Photo d'archives NOTABLES DE NGAZIDJA A NTSUDJINI, LE POUVOIR EN EMOI. En réponse à l’amateurisme des amis d’Azali et de la CRC...
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NOTABLES DE NGAZIDJA A NTSUDJINI, LE POUVOIR EN EMOI.
En réponse à l’amateurisme des amis d’Azali et de la CRC aussi imprudents au foyer des femmes de Moroni il y a une semaine, les notables de Ngazidja se veraient à Ntsudjini ce Mercredi 17 Avril 2019. Moment où c’est à Ntsudjini que ces notables devraient se réunir, cela traduit que non.
La mise en quarantaine imposée à Ntsudjini par les amis d’Azali, est veine. Cette réunion publique, qui se réfère aux effets et aux normes de nos us et coutumes rassemblerait presque toute la notabilité de l’île de Ngazidja pour rendre la monnaie de sa pièce.
Comme les vrais hommes font les vrais pouvoirs, la volonté de se réunir de ces notables, met le pouvoir mal alaise. C’est pour cela que le colonel Azali a assommé Said Djaé Karihila, son préfet posé en région d’Itsandra pour empêcher très rapidement cette réunion. Moment où la peur et la dictature se marient, l’incohérence et le ridicule se rendent pleins dans la faculté du préfet. Il interdit les réunions publiques, mais il autorise le meeting politic. Quel désordre !
Chaque jour qui se lève, des preuves de la dictature se présentent. Colonel Azali et préfet Said Djaé Karihila, prennent les comoriens pour des obtus. Empêcher les réunions publiques et autoriser les meetings car, seuls les candidats de leur club à Ngazidja… aux élections de gouverneurs est plus que déloyal. Lorsqu’on pousse un animal ou l’individu vers le recoin, il faut s’attendre à un retour aussi violent. Mohamed boun sharafa, Ali Azali et consorts, sont empêchés de fouler le sol de Ntsudjini par un enfant de Ntsudjini au service du colonel A zali.
Une chose est sûre, les hommes qui ont prononcé les paroles de mise en quarantaine de la ville d’Ntsudjini, ignorent complètement la constitution de notre île, et son histoire. Même si ces amis d’Azali, ont eu le mot facile pour empêcher ceux qui ne sont pas avec eux… Sans doute cette décision contre la ville de Ntsudjini par le préfet Said Djaé et colonel Azali risque de faire naitre des braises, un climat inhabituel.
Par Said Yassine Said Ahmed
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