Les Comores à l’heure de l’histoire. On célèbre les joueurs, et c’est mérité. Mais derrière eux, des hommes travaillent dans l’ombre : Abou Dafine, le
J-1 : Les Comores à l’heure de l’Histoire
Depuis le début des qualifications, j’ai voyagé avec un seul symbole : le drapeau comorien. Par amour pour ce pays.
On célèbre les joueurs, et c’est mérité. Mais derrière eux, des hommes travaillent dans l’ombre : Abou Dafine, le grand Adrami, Momo, Djamal, El Hadade, le capitaine Kaïysii, tout le staff, mon père Youssouf Ali Ibouro (RCM 13) et mon ami Kassim Oumuri. Leur rigueur et leur amour pour les Comores ont bâti cette réussite.
Respect à l’entraîneur pour sa détermination. Les résultats parlent : l’Histoire s’écrit.
Aux joueurs : vous portez l’âme des Comores. Faites-nous rêver !
Pour des raisons personnelles, je ne pourrai pas être avec vous cette fois-ci, mais mon cœur reste à vos côtés.
Merci à la Fédération comorienne de football et au Ministère des Sports pour cette réussite collective.
Par amour de la patrie.
Mchangama Oubeid, journaliste

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