Mardi 25 mars 2014, l’animateur d’un blog parmi les plus célèbres des Comores m’accusait de «complaisance envers Mohamed Abdou Madi», à qui...
Mardi 25 mars 2014, l’animateur d’un blog parmi les plus célèbres des Comores m’accusait de «complaisance envers Mohamed Abdou Madi», à qui j’aurais dû demander s’il était toujours un séparatiste d’Anjouan. La question ne se pose pas puisque l’ancien Premier ministre a choisi d’appeler son mouvement politique «Front anjouanais pour les Réformes et le Progrès» (FARP), évacuant ainsi toute référence à l’État comorien. Cette référence à l’île d’Anjouan et non aux Comores signifie donc que l’ancien Premier ministre Mohamed Abdou Madi se définit comme un Anjouanais et non comme un Comorien. Il ne renie donc pas son séparatisme et sa négation de l’État comorien. Lundi 24 mars 2014, l’un de mes compagnons de route me disait: «Il faut refermer au plus vite la parenthèse médiatique Mohamed Abdou Madi Mjamaoué. Il ne faut pas lui donner la possibilité de parader sur la blogosphère». Or, comment ignorer le texte de Mohamed Abdou Madi, qui prouve qu’il a une lecture tout à fait à lui pour analyser et apprécier les grands événements politiques comoriens, dont le débarquement du 25 mars 2008, qui a mis hors d’état de nuire le Colonel Mohamed Bacar et les siens, dont Mohamed Abdou Madi??
Dans ce qui va suivre, nous allons découvrir l’analyse personnelle que fait Mohamed Abdou Madi du débarquement militaire d’Anjouan en date du 25 mars 2008, qui a permis aux Comores de se débarrasser d’un séparatisme qui sévissait à Anjouan depuis février 1997.
Front anjouanais pour les Réformes et le Progrès
(FARP)
«Mieux vaut savoir que douter»
«Une histoire oubliée est un avenir perdu»
25 mars 2008, date de référence pour une lâcheté politique,
25 Mars 2014, des festivités sambistes de la honte!
Il est établi qu’on peut échapper à des condamnations face à des juridictions politiques partiales, mais personne ne peut rien face aux verdicts du Coran, et à celle de l’Histoire.
25 mars 2008: Sambi et équipe ont tué, handicapé à vie, déporté et exilé des enfants d’Anjouan, ceux qui avaient détecté leurs réseaux mafieux en gestation, et qui s’étaient mobilisés pour y faire barrage.
Pire encore, Sambi et alliés cumulent une dette des plus impardonnables, celle d’avoir abusé la Communauté internationale l’en ayant indument embarquée dans une transaction d’écoulement de sang à travers un débarquement de fortune sur la base de mensonges, de montages.
Sambi et équipe, et à côté d’eux, un certain Mozambicain Francisco Madeira, ex-médiateur de l’Union africaine, et un certain Algérien Mourad, l’éternel Chef du Bureau de Liaison de l’Union africaine à Moroni, auront à payer un jour très prochain de leurs abus de confiance face surtout à une Union Africaine si respectueuse pour leur implication à un débarquement sanguinaire contre les Anjouanais.
Les responsabilités de Sambi et équipe
- 1. Si la crédibilité de l’État comorien est si affaibli aujourd’hui, ce n’est vraiment pas à cause d’une quelconque revendication de légitimité d’un retour de l’île de Mayotte dans un giron naturel comorien, pour une île de Mayotte qu’ils ont eu à pousser vers l’éloignement.
- 2. C’est vrai qu’on ne peut pas nuire impunément à l’intégrité territoriale du pays. Mais c’est beaucoup plus l’idéologie sanguinaire qui ne peut pas être une doctrine acceptable, pardonnable dans notre pays. Oui, le peuple Comorien a toujours été choqué par les assassinats et autres débarquements sanguinaires comme alternatives de conquête de pouvoir.
- 3. Ne continuez pas d’emballer une opinion comorienne et surtout anjouanaise qui vous spécule et qui note tous vos faux mouvements et mensonges: à Anjouan, les prises d’otage et les dérives imposés aux Anjouanais remontent de très loin, pas de 1997. Vous faites semblant d’ignorer pour vouloir fuir une Justice qui vous guette. Dès 1975, Anjouan endure avec autant de débarquements sanglants: celui d’Ali Soilihi en 1975 au lendemain de la déclaration de l’Indépendance, 1997 avec les tueries du Président Mohamed Taki Abdoulkarim, 2008 avec tous les criminels du sanguinaire Sambi.
- 4. Oui la population Comorienne rêve de pouvoir engranger l’orientation de leur pays vers un État de Droit, démocratique tel qu’affirmé dans la Charte des droits de l’Homme avec un respect des libertés individuelles et collectives, mais non pas en référence à une Constitution sambiste comme l’actuelle continuellement en réadaptions à l’intégrisme, au Chiisme et à la criminologie, des Constitutions qui se chargent de constitutionnaliser la mafia.
- 5. Et si on se tourne vers Ngazidja: on a assassiné en 1978 à Iconi y compris un chef d’État, on a même pendu des êtres humains en 1982 à Magoudjou, on a exécuté à Mbéni, l’exécution du Colonel Ayouba Combo et son chauffeur, les tués de Hamramba... et la liste est longue. Arrêtez de jaser, en croyant intimider les familles des victimes comoriennes croyant se passer de la Justice.
