Comme vous, j'étais dans la conviction que les Comores ont raté leur plus grand rendez vous avec l'histoire en perdant le grand r...
Comme vous, j'étais dans la conviction que les Comores ont raté leur plus grand rendez vous avec l'histoire en perdant le grand révolutionnaire ALI SOILIH MTSACHIWA.
Je nourrissais effectivement des doutes en sachant que c'est lui qui a tué le digne bébé du 6 juillet 1975.
Partant de ce doute, je me suis lancé ici et là sur la recherche de la vérité sur l'homme. Et croyez moi, j'ai fait une macabre découverte. J'appelle tous ceux qui estime l'homme du 3 août 1975, à prier pour lui pour que Dieu lui allège son fardeau.
ALI SOILIH a trahi son pays pour un pouvoir sans partage, fait de mensonges, de dolosions et de brillantes manipulations. Il a ouvert la voie du mercenariat. Ali est de loin, le premier responsable de l'éloignement de Mayotte et il a fait sciemment, sachant qu'il est manipulait. Il était assez intelligent pour comprendre ses complices.
ALI SOILIH a sapé les mœurs de notre pays, mis à mal la dignité de notre tradition, déshonorant par un orgueil cynique les respectables familles de notre pays en s'armant par des individus qui n'avaient rien à perdre: les imberbes de l'écrivain Mohamed TOIHIRI.
ALI maquillait ces actes par des discours populistes et hystériques et profitait dans cet effervescence de détruire les fondements même de notre Nation. Le Trésor public était dans sa mallette, il avait tué l'administration, faisant des comoriens des personnes sans identité ni repère. Cet anarchiste nourrissait une haine injustifiée contre les personnes respectables. Il tirait un grand plaisir à les déshonorer en s'en prenant à tout ce qu'elles avaient de plus cher: les femmes, leurs biens matériels...
J'appelle les soilihistes à un débat courageux et digne pour éclairer les comoriens. Je persiste encore sur le fait qu'ALI SOILIH n'était pas rationnel et pour sa mémoire, je ne me réserve de mettre au grand des actes encore plus ignobles.
J'appelle les comoriens et les comoriennes à ne pas s'endormir sur un tissu de mensonges et de se mettre débout pour un vrai changement par une révolution honnête pour le peuple et par le peuple.
Je reviendrai sur une lumière sur la réalité des "Moudiriya" qui servent de bouclier au speudo révolutionnaire et à ceux qui se réclame d'un soilihisme comme alternative.
Oui, nous n'avons pas connu des dirigeants exemplaires, mais le pire était ALI SOILIH.
BEN ALI