Face à la recrudescence des abandons d’animaux, la Préfecture de Mayotte tient à rappeler les risques par un communiqué en date du 10 mai d...
Face à la recrudescence des abandons d’animaux, la Préfecture de Mayotte tient à rappeler les risques par un communiqué en date du 10 mai dernier :
L’augmentation de la densité de chiens et de chats en état de divagation pose des problèmes de salubrité et de sécurité publique à Mayotte.
Les mois de juin, de juillet et d’août correspondent à de nombreux départs définitifs et chaque année, un certain nombre de propriétaires irresponsables abandonnent ainsi leurs animaux de compagnie au moment de leur départ.
Ce comportement, qui est un délit punissable de 30.000 euros d’amende et de 2 ans d’emprisonnement, n’est pas sans conséquence.
A titre d’exemple, la rage, maladie mortelle, est présente dans certains pays voisins et une importation accidentelle du virus trouverait ainsi un terrain favorable de développement. Les attaques de chiens sur le bétail et la faune sauvage causent d’importants préjudices. En outre, l’abandon de ces animaux en fait une cible aisée favorisant certains actes de malveillance, telle que la maltraitance animale et la délinquance juvénile.
Des investigations seront désormais menées par la direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt afin d’identifier les propriétaires d’animaux abandonnés. Les auteurs de ces délits feront l’objet de procès verbaux transmis au Procureur de la République et les investigations seront relayées jusque sur le territoire métropolitain et les autres DOM/TOM.
Les propriétaires d’animaux qui n’ont pas la possibilité d’emmener leur animal au moment de leur départ peuvent prendre l’attache des associations de protection animale (Gueules d’Amour 0639 686300 ; APPAM 0639 691890). En outre il est rappelé qu’en toute circonstance, un animal domestique doit être identifié, il s’agit d’une formalité obligatoire à Mayotte tout comme sur le reste du territoire français.
Tout renseignement complémentaire peut être demandé au service de l’alimentation de la direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt au 0269611141 – alimentation.daaf@agriculture.gouv.fr.
Source:APOI
L’augmentation de la densité de chiens et de chats en état de divagation pose des problèmes de salubrité et de sécurité publique à Mayotte.
Les mois de juin, de juillet et d’août correspondent à de nombreux départs définitifs et chaque année, un certain nombre de propriétaires irresponsables abandonnent ainsi leurs animaux de compagnie au moment de leur départ.
Ce comportement, qui est un délit punissable de 30.000 euros d’amende et de 2 ans d’emprisonnement, n’est pas sans conséquence.
A titre d’exemple, la rage, maladie mortelle, est présente dans certains pays voisins et une importation accidentelle du virus trouverait ainsi un terrain favorable de développement. Les attaques de chiens sur le bétail et la faune sauvage causent d’importants préjudices. En outre, l’abandon de ces animaux en fait une cible aisée favorisant certains actes de malveillance, telle que la maltraitance animale et la délinquance juvénile.
Des investigations seront désormais menées par la direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt afin d’identifier les propriétaires d’animaux abandonnés. Les auteurs de ces délits feront l’objet de procès verbaux transmis au Procureur de la République et les investigations seront relayées jusque sur le territoire métropolitain et les autres DOM/TOM.
Les propriétaires d’animaux qui n’ont pas la possibilité d’emmener leur animal au moment de leur départ peuvent prendre l’attache des associations de protection animale (Gueules d’Amour 0639 686300 ; APPAM 0639 691890). En outre il est rappelé qu’en toute circonstance, un animal domestique doit être identifié, il s’agit d’une formalité obligatoire à Mayotte tout comme sur le reste du territoire français.
Tout renseignement complémentaire peut être demandé au service de l’alimentation de la direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt au 0269611141 – alimentation.daaf@agriculture.gouv.fr.
Source:APOI