C’est l’inquiétante information que publie le site francophone Focus-Algérie après avoir enquêté et recoupé des informations parues précéde...
C’est l’inquiétante information que publie le site francophone Focus-Algérie après avoir enquêté et recoupé des informations parues précédemment dans le quotidien arabophone El-Khabar : la direction de l’aviation civile du ministère des Transports algérien a attribué des fausses licences de pilotage à des pilotes et copilotes qui exercent actuellement au sein d’Air Algérie.
Selon Focus-Algérie, des pilotes et copilotes de la compagnie nationale algérienne ont obtenu « dans des délais expéditifs » des attestations de vol dans des écoles de pilotage en Jordanie et en Afrique du Sud. Mais ces attestations « ne donnent pas un droit d’exercice en tant que pilote de ligne en Afrique du Sud« . Ce sont juste des attestations de vols qui ne valident pas le statut professionnel de pilote ou copilote. Malgré tout, de retour en Algérie, ces pilotes et copilotes ont obtenu des équivalences algériennes qui leur permettent de voler. Des papiers délivrés par la direction de l’aviation civile du ministère des Transports algérien.
Comment ont-ils obtenu leurs diplômes algériens ? « Corruption » ! répond Focus-Algérie, soulignant que « la question est posée aux responsables de la direction de l’aviation civile qui ont reconnu ces faux diplômes« . Et d’ajouter : « Mais la principale question s’adresse aussi à Air Algérie qui a recruté ces pilotes au niveau de formation très discutable et détenant, en plus, de faux diplômes. N’y a-t-il pas de danger pour la vie des passagers ? »
Selon Focus-Algérie, le service de communication d’Air Algérie n’a pas souhaité répondre aux questions.
air journal
Selon Focus-Algérie, des pilotes et copilotes de la compagnie nationale algérienne ont obtenu « dans des délais expéditifs » des attestations de vol dans des écoles de pilotage en Jordanie et en Afrique du Sud. Mais ces attestations « ne donnent pas un droit d’exercice en tant que pilote de ligne en Afrique du Sud« . Ce sont juste des attestations de vols qui ne valident pas le statut professionnel de pilote ou copilote. Malgré tout, de retour en Algérie, ces pilotes et copilotes ont obtenu des équivalences algériennes qui leur permettent de voler. Des papiers délivrés par la direction de l’aviation civile du ministère des Transports algérien.
Comment ont-ils obtenu leurs diplômes algériens ? « Corruption » ! répond Focus-Algérie, soulignant que « la question est posée aux responsables de la direction de l’aviation civile qui ont reconnu ces faux diplômes« . Et d’ajouter : « Mais la principale question s’adresse aussi à Air Algérie qui a recruté ces pilotes au niveau de formation très discutable et détenant, en plus, de faux diplômes. N’y a-t-il pas de danger pour la vie des passagers ? »
Selon Focus-Algérie, le service de communication d’Air Algérie n’a pas souhaité répondre aux questions.
air journal
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