Les négociations ont repris hier après-midi entre les représentants syndicaux, de la grande distribution, des associations des consommateurs...
Les négociations ont repris hier après-midi entre les représentants syndicaux, de la grande distribution, des associations des consommateurs, les petits patrons et la Préfecture. Le patronat est resté campé sur ses positions et a réitéré ses propositions de baisse de prix, déjà proposé il y a dix jours. Les syndicats vont maintenant consulter leur base pour savoir quelle suite donner au mouvement.
Le mouvement social contre le vie chère paralyse l'activité dans l'île aux parfums depuis bientôt trois semaines. A la veille de la rentrée scolaire, les Mahorais espèrent tous un retour au calme pour pouvoir préparer cette reprise dans les meilleures conditions. Cependant, ils ne espèrent avoir gain de cause et obtenir une réelle baisse des prix des produits de première nécessité.
Les négociations se nouent autour des prix de trois produits : le prix de la tonne de sable, le prix du kilo de viande de boeuf, et celui de la bouteille de gaz. Les syndicats ne sont pas satisfaits des propositions du patronat et de la Préfecture sur ces trois produits.
Pour David Nagard, secrétaire général d'IBS, une société de matériel de construction, les négociations ne vont pas aller plus loin en ce qui le concerne. Il a déjà proposé une baisse de 24 euros et ne compte pas en faire davantage. Du côté la Préfecture, Thomas Degos, préfet de Mayotte a rappelé que "le décret pour le gaz concerne toute la population mahoraise", rapporte le Quotidien.
Les négociations entre les différents acteurs portent sur dix produits de première nécessité. Les représentants du patronat et de la grande distribution estiment avoir fait le maximum pour baisser les prix. Mais les syndicats attendent davantage pour soulager les familles Mahoraises.
Les syndicats ont quitté la table des négociations insatisfaits des propositions, mais ils n'écartent pas de revenir aux discussions après consultation avec les manifestants. Les négociations devront reprendre la semaine prochaine. En attendant, les Mahorais tentent tant bien que mal de préparer la rentrée scolaire de demain.linfo.re
Le mouvement social contre le vie chère paralyse l'activité dans l'île aux parfums depuis bientôt trois semaines. A la veille de la rentrée scolaire, les Mahorais espèrent tous un retour au calme pour pouvoir préparer cette reprise dans les meilleures conditions. Cependant, ils ne espèrent avoir gain de cause et obtenir une réelle baisse des prix des produits de première nécessité.
Les négociations se nouent autour des prix de trois produits : le prix de la tonne de sable, le prix du kilo de viande de boeuf, et celui de la bouteille de gaz. Les syndicats ne sont pas satisfaits des propositions du patronat et de la Préfecture sur ces trois produits.
Pour David Nagard, secrétaire général d'IBS, une société de matériel de construction, les négociations ne vont pas aller plus loin en ce qui le concerne. Il a déjà proposé une baisse de 24 euros et ne compte pas en faire davantage. Du côté la Préfecture, Thomas Degos, préfet de Mayotte a rappelé que "le décret pour le gaz concerne toute la population mahoraise", rapporte le Quotidien.
Les négociations entre les différents acteurs portent sur dix produits de première nécessité. Les représentants du patronat et de la grande distribution estiment avoir fait le maximum pour baisser les prix. Mais les syndicats attendent davantage pour soulager les familles Mahoraises.
Les syndicats ont quitté la table des négociations insatisfaits des propositions, mais ils n'écartent pas de revenir aux discussions après consultation avec les manifestants. Les négociations devront reprendre la semaine prochaine. En attendant, les Mahorais tentent tant bien que mal de préparer la rentrée scolaire de demain.linfo.re
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