Il vaut mieux tourner sa langue 7 fois dans sa bouche avant de se ridiculiser, même si fort heureusement le ridicule ne tue pas. Comm...
Il vaut mieux tourner sa langue 7 fois dans sa bouche avant de se ridiculiser, même si fort heureusement le ridicule ne tue pas.
Comment quelqu’un qui n’a pas pu faire élire et/ou faire gagner son leader « Ye mzé nguena Nvuwu » peut se targuer de faire des analyses politiques visant à démontrer et démonter la logique de gagner les élections du 24 mars prochain dès le 1er tour par le candidat de la mouvance présidentielle Azali Assoumani ?
Il aurait mieux fallu que Hamidou Saïd Ali jette un coup d’œil sur les résultats des élections présidentielles de 2016 pendant lesquels ses acolytes et lui même nous ont fabriqué le fameux troisième tour, un inédit mondial.
Soit, il est amnésique ou bien il n’est pas encore sorti de son agonie d’arnaqueur avéré de ces temps.
A-t-il oublié ou essaie-t-il de soulager sa conscience ? Car à ce que je sache, lors des élections de 2016, Azali n’a pas gagné dans la plupart des grandes villes qu’il cite. N’empêche qu’il est depuis le 26 Mais 2016 le Président de tous les comoriens.
Qu’il le sache et qu’il l’intègre que le la logique de « Ye gwa ndzima » prônée par la mouvance présidentielle n’est plus un slogan mais plutôt une réalité tangible qui se concrétise à travers la campagne menée par notre équipe gagnante ; celle qui a gagné hier contre lui et ses acolytes et qui gagnera ce 24 Mars 2019.
Etant à l’opposition pendant 10 ans, on les a battu eux qui avaient le pouvoir durant 10 longues années successives avec tous les soutiens affichés des affidés d’un néocolonialisme anachronique, de l’argent du contribuable comorien mais non pas celui du peuple ni de Dieu.
Qu’ils continuent de rêver ǃ
Fait-il semblant d’oublier que ces grandes villes sont des chefs lieux de régions respectives dont l’addition de nombre d’électeurs dans le reste des villages de chacune a toujours dépassé largement les voix du chef lieu régional?
Eux, ils ont visé les grandes villes et nous le peuple comorien quel que soit son origine ; citadine ou rurale. Sachant qu’après tout, c’est la valeur absolue du nombre d’électeurs inscrits sur la liste électorale qui fait gagner tel ou tel candidat dans une élection. Qu’il comprenne qu’il s’agit ici d’une addition quantitative de nombre d’électeurs et non d’une addition qualitative de la valeur de nos grandes villes. Mais peut être qu’il voulait nous livrer comment ils ont fait échouer leur candidat Mamadou en 2016.
Il faudrait bien que sieur Hamidou révise ses fondamentaux statistiques et sémantiques pour s’éviter des confusions ridicules qui mettent à jour son image d’expert en échec électoral.
Comme si le fait d’avoir plusieurs fois redoublé une classe te forgeait une expertise pour faire réussir quelqu’un à un examen auquel on aurait soit même échoué.
Bo Haaaamiiiii !!!! YE GWA NDZIMA !!!
Tadjidine Ben Ahmed
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