26 septembre 2014 – Le président des Comores, Ikililou Dhoinine, a affirmé, vendredi devant l'Assemblée générale des Nations Unies, la...
26 septembre 2014 – Le président des Comores, Ikililou Dhoinine, a affirmé, vendredi devant l'Assemblée générale des Nations Unies, la nécessité de réformer l'ONU en 2015, année du 70ème anniversaire de sa fondation.
Dans cette optique, M. Dhoinine a souhaité « une meilleure prise en compte des nouvelles problématiques, telles que celles liées à l'extrême fragilité des Petits États Insulaires en Développement », dont fait partie l'Union des Comores.
Il a également souhaité « une meilleure représentation des pays en développement et notamment ceux du continent africain qui aujourd'hui renferment à la fois des zones de croissance économique appréciable, mais aussi de grande pauvreté et de conflits parfois sanglants, qui retardent leur développement et le bien-être de leurs peuples ».
L'Union des Comores, a-t-il dit, « mesure pleinement les responsabilités du Conseil de sécurité pour impulser, orienter et superviser la prévention et le règlement des conflits en Centrafrique, au Nigeria, au Mali, comme en Libye, en Syrie, en Iraq, en Ukraine et dans tous les pays en crise ».
« Ce sont autant de foyers de tension qui mettent à mal la paix dans diverses régions du monde, devenues des terreaux fertiles pour l'éclosion du terrorisme international », a-t-il dit.
Dans ce contexte, M. Dhoinine a réitéré « la nécessité impérieuse d'une solution équitable et urgente de la question de la Palestine » qui, a-t-il dit, « a malheureusement et pratiquement le même âge que notre Organisation ».
Par ONU News
Dans cette optique, M. Dhoinine a souhaité « une meilleure prise en compte des nouvelles problématiques, telles que celles liées à l'extrême fragilité des Petits États Insulaires en Développement », dont fait partie l'Union des Comores.
Il a également souhaité « une meilleure représentation des pays en développement et notamment ceux du continent africain qui aujourd'hui renferment à la fois des zones de croissance économique appréciable, mais aussi de grande pauvreté et de conflits parfois sanglants, qui retardent leur développement et le bien-être de leurs peuples ».
L'Union des Comores, a-t-il dit, « mesure pleinement les responsabilités du Conseil de sécurité pour impulser, orienter et superviser la prévention et le règlement des conflits en Centrafrique, au Nigeria, au Mali, comme en Libye, en Syrie, en Iraq, en Ukraine et dans tous les pays en crise ».
« Ce sont autant de foyers de tension qui mettent à mal la paix dans diverses régions du monde, devenues des terreaux fertiles pour l'éclosion du terrorisme international », a-t-il dit.
Dans ce contexte, M. Dhoinine a réitéré « la nécessité impérieuse d'une solution équitable et urgente de la question de la Palestine » qui, a-t-il dit, « a malheureusement et pratiquement le même âge que notre Organisation ».
Par ONU News