Les sept princes de l'enfer (Méphisto, Satan,Belzébuth, Lucifer...) Quoi que l'on puisse dire, il s'agit d'une bien trist...
Les sept princes de l'enfer (Méphisto, Satan,Belzébuth, Lucifer...)
Quoi que l'on puisse dire, il s'agit d'une bien triste histoire dont Dieu seulement connaît l'épilogue car, c'est sûr, bien des épisodes restent encore à en écrire. Les modérateurs des blogs Ridja et Mlimadji se transforment en Méphistophélès et détruisent les protagonistes de la classe politique comorienne en l'occurrence le vice-président Mohamed Ali Soilih et le député Ibrahime Ali Mzimba. Décidemment, ces deux blogs prennent du malin plaisir à casser du nègre, ils prétendent détenir le monopole des critiques acerbes et bestiales envers ces deux personnalités susceptibles de faire de l'ombre à leur fantasme politique. N'ayant plus rien à proposer à leurs visiteurs, ils ont remué ciel et terre pour retouver et publier un article (au grand dam de son auteur Kamal Abdallah) datant de décembre 2011.
Le blog Ridja s'en donne à cœur joie à régler de comptes personnels en s'alimentant des articles copiés-collés. Aucun article digne de ce nom ne provient de son modérateur, contrairement aux autres administrateurs de sites et blogs qui présentent de temps en temps leurs opinions et tribunes. On aurait bien aimé voir les idées politiques du respectable Maître Saïd Larifou votre leader politique dans les articles que vous publiez mais pas des photos de bières périmées et des copies de factures truquées tous les jours car les Comoriens en ont assez de vos bobards. Vous vous transformez donc en Méphistophélès, l'un des sept princes de l'enfer, incarnant parfois le diable sur terre. « Je suis l'esprit qui toujours nie, et c'est avec justice car rien n'existe en ce monde qui ne mérite d'être détruit ».
Je pense qu'il est imprudent de jeter en pâture aux chiens des hommes politiques qui, après avoir effectué plusieurs décennies de bons et loyaux services en faveur de leur pays, méritent le respect de tout un chacun, même de la part de ceux qui se présentent comme leurs adversaires. C'est très facile pour un novice en politique et en gestion des affaires publiques de dépasser la critique pour insulter, diffamer et traîner dans la boue ceux qui ont consacré leur vie à servir leur pays, à leurs risques et périls.
Il y a différents types de leaders politiques aux Comores, mais pour moi un chef de parti qui n'a jamais travaillé dans la fonction publique comorienne ne doit pas se bomber le torse car il est tout bonnement inexpérimenté. Maître Saïd Larifou doit rappeler à l'ordre le modérateur de ce blog qui porte le nom de son parti car il est responsable de toutes les bêtises perpétrées par ce dernier.Ami de la famille Kalfane, le modérateur du blog Ridja se permet, pour des raisons personnelles et bassement mercantiles, de persécuter haineusement et jalousement la famille Kamoula, en injuriant Shemir Kamoula à longueur de journée, comme s'il n'avait rien d'autre à faire. Ami de Fahmi Saïd Ibrahim, dont il veut faire l'impossible rapprochement avec Maître Saïd Larifou dans la perspective de l'élection de 2016, il fait tout pour semer la zizanie entre le président du RIDJA, Houmed Msaidié et les autres leaders politiques. Ces petites manipulations relevant de la crapulerie sont d'ores et déjà connues de tous: les blogs comoriens sont multiples.
Un climat délétère s'installe malheureusement dans la blogosphère comorienne notamment sur le blog RIDJA, qui n'hésite jamais à véhiculer des propos méphitiques et diffamatoires pour ternir l'image de certains protagonistes de la classe politique comorienne. Nous autres, devons redoubler de vigilance pour garder notre sang-froid, car en politique il n'y pas d'ennemis mais plutôt d'adversaires. Et on n'en jure jamais.Une émanation putride provenant de cet article repris indûment et publié par le blog RIDJA a étonné plus d'un, dans la mesure où le parti Ridja est une institution politique qui ne symbolise que son leader, comme il est de coutume aux Comores. Maître Saïd Larifou, en tant que chef d'un parti politique à la dérive sera tenu responsable de ces articles tendancieux, sachant pertinemment qu'il n'y est pour rien. Mais il doit assumer.
Ceux qui copient-collent les articles et qui in fine engagent son parti, ne mesurent pas le danger et le tort qu'ils causent à ce leader du parti Ridja à l'air pourtant paisible. Ils détruisent son image et lui donnent celle d'un leader qui ne contrôle pas son chef de la communication, ou celle d'un général fainéant, incapable de maîtriser ses troupes. Il est de notoriété publique, en Afrique et plus particulièrement aux Comores, qu'après plusieurs années de moults magouilles suivies par des malversations financières abyssales, on peut prendre la poudre d'escampette, se réfugier en Europe, et quelques années plus tard le tour est joué. On peut en effet lancer des diatribes et écrire des pamphlets incriminant leurs successeurs, faisant comme si eux-mêmes n'ont jamais géré les affaires de l'Etat. C'est le cas de tant de politiciens et cadres comoriens, lesquels se prennent en bon samaritain venant au secours des citoyens. Il n'en demeure pas moins qu'ils ont élu domicile en Europe et font table rase de leur passé sulfureux et méphistophélique. Faut-il continuer à se regarder en chien de faïence et à manquer de respect à des honnêtes gens, au lieu de faire des propositions allant dans le sens du développement des Comores ?
Mohamed Ali Soilih et Ibrahim Ali Mzimba acceptent les critiques car ce sont des hommes d'Etat. Ils ont préféré de ne pas réagir publiquement à ces nouvelles insultes et ne souhaitent pas engager de poursuites judiciaires, contrairement à d'autres politiciens de la place. Les Comoriens ne sont pas dupes. Le savez-vous ?
En réalité vos critiques infondées sont une technique de manipulation que vous utilisez contre les citoyens comoriens? Cette technique de manipulation s'appelle l'effet de négativité. Des études sur la mémoire ont démontré que nous mémorisons mieux les arguments négatifs que les arguments positifs.Le négatif pèse plus lourd dans la balance. L'opinion que nous avons sur un candidat est principalement forgée par lesarguments négatifs que nous avons entendus sur lui, moins que par les arguments positifs. Ceux qui ont un avis positif sur lui sont susceptibles de changer d'avis dès qu'ils entendent du négatif à son sujet.
Par contre, ceux qui avaient déjà un avis négatif sur un autre candidat restent sur leur position. Leur opinion était déjà faite. Bref, vous avez compris… Le négatif et le positif ne se battent pas dans la même catégorie. L'un est un poids lourd, l'autre un poids plume. Un candidat gagnera bien plus de points en dénigrant son adversaire, plutôt qu'en vantant son propre programme.
C'est évidement le but de ces articles pamphlets qui injurient honteusement Mohamed Ali Soilih. En utilisant l'effet de négativité, le blog Ridja croit pouvoir influencer plus facilement l'électorat. Il pense avoir plus de chance d'obtenir son vote en dénigrant l'adversaire, plutôt qu'en expliquant son programme politique, si tenté qu'il en a. Voilà comment le Ridja compte gagner les élections et gouverner les Comores de demain. Peine perdue !
Dr Ali ABDOU MDAHOMA.
Publié le 22/02/2014 par mwendje