UN ARBRE SANS RACINE EST UN ARBRE MORT!!!!!! A Djoiezi, la haine contre le président Ikililou monte de cran et c'est le sauve qui p...
UN ARBRE SANS RACINE EST UN ARBRE MORT!!!!!!
A Djoiezi, la haine contre le président Ikililou monte de cran et c'est le sauve qui peut. Les auteurs et initiateurs du tract de la mort '' Kala wadala'' sont jetés en prison, tous des enfants de Djoiezi. Et parmi eux, un membre de la famille du président Ikililou. Vendredi soir, partout dans la ville de Djoiezi, le '' Takbir, Allah Akbar'' est lu partout à haute voix. Et samedi, un plan visant à démolir les nouvelles constructions du couple présidentiel fut échoué. Vite, les forces de l'ordre sont dépêchées sur les lieux. Et dans les rangs du président Ikililou, on soupçonne le gouverneur Mohamed Ali Said dont il n'est un secret pour personne, ses relations avec Ikililou se détériorent.
Une des premières victimes après celles jetées en prison, est le jeune Mohamed Ahamada Bacar, limogé de son poste à l'AMPSI par l'indéboulonnable directeur général, Omar Mohamed. Ce dernier a immédiatement obéi aux injonctions de la première du premier, Mme Ikililou, qui soupçonne Mohamed Ahamada Bacar pendant son passage à Mohéli de comploter avec ceux qui déstabilisent le chef de l’État dans l'Île.
Pire encore, le laborantin du chef de l’État, depuis son laboratoire de la présidence de l'Union, ordonne l'arrestation de celles et ceux qui osent réciter le titre de l'article de la mort '' Kala Wadala''. Une manière de gouverner à l'ancienne et qui nous fait rappeler les années des mercenaires de Bob Denard. Où va-t-on, c'est la question que les mohéliens en l'occurrence, les Mdjoiezien se posent à cette phase critique de la tournante mohélienne.
A Djoiezi, la haine contre le président Ikililou monte de cran et c'est le sauve qui peut. Les auteurs et initiateurs du tract de la mort '' Kala wadala'' sont jetés en prison, tous des enfants de Djoiezi. Et parmi eux, un membre de la famille du président Ikililou. Vendredi soir, partout dans la ville de Djoiezi, le '' Takbir, Allah Akbar'' est lu partout à haute voix. Et samedi, un plan visant à démolir les nouvelles constructions du couple présidentiel fut échoué. Vite, les forces de l'ordre sont dépêchées sur les lieux. Et dans les rangs du président Ikililou, on soupçonne le gouverneur Mohamed Ali Said dont il n'est un secret pour personne, ses relations avec Ikililou se détériorent.
Une des premières victimes après celles jetées en prison, est le jeune Mohamed Ahamada Bacar, limogé de son poste à l'AMPSI par l'indéboulonnable directeur général, Omar Mohamed. Ce dernier a immédiatement obéi aux injonctions de la première du premier, Mme Ikililou, qui soupçonne Mohamed Ahamada Bacar pendant son passage à Mohéli de comploter avec ceux qui déstabilisent le chef de l’État dans l'Île.
Pire encore, le laborantin du chef de l’État, depuis son laboratoire de la présidence de l'Union, ordonne l'arrestation de celles et ceux qui osent réciter le titre de l'article de la mort '' Kala Wadala''. Une manière de gouverner à l'ancienne et qui nous fait rappeler les années des mercenaires de Bob Denard. Où va-t-on, c'est la question que les mohéliens en l'occurrence, les Mdjoiezien se posent à cette phase critique de la tournante mohélienne.
Madi Hamada Kassim de Djoiezi