L'ex-président malgache en exil en Afrique du Sud, Marc Ravalomanana, a rencontré, ce week-end, le chargé d'affaires américain Eric...
L'ex-président malgache en exil en Afrique du Sud, Marc Ravalomanana, a rencontré, ce week-end, le chargé d'affaires américain Eric Wrong. Le but de cette entrevue est restée secrète, mais, selon certaines sources, les débats ont tourné autour du retour à Madagascar de Ravalomanana.
Marc Ravalomanana ne veut pas être oublié en Afrique du Sud, et il le fait comprendre. L'ancien président malgache, en exil depuis 2009 au pays arc-en-ciel, a rencontré, ce week-end, le chargé d'affaires américain Eric Wrong. Le but de cette rencontre n'a pas été dévoilée, mais selon le journal Newsmada qui se base sur des « sources concordantes », les discussions auraient tourné autour du retour au pays de l'ancien chef d'Etat.
En dépit de son soutien au régime de Rajao, Marc Ravalomanana se voit, aujourd'hui encore, contraint de séjourner en Afrique du Sud, sans passeport. Ces derniers jours, ce dernier a multiplié les sorties médiatiques pour dénoncer sa situation. Et pour cause, la réconciliation nationale sur l'île rouge, suite à la crise politique de 2009, doit permettre le retour de Ravalomanana.
Mais dans plusieurs déclarations récentes, les autorités malgaches ont estimé qu'ils étaient encore tôt pour envisager ce retour. Lors d'une réunion qui s'est organisée à huis clos, mercredi 9 juillet, par le Groupement international de soutien pour Madagascar (GIS-M), la ministre malgache des Affaires étrangères, Arisoa Lala Razafitrimo, a déclaré à propos de Ravalomanana : « Il faut se demander ce qu'il apportera au pays s'il vient à rentrer à Madagascar. Si on estime que son retour pourrait créer des troubles, est-il nécessaire d'y insister », a-t-elle souligné.
En dépit de son soutien au régime de Rajao, Marc Ravalomanana se voit, aujourd'hui encore, contraint de séjourner en Afrique du Sud, sans passeport. Ces derniers jours, ce dernier a multiplié les sorties médiatiques pour dénoncer sa situation. Et pour cause, la réconciliation nationale sur l'île rouge, suite à la crise politique de 2009, doit permettre le retour de Ravalomanana.
Mais dans plusieurs déclarations récentes, les autorités malgaches ont estimé qu'ils étaient encore tôt pour envisager ce retour. Lors d'une réunion qui s'est organisée à huis clos, mercredi 9 juillet, par le Groupement international de soutien pour Madagascar (GIS-M), la ministre malgache des Affaires étrangères, Arisoa Lala Razafitrimo, a déclaré à propos de Ravalomanana : « Il faut se demander ce qu'il apportera au pays s'il vient à rentrer à Madagascar. Si on estime que son retour pourrait créer des troubles, est-il nécessaire d'y insister », a-t-elle souligné.
Afrik.com / PAR
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