Les sambistes de la Grande-Comore disent: «Merci Iki pour ce projet de loi» Maintenant, ils sont en guerre pour l’héritage 1000 fois maudi...
Les sambistes de la Grande-Comore disent: «Merci Iki pour ce projet de loi»
Maintenant, ils sont en guerre pour l’héritage 1000 fois maudit du sambisme !
Maintenant, ils sont en guerre pour l’héritage 1000 fois maudit du sambisme !
Ah! Si les Comoriens pouvaient l’entendre! Il y a de la musique dans le bouillonnement du ruisseau. Et, ce qui devait arriver arriva: Ahmed Sambi est définitivement un soldat mort avant la guerre. C’est la fin de la lutte nocturne, c’est le début de la guerre de l’héritage des milliards pour faufiler la campagne de 2016. C’est la bonne guerre entre les sambistes de la Grande-Comore : Fahmi Saïd Ibrahim, Bourhane Hamidou et Ahmed Hassane El Barwane… Les sambistes de la Grande-Comore ont fait une très bonne campagne nocturne pour faire voter ce projet de loi organique relatif à l’élection du Président de l’Union des Comores, qui gomme l’unique possibilité d’Ahmed Sambi à se porter candidat en 2016 pour le poste de Président de la République. Ils ont tué Ahmed Sambi dans l’œuf sans faire du bruit. La bonne guerre? En tout cas, «le jour où personne ne reviendra d’une guerre, c’est qu’elle aura enfin été bien faite». Nous y sommes: Ahmed Sambi est définitivement un soldat mort avant la guerre. Même s’il sillonne encore le pays pour vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué et promettre la construction de 5 hôtels 5 étoiles de type Galawa Beach à Mitsamiouli, il ne sera pas candidat à la présidence de la République en 2016.
Excellence Monsieur le définitivement et irrémédiablement ancien Président Ahmed Sambi, pour la énième fois un opposant à votre politique se nomme Mrimdu. Il n’est ni votre ami, ni votre ennemi; seulement il vous dit tout haut ce que les sambistes de la Grande-Comore, y compris Fahmi Saïd Ibrahim, vous cachent tout bas! Ils vous ont précipité à déclarer une candidature fantoche trois ans avant l’élection, dans le but de vous faire couler avant l’heure et faire de vous un soldat mort avant la guerre, pour pouvoir ainsi utiliser votre argent (très mal acquis?) pour faire la campagne électorale de 2016. Ils font comme le terrible enfant adoptif inscrit sur le testament de son beau-père et qui priait pour que son beau-père trouve la mort rapidement, allant jusqu’à lui offrir le poison qui allait provoquer sa mort. Quand je parle de mort, c’est une mort politique. Allons, ne pensons pas mal…
Oui, je le pense que le fameux et très grand «expert juridique» Fahmi Saïd Ibrahim, «le fidèle aux bons conseils juridiques et politiques», a joué le rôle d’un missile sous-marin pour détruit le navire Juwa en plein océan, tout en se déclarant perfidement et traîtreusement sambiste de la première heure. Oui, je le pense. Le non moins «grand et brillant» Bourhane Hamidou et Fahmi Saïd Ibrahim ont fait une très bonne campagne nocturne pour faire voter ce projet de loi organique relatif à l’élection du Président de l’Union qui empêche définitivement Ahmed Sambi de se porter candidat en 2016. Ils ont tendu un guet-apens à celui qu’ils appellent hypocritement et sans vergogne «cher papa Ahmed Sambi». Ce dernier ne comprenant rien de rien, sillonne le pays pour vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, se voyant déjà Président en 2016-2021, 2021-2026, 2026-2031, 2031-2036 et à vie, puisqu’il est le seul Comorien digne et capable d’être dignement chef d’État. Oui, les sambistes de la Grande-Comore ont tué le père dans l’œuf. Ils se régalent en silence et disent: «Merci Iki pour ce projet de loi».
Le fait que le candidat soit obligé de s’inscrire sur les listes électorales de l’île à qui échoit la tournante pose deux problèmes majeurs au leader immortel du Juwa:
1.- À la différence de Hakim Ali Saïd, Sambi ne pourrait pas s’inscrire sur la liste de Mutsamudu sa ville natale, lui permettant de se présenter aux primaires d’Anjouan et le lendemain atterrir quelque part à Ngazidja pour le même exercice. Soyons sérieux.
2.- Cela veut dire aussi que les conditions d’éligibilité insulaire s’imposent à lui. C’est une nouveauté puisque jusqu’ici la Constitution restait muette. Rappelons que l’ancien Président Ahmed Sambi n’avait pas «un droit quelconque» pour se présenter aux primaires de l’élection présidentielle de 2016 à Ngazidja. MAIS, il avait seulement la possibilité de se présenter du seul et «unique fait» que la Constitution restait muette. C’est tout. À mon sens, cette obligation de s’inscrire sur la liste électorale de l’île à qui échoit la tournante comble ce vide et, de muette, la même Constitution est devenue très parlante et bavarde.
