Une nouvelle agression à l'arme blanche est venue entacher cette journée à Mayotte. En marge de la manifestation populaire de la cours...
Une nouvelle agression à l'arme blanche est venue entacher cette journée à Mayotte.
En marge de la manifestation populaire de la course de pneus organisée cet après-midi sur Mamoudzou, une jeune de 17 ans originaire de Pamandzi s'est fait poignarder au bras gauche.
Au beau milieu du millier de personnes présentes sur la place de l'ancienne marché où se tenait des manifestations culturelles, de danses et de chants, un soudain mouvement de foule vers le rond-point de la barge a attiré l'attention du public. Le jeune pamandzien venait de se faire poignarder après avoir été pris à partie par une bande voyous qui n'était aucunement concernée par la fête de la course de pneus.
La victime a été rapidement prise en charge par la croix-rouge présente heureusement sur les lieux, avant que le SMUR ne vienne évacuer le jeune poignardé vers le CHM.
En marge de la manifestation populaire de la course de pneus organisée cet après-midi sur Mamoudzou, une jeune de 17 ans originaire de Pamandzi s'est fait poignarder au bras gauche.
Au beau milieu du millier de personnes présentes sur la place de l'ancienne marché où se tenait des manifestations culturelles, de danses et de chants, un soudain mouvement de foule vers le rond-point de la barge a attiré l'attention du public. Le jeune pamandzien venait de se faire poignarder après avoir été pris à partie par une bande voyous qui n'était aucunement concernée par la fête de la course de pneus.
La victime a été rapidement prise en charge par la croix-rouge présente heureusement sur les lieux, avant que le SMUR ne vienne évacuer le jeune poignardé vers le CHM.
A priori ses jours ne sont pas en danger, mais l'agression est là. Les auteurs de cette violence gratuite se sont volatilisés dans la nature, malgré l'intervention des forces de l'ordre.
Voilà une nouvelle agression, une fois de plus, qui plus est en plein centre ville. Même en présence sur Mamoudzou du Premier Ministre Manuel VALLS, rien n’arrête la violence à l'arme blanche.
Jusqu'à quand ?
