« Amine Kalfane n'a pas été cité ni dans l'interrogatoire, ni devant le tribunal, » a tenu à préciser l'avocat de l'homme d...
« Amine Kalfane n'a pas été cité ni dans l'interrogatoire, ni devant le tribunal, » a tenu à préciser l'avocat de l'homme d'affaire, Me Mahamoud, au cours d'un point de presse ce samedi à Moroni. « Kalfane n'est pour rien, » a-t-il martelé.Le conseiller de Kalfane réagit ainsi aux propos du procureur général, Soilihi Mahamoud, qui avait estimé que Kalfane devrait être aussi entendu dans l'affaire Rifki.
« Si le procureur estime que mon client à quelque chose avoir dans cette affaire, qu'il le prouve. Nous devons être responsable et ne pas j ouer avec des propos diffamatoires, » avait-il lancé. L'avocat s'est dit, par ailleurs, étonné qu'on « s'acharne à vouloir entendre Kalfane qui n'est pas
cité nul part dans le dossier alors qu'on refuse d'auditionner un acteur clé de l'affaire. » Il s'agit, selon lui, du directeur de cabinet du ministre de l'intérieur.
« Si le procureur estime que mon client à quelque chose avoir dans cette affaire, qu'il le prouve. Nous devons être responsable et ne pas j ouer avec des propos diffamatoires, » avait-il lancé. L'avocat s'est dit, par ailleurs, étonné qu'on « s'acharne à vouloir entendre Kalfane qui n'est pas
cité nul part dans le dossier alors qu'on refuse d'auditionner un acteur clé de l'affaire. » Il s'agit, selon lui, du directeur de cabinet du ministre de l'intérieur.
PROCÉDÉES INTERDITES PAR LA LOI
Selon l'avocat, son client était absent du pays au moment des faits. Il ne peut donc être concerné. « Ni son représentant sur place et ni l es autres personnes entendues par la police nationale n'ont évoqué le nom de Kalfane. Et la justice n'avait rien eu à lui reproché, » a fait observer Mr Mahamoud, Il a ainsi qualifié de « dangereux » les propos du procureur évoquant des « soi-
ON S'ACHARNE DE VOULOIR ENTENDRE KALFANE, ALORS QU'ON REFUSE D'AUDITIONNÉ UN ACTEUR CLÉ DU DOSSIER
disant » écoutes téléphoniques, «des procédés interdites par la loi. » Il a, à cet effet, estimé que la Cour d'appel n'avait pas à demander à renvoyer, en première instance, un dossier déjà jugé. Mais se prononcer sur les faits qui lui ont été saisies, à savoir sur l a culpabilité des deux détenus qui avaient fait appel.
M.MOINDJIE : albalad
disant » écoutes téléphoniques, «des procédés interdites par la loi. » Il a, à cet effet, estimé que la Cour d'appel n'avait pas à demander à renvoyer, en première instance, un dossier déjà jugé. Mais se prononcer sur les faits qui lui ont été saisies, à savoir sur l a culpabilité des deux détenus qui avaient fait appel.
M.MOINDJIE : albalad
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