DROIT DE RÉPONSE RELATIF A L’ARTICLE PUBLIÉE DANS Habarizacomores.com EN DATE DU 28 MARS 2017 INTITULÉ « QUAND IBRAHIMA HISSANI S’ÉRIGE...
DROIT DE RÉPONSE RELATIF A L’ARTICLE PUBLIÉE DANS Habarizacomores.com EN DATE DU 28 MARS 2017 INTITULÉ « QUAND IBRAHIMA HISSANI S’ÉRIGE EN PORTE PAROLE DE JEAN MARC HEINTZ »
Dans cet article, le journaliste souligne qu’il y a trafic d’influence, et parle d’une facture de 220 000KMF qui aurait servi à payer le journal pour que je puisse publier mon article.
1) Il s‘agit d’une accusation gratuite, puisque si ce monsieur avait lu attentivement mon article, il se serait aperçu que j’y écris que j’ai demandé aux deux institutions de l’état de voir ensemble comment publier les textes majeurs pris par l’état pour légiférer et réglementer l’aviation civile comorienne pour éclairer l’opinion.
Que cela se soit traduit par des factures ne vient pas d’une demande personnelle et je n’en suis pas informé. C’est une cuisine interne aux deux institutions, qui relève de leur responsabilité. Mais cela m’étonnerait qu’il y ait eu facture !
Mon article est publié au même titre que les autres, car je n’ai pas connaissance qu’il faille payer pour écrire dans Alwatwan.
J’avais demandé au DG du journal qui m’a donné son accord, comme il l’a donné à mon collègue Said Abdallah.
2) Je constate qu’il n’y a aucun article critique et virulent lorsque, des gens expriment des opinions qui vont dans un sens correspondant peut être à l’opinion de votre journaliste.
3) Enfin, je me permets de vous adresser les textes sur lesquels je me suis appuyé pour rédiger mon article.
C’est une partie de ces textes que j’avais demandé à l’ANACM et au journal Alwatwan de voir la faisabilité d’une publication pour éclairer l’opinion. Ils n’ont pas été publiés, donc pas de facture payée.
M Heintz est nommé à ce poste par le Président Azali. J’entretiens des relations professionnelles avec lui comme avec tant d’autres.
Toutefois si être son porte parole, c’est assumer les engagements de l’état et lui éviter des conséquences lourdes en éclairant l’opinion et les décideurs, je l’assume avec fierté.
J’espère qu’à l’avenir, votre collègue, lira plus attentivement les textes qu’il veut critiquer et qu’il fera un travail d’investigation digne d’un journaliste, avant de porter des accusations.
Je vous remercie de publier ce droit de réponse.
Ibrahima Hissani Mfoihaya