Prenez moi pour qui bon vous semble mes chers compatriotes, qu'à cela ne tienne. Je me dois de vous dire que nous peuple comorien, som...
Prenez moi pour qui bon vous semble mes chers compatriotes, qu'à cela ne tienne. Je me dois de vous dire que nous peuple comorien, sommes un peuple idiot, dupe, nous méritons aucune pitié ni état d'âme.
Nul n'ignorait ce que sera le devenir du pays en élisant ce pseudo président au degré de compétences politiques et économiques zéro et dépourvu surtout de toute verve oratoire.
Étiez-vous vraiment aveugles ou faisait-il encore nuit le jour, quand vous étiez aux urnes le 26 décembre 2010 ? Ne saviez-vous pas qu'en choisissant cet Homme cela traduisait raisonnablement votre approbation à l'égard de la politique qu'il avait menée pendant 5 ans en étroite collaboration avec son maître ? N'est-ce pas les mêmes hommes qui ont géré de manière catastrophique et Chaotique notre pays ?
Le comble est que les conséquences de cet événement mémorable aux yeux du démagogue sont bien connues et sont toujours et surtout les mêmes:
- Une hausse record des prix des produits de première nécessité, telles que les denrées alimentaires, l'énergie...
-Manque accru de budget même de fonctionnement de l'Etat comme c'est le cas durant la règne du regretté M. Taki Abdoulkarim (Les années noires, 24 mois d'arriérés de salaires).
Aujourd'hui encore, cet homme dont l’honnêteté reste douteuse aux regards des îles de la lune, continue à tenir le même discours et à scander le même slogan, la suppression de la dette et ce, pendant que les comoriens meurent de faim, de soif, agonisent dans des ténèbres; pendant que les patients s'éteignent en masse avec un chiffre affreux et sans précédent, 17 personnes décédées en une journée faute d’oxygène à l’hôpital, pendant que le pauvre élève de l'école publique erre dans les rues au point d'être pris pour cible des militaires qui n'ont rien d'autre chose à faire qu'étouffer, piller, apeurer le peuple et l'obliger de mourir dans la résignation la plus absolue.
Monsieur, Le Vice-président, Mohamed Ali, quand est-ce que vous allez changer cette politique de ruse, de démagogie qui agonise économiquement notre pays et qui ne promeut que la pauvreté et le désespoir pour le peuple ?
Vivre sans eau ni électricité, sans enseignement ni santé, c'est ça que vous appeler réussite économique et financière dont vous prétendiez être victime ?
Chers compatriotes, quand allez-vous réagir pour mettre fin enfin à cette vie infernale, à cette manie, à ce modèle économique mamadouiste ? L'heure du printemps comorien n'a-t-elle pas encore sonné ?
Une chose est sûre, c'est maintenant ou jamais.
RAMADHOINE Chanfi, Etudiant en Droit à l'Université Paris Ouest Nanterre La Défense (Paris10)
Nul n'ignorait ce que sera le devenir du pays en élisant ce pseudo président au degré de compétences politiques et économiques zéro et dépourvu surtout de toute verve oratoire.
Étiez-vous vraiment aveugles ou faisait-il encore nuit le jour, quand vous étiez aux urnes le 26 décembre 2010 ? Ne saviez-vous pas qu'en choisissant cet Homme cela traduisait raisonnablement votre approbation à l'égard de la politique qu'il avait menée pendant 5 ans en étroite collaboration avec son maître ? N'est-ce pas les mêmes hommes qui ont géré de manière catastrophique et Chaotique notre pays ?
Qui était-il son excellence Dr.Ikililou Dhoinine avant d'être placé à la tête de l'Etat ? Qu'a-t-il réellement fait pour mériter ce poste prodigieux ?
Pis, demain encore vous allez élire Mamadou. Ce dernier qui, depuis plus de 20 ans n'a de cesse de réduire à néant l'espoir des comoriens d'une vie socio-économique digne sous prétexte de paiement des dettes souveraines, lesquelles dettes d'ailleurs, finissent toujours par être effacées nous dit-il souvent en jubilant méconnaissant complètement l'adage comorien (YEYA HOUPATSA HAHOUPVA).
Pis, demain encore vous allez élire Mamadou. Ce dernier qui, depuis plus de 20 ans n'a de cesse de réduire à néant l'espoir des comoriens d'une vie socio-économique digne sous prétexte de paiement des dettes souveraines, lesquelles dettes d'ailleurs, finissent toujours par être effacées nous dit-il souvent en jubilant méconnaissant complètement l'adage comorien (YEYA HOUPATSA HAHOUPVA).
Le comble est que les conséquences de cet événement mémorable aux yeux du démagogue sont bien connues et sont toujours et surtout les mêmes:
- Une hausse record des prix des produits de première nécessité, telles que les denrées alimentaires, l'énergie...
-Manque accru de budget même de fonctionnement de l'Etat comme c'est le cas durant la règne du regretté M. Taki Abdoulkarim (Les années noires, 24 mois d'arriérés de salaires).
Aujourd'hui encore, cet homme dont l’honnêteté reste douteuse aux regards des îles de la lune, continue à tenir le même discours et à scander le même slogan, la suppression de la dette et ce, pendant que les comoriens meurent de faim, de soif, agonisent dans des ténèbres; pendant que les patients s'éteignent en masse avec un chiffre affreux et sans précédent, 17 personnes décédées en une journée faute d’oxygène à l’hôpital, pendant que le pauvre élève de l'école publique erre dans les rues au point d'être pris pour cible des militaires qui n'ont rien d'autre chose à faire qu'étouffer, piller, apeurer le peuple et l'obliger de mourir dans la résignation la plus absolue.
Monsieur, Le Vice-président, Mohamed Ali, quand est-ce que vous allez changer cette politique de ruse, de démagogie qui agonise économiquement notre pays et qui ne promeut que la pauvreté et le désespoir pour le peuple ?
Vivre sans eau ni électricité, sans enseignement ni santé, c'est ça que vous appeler réussite économique et financière dont vous prétendiez être victime ?
Chers compatriotes, quand allez-vous réagir pour mettre fin enfin à cette vie infernale, à cette manie, à ce modèle économique mamadouiste ? L'heure du printemps comorien n'a-t-elle pas encore sonné ?
Une chose est sûre, c'est maintenant ou jamais.
RAMADHOINE Chanfi, Etudiant en Droit à l'Université Paris Ouest Nanterre La Défense (Paris10)