Objet: Les récents propos de Monsieur Bolero à l'égard du feu Président Said Mohamed Cheikh au sujet de Mayotte ,auxquels propos,je ne ...
Objet: Les récents propos de Monsieur Bolero à l'égard du feu Président Said Mohamed Cheikh au sujet de Mayotte,auxquels propos,je ne donne pas cadeau,mais je ne soutiens pas,non plus,la démarche entreprise par des dirigeants politiques,les Notables et le Comité des Sages.
Messieurs les Présidents et les Secrétaires Généraux,
Au lieu de s'appuyer sur des propos d'une autorité pour faire bouger la branche de l'arbre,il serait sage et idéal,de votre part,d'agiter l'arbre tout entier,c'est à dire d'aborder la question de Mayotte en long et en large et c'est la raison pour laquelle,j'ai le regret de m'insurger contre vos démarches,en cours,à travers de consensus historique au Conseil de l'Ile de Ngazidja et des conférences de pesse,pour vous persuader que le débat sur la problématiques de Mayotte ne doit pas s'inviter,ni se trancher d'une manière superficielle,sachant que le problème demeure multidimensionnel et entouré de plusieurs séquelles de part et d'autre.En tant que citoyen,j'attendais de vous,l'idée d'une Conférence Nationale entre les 4 Iles,sous forme d'une Assise de ""Vérité et Réconciliation"",cela permettrait aux quatre entités insulaires de se regarder droit aux yeux,afin de poser les vrais problèmes faisant l'objet des désaccords,depuis presque 40 ans,entre Mayotte et les trois autres Iles.J'estime que la concrétisation d'une telle initiative pourrait déboucher sur des compromis politiques durables entre les comoriens,en vue du décollage de la nouvelle République Unie des Comores.S'agissant de la présence de La France sur cette Ile,après son éventuelle réintégration aux Comores;à mon avis,La France n'est pas restée à Mayotte pour le plaisir d'y rester,mais,certainement,pour des intérêts hautement stratégiques,lesquels intérêts,à travers un Dialogue Franco-Comorien,pourraient,quand même,être pris en compte et préservés dans le cadre d'un Nouvel Ensemble Comorien.Rien n'est non négociable dans ce troisième millénaire et surtout quand il s'agit d'un Pays Ami comme La France.
Messieurs les Présidents et les Secrétaires Généraux,
Au lieu de s'appuyer sur des propos d'une autorité pour faire bouger la branche de l'arbre,il serait sage et idéal,de votre part,d'agiter l'arbre tout entier,c'est à dire d'aborder la question de Mayotte en long et en large et c'est la raison pour laquelle,j'ai le regret de m'insurger contre vos démarches,en cours,à travers de consensus historique au Conseil de l'Ile de Ngazidja et des conférences de pesse,pour vous persuader que le débat sur la problématiques de Mayotte ne doit pas s'inviter,ni se trancher d'une manière superficielle,sachant que le problème demeure multidimensionnel et entouré de plusieurs séquelles de part et d'autre.En tant que citoyen,j'attendais de vous,l'idée d'une Conférence Nationale entre les 4 Iles,sous forme d'une Assise de ""Vérité et Réconciliation"",cela permettrait aux quatre entités insulaires de se regarder droit aux yeux,afin de poser les vrais problèmes faisant l'objet des désaccords,depuis presque 40 ans,entre Mayotte et les trois autres Iles.J'estime que la concrétisation d'une telle initiative pourrait déboucher sur des compromis politiques durables entre les comoriens,en vue du décollage de la nouvelle République Unie des Comores.S'agissant de la présence de La France sur cette Ile,après son éventuelle réintégration aux Comores;à mon avis,La France n'est pas restée à Mayotte pour le plaisir d'y rester,mais,certainement,pour des intérêts hautement stratégiques,lesquels intérêts,à travers un Dialogue Franco-Comorien,pourraient,quand même,être pris en compte et préservés dans le cadre d'un Nouvel Ensemble Comorien.Rien n'est non négociable dans ce troisième millénaire et surtout quand il s'agit d'un Pays Ami comme La France.
Veuillez agréer,Messieurs les Présidents et les Secrétaires Généraux,l'assurance de ma très haute considération.