Un public indigné et convaincu de l'innocence des accusés! L e 9 mars 2014 à La Courneuve, les représentants de plusieurs associa...
Un public indigné et convaincu de l'innocence des accusés!
Dès la prise de parole de Maître Baco, le public a commencé à comprendre la complexité de l’affaire et le danger qui guette les prisonniers.
Maître Baco défie quiconque qui pourra trouver la moindre preuve matérielle, voire même un couteau de cuisine dans cette affaire. D’ou l’importance de la mobilisation de tous, frère, sœur, cousin, ami, connaissance... car c’est un danger de laisser l’insécurité s’installer. aux Comores
Comme à ses habitudes, Maître Baco n’a pas oublié Boléro qui a subit lui aussi le jet d’eau, étant instigateur de ce faux Coup d’Etat.
Maitre Baco précise que l’affaire sera jugée par une cour spéciale dite Cour de Sûreté, créé en 1982 par le régime mercenarial. Cette cours ne permet pas d'appel au jugement rendu.
Said Mzé Dafiné a plus qu’enfoncer le clou: "Personne n’est à l’abri. Toute personne peut se faire arrêter à n’importe quel moment". Il est plutôt exaspéré du silence de la population.
« Le peuple est en danger; j’ai plusieurs raisons de m’inquiéter de l’immobilisme de ce peuple. La peur ne résoudra rien; nous devons tous nous sentir coupable de cet immobilisme. »
Comite de Soutien aux Accusés du Coup d'Etat du Mois d'Avril 2013
Le
9 mars 2014 à La Courneuve, les représentants de plusieurs associations
dont SOS Démocratie, ont répondu à l’invitation du Comité de Soutien
des accusés de la tentative de coup d’Etat du 21 avril 2013.
Deux heures et demie de débat soutenu, avec questions
et réponses pour mieux cerner le dossier; le comité a demandé à l’un
des avocats des accusés, Maitre Baco et à Said Mzé Dafiné, Président de
l’ONG ACJED, une association qui défend les droits de l’homme aux Comores de participer à cette réunion d’informations.La présence du Général SALIM AMIRI n’est pas passée inaperçue aux participants.
Dès la prise de parole de Maître Baco, le public a commencé à comprendre la complexité de l’affaire et le danger qui guette les prisonniers.
Maître Baco défie quiconque qui pourra trouver la moindre preuve matérielle, voire même un couteau de cuisine dans cette affaire. D’ou l’importance de la mobilisation de tous, frère, sœur, cousin, ami, connaissance... car c’est un danger de laisser l’insécurité s’installer. aux Comores
Comme à ses habitudes, Maître Baco n’a pas oublié Boléro qui a subit lui aussi le jet d’eau, étant instigateur de ce faux Coup d’Etat.
Maitre Baco précise que l’affaire sera jugée par une cour spéciale dite Cour de Sûreté, créé en 1982 par le régime mercenarial. Cette cours ne permet pas d'appel au jugement rendu.
Said Mzé Dafiné a plus qu’enfoncer le clou: "Personne n’est à l’abri. Toute personne peut se faire arrêter à n’importe quel moment". Il est plutôt exaspéré du silence de la population.
« Le peuple est en danger; j’ai plusieurs raisons de m’inquiéter de l’immobilisme de ce peuple. La peur ne résoudra rien; nous devons tous nous sentir coupable de cet immobilisme. »