’embauche ne décroche pas forcément des jobs. Enfin, sauf s’il a lu ce guide !
L’éternel problème. « Costume ou pas costume ? » pour les mecs, « jupe ou pantalon ? » pour les filles : s’habiller pour un entretien d’embauche, c’est toujours un casse-tête. D’un côté, tu veux être crédible, montrer que tu es un(e) adulte, un(e) professionnel(le) capable d’envoyer de la classe. Mais t’as pas non plus envie de te retrouver déguisé(e) en pingouin face à un bureau entier de jeans baskets. La technique : essaie de repérer comment s’habillent les gens de la boîte (ou du secteur) où tu postules et vise la tranche haute du dress code en vigueur chez eux. Au moins tu seras sûr(e) de ne pas être moins bien habillé(e) que ton interlocuteur. Pour les mecs, la FF2E (Fédération Française des Entretiens d’Embauche) est très claire sur un point : la chemise est un minimum.
Garde une chose en tête : un entretien, c’est un jeu de double séduction. Si tu es bon(ne), ils essaieront de te convaincre de venir travailler chez eux autant que tu essaieras de les convaincre de te recruter. Ne te place pas en position d’infériorité dans la discussion : fais en un échange. N’hésite pas à leur poser des questions sur leur boîte, leur organisation, leur secteur d’activité. Ne tombe pas non plus dans l’excès inverse du mec ou de la fille qui se la raconte alors que son CV est aussi vide que Paris un 4 août. Et surtout, SOURIS ! Bah oui, ça paraît débile, mais si tu savais le nombre de gens qui font la tête en entretien : un simple visage souriant peut te faire prendre dix longueurs d’avance sur tes concurrents.
Un entretien, c’est comme un rencard : il faut aussi gérer le service après-vente. Laisse passer une journée et envoie un mail le lendemain pour remercier la personne qui t’a reçu(e) et lui confirmer ta motivation. Si elle a rencontré d’autres candidat(e)s entre temps, ça lui fera une petite piqûre de rappel. Du coup, n’oublie pas de demander sa carte de visite (ou ses coordonnées si elle n’en a pas) à la fin de l’entretien.
La poignée de main
La manière dont tu sers la main en dit long sur ta personnalité. Rien de pire que d’offrir au recruteur une main molle à moitié pendouillante au bout de ton poignet. A l’inverse, n’essaie pas non plus de lui broyer la main jusqu’à ce que ses phalanges craquent. L’idéal : une poignée ferme, pas trop longue, les yeux dans les yeux. Et en souriant !
Les questions à éviter
Poser des questions c’est bien, mais pas n’importe lesquelles. D’une manière générale, oublie tous les trucs du genre « et la pause déjeuner, elle dure combien de temps ? » ou « si je me sens pas très bien un matin, je peux rester à la maison ou il vous faut un certificat médical ? ». Pas sûr qu’ils aient envie de filer un job à quelqu’un qui ne pense qu’aux moments où il/elle ne travaillera pas.
Adapte-toi !
Tous les jobs sont différents, donc tous les entretiens le sont aussi. On ne cherche pas les mêmes qualités chez des candidat(e)s pour un poste à dimension commerciale (serveur, vendeur, etc…) ou à dimension pratique (manutention, préparation de sandwiches, etc…). Avant l’entretien, réfléchis à ce que le recruteur va vouloir entendre et adapte ton discours et ton attitude pour rentrer dans la peau du candidat idéal : un(e) bon(ne) commercial(e) doit savoir bien se vendre et être avenant(e), un(e) bon(ne) manutentionnaire doit être réfléchi(e), pratique et organisé(e), etc…
Bon courage !
Par leguideultimedelavieetudiante.fr
Comme le dit l’adage, « qui sème des CV récolte des entretiens d’embauche ». Mais l’adage ne dit rien sur la suite des opérations : qui récolte des entretiens d’embauche ne décroche pas forcément des jobs. Enfin, sauf s’il a lu ce guide !
La tenue
L’éternel problème. « Costume ou pas costume ? » pour les mecs, « jupe ou pantalon ? » pour les filles : s’habiller pour un entretien d’embauche, c’est toujours un casse-tête. D’un côté, tu veux être crédible, montrer que tu es un(e) adulte, un(e) professionnel(le) capable d’envoyer de la classe. Mais t’as pas non plus envie de te retrouver déguisé(e) en pingouin face à un bureau entier de jeans baskets. La technique : essaie de repérer comment s’habillent les gens de la boîte (ou du secteur) où tu postules et vise la tranche haute du dress code en vigueur chez eux. Au moins tu seras sûr(e) de ne pas être moins bien habillé(e) que ton interlocuteur. Pour les mecs, la FF2E (Fédération Française des Entretiens d’Embauche) est très claire sur un point : la chemise est un minimum.
L’entretien
Garde une chose en tête : un entretien, c’est un jeu de double séduction. Si tu es bon(ne), ils essaieront de te convaincre de venir travailler chez eux autant que tu essaieras de les convaincre de te recruter. Ne te place pas en position d’infériorité dans la discussion : fais en un échange. N’hésite pas à leur poser des questions sur leur boîte, leur organisation, leur secteur d’activité. Ne tombe pas non plus dans l’excès inverse du mec ou de la fille qui se la raconte alors que son CV est aussi vide que Paris un 4 août. Et surtout, SOURIS ! Bah oui, ça paraît débile, mais si tu savais le nombre de gens qui font la tête en entretien : un simple visage souriant peut te faire prendre dix longueurs d’avance sur tes concurrents.
Après l’entretien
Un entretien, c’est comme un rencard : il faut aussi gérer le service après-vente. Laisse passer une journée et envoie un mail le lendemain pour remercier la personne qui t’a reçu(e) et lui confirmer ta motivation. Si elle a rencontré d’autres candidat(e)s entre temps, ça lui fera une petite piqûre de rappel. Du coup, n’oublie pas de demander sa carte de visite (ou ses coordonnées si elle n’en a pas) à la fin de l’entretien.
Les bonus
La poignée de main
La manière dont tu sers la main en dit long sur ta personnalité. Rien de pire que d’offrir au recruteur une main molle à moitié pendouillante au bout de ton poignet. A l’inverse, n’essaie pas non plus de lui broyer la main jusqu’à ce que ses phalanges craquent. L’idéal : une poignée ferme, pas trop longue, les yeux dans les yeux. Et en souriant !
Les questions à éviter
Poser des questions c’est bien, mais pas n’importe lesquelles. D’une manière générale, oublie tous les trucs du genre « et la pause déjeuner, elle dure combien de temps ? » ou « si je me sens pas très bien un matin, je peux rester à la maison ou il vous faut un certificat médical ? ». Pas sûr qu’ils aient envie de filer un job à quelqu’un qui ne pense qu’aux moments où il/elle ne travaillera pas.
Adapte-toi !
Tous les jobs sont différents, donc tous les entretiens le sont aussi. On ne cherche pas les mêmes qualités chez des candidat(e)s pour un poste à dimension commerciale (serveur, vendeur, etc…) ou à dimension pratique (manutention, préparation de sandwiches, etc…). Avant l’entretien, réfléchis à ce que le recruteur va vouloir entendre et adapte ton discours et ton attitude pour rentrer dans la peau du candidat idéal : un(e) bon(ne) commercial(e) doit savoir bien se vendre et être avenant(e), un(e) bon(ne) manutentionnaire doit être réfléchi(e), pratique et organisé(e), etc…
Bon courage !
Par leguideultimedelavieetudiante.fr