Pour bien comprendre le cas désespérant d’Ahmed Sambi, il suffit par exemple de se demander si Ahmed Hassane El Barwane pourrait avoir une possibilité de se faire élire Vice-président de l’île autonome d’Anjouan en 2016. La réponse est catégorique et définitive: «Non». Alors, Ahmed Sambi n’a aucune possibilité de se faire élire vice-président de la Grande-Comore, par conséquent ne pourra pas se présenter aux élections primaires de la Grande-Comore pour le poste de Président de la République. C’est en tout cas ce que je pense. Donc à 2021, hombre. Hein? À 2021, man.
Mrimdu
Excellence Monsieur le définitivement et irrémédiablement ancien Président Ahmed Sambi, pour la énième fois un opposant à votre politique se nomme Mrimdu. Il n’est ni votre ami, ni votre ennemi; seulement il vous dit tout haut ce que les sambistes de la Grande-Comore, y compris Fahmi Saïd Ibrahim, vous cachent tout bas! Ils vous ont précipité à déclarer une candidature fantoche trois ans avant l’élection, dans le but de vous faire couler avant l’heure et faire de vous un soldat mort avant la guerre, pour pouvoir ainsi utiliser votre argent (très mal acquis?) pour faire la campagne électorale de 2016. Ils font comme le terrible enfant adoptif inscrit sur le testament de son beau-père et qui priait pour que son beau-père trouve la mort rapidement, allant jusqu’à lui offrir le poison qui allait provoquer sa mort. Quand je parle de mort, c’est une mort politique. Allons, ne pensons pas mal…
Oui, je le pense que le fameux et très grand «expert juridique» Fahmi Saïd Ibrahim, «le fidèle aux bons conseils juridiques et politiques», a joué le rôle d’un missile sous-marin pour détruit le navire Juwa en plein océan, tout en se déclarant perfidement et traîtreusement sambiste de la première heure. Oui, je le pense. Le non moins «grand et brillant» Bourhane Hamidou et Fahmi Saïd Ibrahim ont fait une très bonne campagne nocturne pour faire voter ce projet de loi organique relatif à l’élection du Président de l’Union qui empêche définitivement Ahmed Sambi de se porter candidat en 2016. Ils ont tendu un guet-apens à celui qu’ils appellent hypocritement et sans vergogne «cher papa Ahmed Sambi». Ce dernier ne comprenant rien de rien, sillonne le pays pour vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, se voyant déjà Président en 2016-2021, 2021-2026, 2026-2031, 2031-2036 et à vie, puisqu’il est le seul Comorien digne et capable d’être dignement chef d’État. Oui, les sambistes de la Grande-Comore ont tué le père dans l’œuf. Ils se régalent en silence et disent: «Merci Iki pour ce projet de loi».
Le fait que le candidat soit obligé de s’inscrire sur les listes électorales de l’île à qui échoit la tournante pose deux problèmes majeurs au leader immortel du Juwa:
1.- À la différence de Hakim Ali Saïd, Sambi ne pourrait pas s’inscrire sur la liste de Mutsamudu sa ville natale, lui permettant de se présenter aux primaires d’Anjouan et le lendemain atterrir quelque part à Ngazidja pour le même exercice. Soyons sérieux.
2.- Cela veut dire aussi que les conditions d’éligibilité insulaire s’imposent à lui. C’est une nouveauté puisque jusqu’ici la Constitution restait muette. Rappelons que l’ancien Président Ahmed Sambi n’avait pas «un droit quelconque» pour se présenter aux primaires de l’élection présidentielle de 2016 à Ngazidja. MAIS, il avait seulement la possibilité de se présenter du seul et «unique fait» que la Constitution restait muette. C’est tout. À mon sens, cette obligation de s’inscrire sur la liste électorale de l’île à qui échoit la tournante comble ce vide et, de muette, la même Constitution est devenue très parlante et bavarde.
Pour bien comprendre le cas désespérant d’Ahmed Sambi, il suffit par exemple de se demander si Ahmed Hassane El Barwane pourrait avoir une possibilité de se faire élire Vice-président de l’île autonome d’Anjouan en 2016. La réponse est catégorique et définitive: «Non». Alors, Ahmed Sambi n’a aucune possibilité de se faire élire vice-président de la Grande-Comore, par conséquent ne pourra pas se présenter aux élections primaires de la Grande-Comore pour le poste de Président de la République. C’est en tout cas ce que je pense. Donc à 2021, hombre. Hein? À 2021, man.
Mrimdu