- 6. Sambi et ses Partis signataires de la déclaration, c’est vous qui êtes redevables quant aux velléités rattachistes y compris la proclamation illégale de l’indépendance d’Anjouan, de la création de l’État d’Anjouan et surtout de la mise aux enchères des symboles de l’État comorien en cours, du jamais vu: Citoyennetébradée Sambi, drapeau vendu par Sambi, Armée nationale dénoncée par Sambi avec le recrutement des expatriés pour exécuter les Anjouanais en 2008, Code postal cédé par Sambi, littoral vendu par Sambi, des élus nationaux qui mentent et qui ne respectent pas leur mandat, n’est-ce pas Messieurs les Députés d’Ikililou-Sambi?
- 7. Des torts incalculables subis par l’ensemble de la nation, oui mais par Sambi pour sa richesse personnelle et la conquête d’un pouvoir à vie.
- 8. Oui des exils, mais des exils, des viols, des exils, des handicaps à vie sont imposés par votre Sambi et il le paiera. En mars 2008, il y avait eu plus d’un millier de détenus sous séquestrations et des tentatives manquées d’élimination physiques. Oui, peuple comorien!
- 9. Non, il y a eu la mobilisation des énergies comoriennes et de la communauté internationale contre les Comoriens et non pour le développement socioéconomique des Comores.
Propositions du FARP
- Le FARP maintient sa proposition de sortie de crise et dénonce votre plateforme conçue pour vous faire échapper Sambi et vous-même de la Justice, pour un malhonnête Sambi que vous découvrirez sous peu. Il a trompé, roulé et menti.
- Pour le FARP, il faut commencer par le commencement: la convocation des assises juridiques internationales pour désigner les coupables, les criminels financiers, les sanguinaires et les traîtres comoriens de la nation comorienne depuis l’indépendance. Il n’est pas question de se faire justice en précipitant ladénonciation d’un négationnisme et d’une banalisation via du séparatisme avant un procès neutre.
Une mise au point aux Partis complices de Sambi
«Une histoire oubliée est un avenir perdu»
- Ibrahim Ben Ali Selemani du FNJ: Les Comoriens se rappellent encore des prestations de serment mensongères et de l’introduction malsaine du Chiisme aux Comores par de votre guide Sambi. Vous les sanctions divines qui éclaboussent vos alliés internes et externes.
- Mohamed Bacar Dossar du Parti JUWA: Vous avez bien choisi le nom de votre Parti, Juwa: soleil, chaleur, brûlure...Vous avez trahi votre île natale, votre Nation avec autant de mensonges et de crimes. Même vos proches alliés ont tous payé. Autour de votre guide vous êtes auteur de haute trahison: citoyenneté vendue, pavillon vendu, territoire vendu (littoral), code postal Télécom vendu, passeports vendus, aide internationale volée. Vous des criminels de haut niveau, vous méritez la pendaison
25 mars 2014, des festivités Sambistes de- Hassan Mgomri de MOUROUA: Le Mouroua avec son chef qui fut Patron de Comores Télécom et qui en a créé son MOUROUA-Télécom. L’initiation de la dévalidation des caisses de Télécom remonte de sa direction suivie par les autres comme Charikane Bouchrane, qui ont tout bouffé.
- Amroine Darkaoui de l’UDZIMA: Ton Parti l’Udzima descendant de la coalition des Partis historiques le Vert et le Blanc, il est à l’origine du séparatisme comorien, des crimes aux Comores, du mercenariat aux Comores, de la déchéance de l’État comorien avant et après l’indépendance.
- La balkanisation des Comores est partie de l’égoïsme lié au transfert insensé de la capitale de Dzaoudzi à Moroni avec les massacres qui ont suivi et qui ont conduit Mayotte à prendre le large; et l’anticipation irréfléchie de la proclamation l’indépendance en 1975, et qui n’a jamais eu de cesse de rebondir.
- le séparatisme anjouanais est parti en 1997 avec le comportement de deux hauts cadres du vert, l’ancien Président de l’Assemblée sous Ahmed Abdallah, Mohamed Taki Abdoulkarim et son Premier ministre, ancien Directeur de Cabinet permanent sous Ahmed Abdallah: Ahmed Abdou.
- l’Udzima n’est pas en reste pour l’évaporation des deniers publics le long de l’Histoire.
- Tocha Djohar du PEC: Pour un descendant de la famille du vert comorien, que les Anjouanais s’en réfère à l’Udzima pour statuer son cas.
- Ahmed Thabit du COMITE MAORÉ: C’est le seul à qui je donne raison: le fait de se rabâcher sur Anjouan pour noyer une Mayotte qui lui échappe et dont il n’a pas le poids de gérer les contradictions des régimes successifs des Comores, celui de Sambi et Ikililou en première ligne.
- Abdillah Mouigni (Satelyte) ADD ZAMZAM et Abdillah Yahaya du CRAN: Deux victimes du sambisme, qui perdent la route. Ils peuvent peut être accéder au sursaut!
À bon entendeur, salut.
Pour le Bureau exécutif du FARP la honte
Mohamed Abdou Madi
Document transmis par Mohamed Abdou Madi