Nous autres animés par le souci d'un changement positif de notre Comores ne tolérons jamais une invention de l'histoire. Nous somme...
Nous autres animés par le souci d'un changement positif de notre Comores ne tolérons jamais une invention de l'histoire. Nous sommes les gardiens de l'histoire.
Je suis tombé sur un arcicle très bien écrit par un homme dont je salue les qualités morales, un article qui m'a choqué par la déformation de l'histoire, ouvrant des pages sombres de notre jeune Nation.
L'article mettait en valeur un des grands hommes de l'histoire du pays: l'intellectuel et homme politique Mouzaoir Abdallah.
Ce frais intellectuel des années soixante dix était l'enfant chéri de feu AHMED ABDALLAH ABDEREMANE. Ce dernier fait de lui le représentant du pays à Paris avant de lui laisser occuper la prestigieuse présidence du parlement.
Notre émminent intellectuel, par une ingratitude doublée d'un chauvinisme retrograde démissionnera du parlement afin de priver AHMED ABDALLAH du leadership dans la marche vers l'indépendance. Complotant avec ALI SOILIH MTSACHIOI, Chehou, à défaut de stopper la souveraineté nationale sera le principal acteur du séparatisme maorais.
Notre pays n'a pas besoin de ces sombres pages. S'il vous plait, arrêtez! ne nous poussez pas à faire des terribles rappels.
Dieu, dans toute sa clémence, ne favorisera jamais ceux qui ont sciemment malmené le peuple et les chatie vivant et mort.
Si non, qui pourrait faire le poids contre le grand MOUZAOIR dans la quête du pouvoir si ce n'est la volonté justifiée de Dieu.
J'appelle AZALI à méditer et à ne pas être en retard sur la mutation de l'histoire de notre Comores. Il peut, donc il doit.
BEN ALI
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