Un atelier sur l’enregistrement des décès maternels se tient du 8 au 11 octobre à l’Hôtel Djohanna – Mutsamudu. Les autorités communales et ...
Un atelier sur l’enregistrement des décès maternels se tient du 8 au 11 octobre à l’Hôtel Djohanna – Mutsamudu. Les autorités communales et préfectorales, les chefs de village et les agents de communication qui, à tour de rôle, participent aux travaux. C’est la commissaire en charge de la Santé, Assiati Abdallah a procédé à l’ouverture de l’atelier. La chargée du programme santé maternelle au niveau de l’OMS, Dr Hissane et la chargée de la santé familiale à la Direction Régionale de la Santé Anjouan (DRSA), Fatima Halidane sont les principales animatrices des travaux.
L’enregistrement des décès maternels, partager les causes et les facteurs de décès maternel et néonatal en vue d’améliorer la qualité de prise en charge des soins obstétricaux et néonataux, étudier comment obtenir des données des décès maternels au niveau communautaire et dans les structures sanitaires, développer un cadre de coordination des différents acteurs parmi lesquels les maires, les préfets, les agents de santé communautaires et chefs de village sont, entre autres, les objectifs de l’atelier.
Parlant ainsi de l’utilité « capital » de l’état civil, la commissaire chargée de la santé Assiati Abdallah a souligné dans son intervention qu’ « Il est donc indéniable que l’état civil est au cœur du développement en ce sens qu’il permet de disposer en temps réel des informations pertinentes sur la vie des hommes ». Mais elle a constaté que les nombreux dysfonctionnements de nos systèmes d’état civil empêchent la production de donnés statistiques fiables et, de ce fait, contribuent à « biaiser » les programmes de développement de nos pays.
Cependant la commissaire reste convaincue que les réflexions et les recommandations qui seront formulés par les différents participants constitueront « une contribution inestimable pour asseoir un système communicationnel performant, répondant efficacement aux objectifs poursuivis dans la mise en œuvre des différents programmes de réforme de l’état civil ». Puis de conclure en réitérant ses sincères remerciements aux gouvernements de l’Union des Comores et de Ndzuwani ainsi qu’à toutes les agences du Système des Nations Unies en Union des Comores qui s’attachent à améliorer le système d’information sanitaire et la capacité d’établir les principales causes de mortalité.
Rappelons que le directeur national de la décentralisation au ministère de l’Intérieur, Ali Mohamed Chissi et le directeur national de la santé familiale Dr Ahmed Abdallah, partagent également leur expérience à l’atelier sur l’enregistrement des décès maternels et la journée du vendredi 11 octobre est réservée aux hommes de média. Dar Nadjah
L’enregistrement des décès maternels, partager les causes et les facteurs de décès maternel et néonatal en vue d’améliorer la qualité de prise en charge des soins obstétricaux et néonataux, étudier comment obtenir des données des décès maternels au niveau communautaire et dans les structures sanitaires, développer un cadre de coordination des différents acteurs parmi lesquels les maires, les préfets, les agents de santé communautaires et chefs de village sont, entre autres, les objectifs de l’atelier.
Parlant ainsi de l’utilité « capital » de l’état civil, la commissaire chargée de la santé Assiati Abdallah a souligné dans son intervention qu’ « Il est donc indéniable que l’état civil est au cœur du développement en ce sens qu’il permet de disposer en temps réel des informations pertinentes sur la vie des hommes ». Mais elle a constaté que les nombreux dysfonctionnements de nos systèmes d’état civil empêchent la production de donnés statistiques fiables et, de ce fait, contribuent à « biaiser » les programmes de développement de nos pays.
Cependant la commissaire reste convaincue que les réflexions et les recommandations qui seront formulés par les différents participants constitueront « une contribution inestimable pour asseoir un système communicationnel performant, répondant efficacement aux objectifs poursuivis dans la mise en œuvre des différents programmes de réforme de l’état civil ». Puis de conclure en réitérant ses sincères remerciements aux gouvernements de l’Union des Comores et de Ndzuwani ainsi qu’à toutes les agences du Système des Nations Unies en Union des Comores qui s’attachent à améliorer le système d’information sanitaire et la capacité d’établir les principales causes de mortalité.
Rappelons que le directeur national de la décentralisation au ministère de l’Intérieur, Ali Mohamed Chissi et le directeur national de la santé familiale Dr Ahmed Abdallah, partagent également leur expérience à l’atelier sur l’enregistrement des décès maternels et la journée du vendredi 11 octobre est réservée aux hommes de média. Dar Nadjah