«Malgré tout le professionnalisme et le dévouement des équipes de l’AP-HM, et l’espoir de l’opération chirurgicale qui s’était bien...
«Malgré tout le professionnalisme et le
dévouement des équipes de l’AP-HM, et l’espoir de l’opération
chirurgicale qui s’était bien déroulée ce dimanche, l’extrême gravité
des blessures a emporté ce jour la vie de ce jeune homme.»
Le garçon de 18 ans poignardé dimanche à l’aube dans le centre de Marseille par trois agresseurs, qui ont ensuite attaqué un infirmier des urgences, est mort lundi, a-t-on appris de source proche de l’enquête.
«Ce jour, en début d’après-midi, les médecins du service de réanimation de l’hôpital Nord (Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille) ont constaté le décès de la jeune personne agressée, ce dimanche à 5H30», cours Jean-Ballard, à proximité immédiate du Vieux-Port, a annoncé l’AP-HM.
D’origine comorienne, la victime, Jordan Nze, était connue des services de police pour plusieurs délits et vols et venait de sortir de prison, selon une source proche de l’enquête.
Un de ses agresseurs a été interpellé lundi matin à son domicile à Carnoux (Bouches-du-Rhône), à une vingtaine de kilomètres de Marseille, et placé en garde à vue.
Incarcéré lui aussi récemment, cet homme de 27 ans est «connu des services de police pour des affaires de vol, d’escroquerie et de recel», a précisé le parquet.
Les enquêteurs de la Sécurité publique ont pu retrouver sa trace grâce au numéro de la plaque d’immatriculation de son véhicule, relevé sur les images de vidéosurveillance.
Cette Toyota Yaris avait été récupérée chez sa mère dimanche soir. Les policiers l’ont «passée au peigne fin» pour tenter de trouver des traces ADN permettant d’identifier ses deux complices, qui sont toujours en fuite.
Après avoir poignardé le jeune homme, le trio s’était ensuite rendu dans l’hôpital de la Conception pour faire soigner leurs blessures consécutives à cette rixe. C’est là que l’un d’entre eux avait blessé avec une arme blanche, après l’avoir insulté, un infirmier chargé de l’accueil aux urgences qui lui demandait ses papiers d’identité et de sécurité sociale.
«Une fois de plus, les caméras ont fait preuve de leur efficacité dans des affaires sensibles et non pas dans des dossiers de petite délinquance», a réagi l’adjointe au maire déléguée à la Sécurité, Caroline Pozmentier (UMP), évoquant «une extension du dispositif.» AFP
Le garçon de 18 ans poignardé dimanche à l’aube dans le centre de Marseille par trois agresseurs, qui ont ensuite attaqué un infirmier des urgences, est mort lundi, a-t-on appris de source proche de l’enquête.
«Ce jour, en début d’après-midi, les médecins du service de réanimation de l’hôpital Nord (Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille) ont constaté le décès de la jeune personne agressée, ce dimanche à 5H30», cours Jean-Ballard, à proximité immédiate du Vieux-Port, a annoncé l’AP-HM.
D’origine comorienne, la victime, Jordan Nze, était connue des services de police pour plusieurs délits et vols et venait de sortir de prison, selon une source proche de l’enquête.
Un de ses agresseurs a été interpellé lundi matin à son domicile à Carnoux (Bouches-du-Rhône), à une vingtaine de kilomètres de Marseille, et placé en garde à vue.
Incarcéré lui aussi récemment, cet homme de 27 ans est «connu des services de police pour des affaires de vol, d’escroquerie et de recel», a précisé le parquet.
Les enquêteurs de la Sécurité publique ont pu retrouver sa trace grâce au numéro de la plaque d’immatriculation de son véhicule, relevé sur les images de vidéosurveillance.
Cette Toyota Yaris avait été récupérée chez sa mère dimanche soir. Les policiers l’ont «passée au peigne fin» pour tenter de trouver des traces ADN permettant d’identifier ses deux complices, qui sont toujours en fuite.
Après avoir poignardé le jeune homme, le trio s’était ensuite rendu dans l’hôpital de la Conception pour faire soigner leurs blessures consécutives à cette rixe. C’est là que l’un d’entre eux avait blessé avec une arme blanche, après l’avoir insulté, un infirmier chargé de l’accueil aux urgences qui lui demandait ses papiers d’identité et de sécurité sociale.
«Une fois de plus, les caméras ont fait preuve de leur efficacité dans des affaires sensibles et non pas dans des dossiers de petite délinquance», a réagi l’adjointe au maire déléguée à la Sécurité, Caroline Pozmentier (UMP), évoquant «une extension du dispositif.» AFP