La Grande déroute de l'opposition se poursuit. La fameuse lettre au président révèle encore une fois de plus les nombreuses failles intellectuelles et
La Grande déroute de l'opposition se poursuit
La fameuse lettre au président révèle encore une fois de plus les nombreuses failles intellectuelles et idéologies de l'opposition Comorienne. Face aux multi-crises qui paralysent le pays , le gouvernement comme l'opposition sont sans réponse. Du côté de l'opposition, les nombreuses années d'attentisme sans rien faire d'important et de nécessaire, ont causé sa grande déroute idéologique et intellectuelle.
Cette déroute s'empire du fait du manque de vision politique, économique et sociale.
Qu'est ce qui prouve l'immaturité politique et la soif de pouvoir de l'opposition ?
La lettre au président adressée par une opposition qui dit ne pas reconnaître le Président Azali en tant que tel a montré bien l'absence d'une opposition politique aux Comores. Une opposition en dispersion qui a tenté de sauver les meubles à l'initiative de maître Ibrahim Ali Mzimba avec l'idée d'émettre une lettre au chef de l'État, en vain. Au demeurant, nous avons vu cela arriver.
L'opposition est toujours invisible et inaudible sur les vraies questions politiques qui préoccupent la société nationale. Qu' avait à dire l'opposition aux Comoriens sur la loi d'exclusion, et de division d'Azali? Qu'a-t-elle fait comme proposition sur la vie chère que subissent les comoriens et les Comoriennes ?
Elle ne dit rien de spécial, pourtant depuis 2019, elle ne cesse pas de quereller dans le désert où personne ne l'entendra. À peine une semaine, Monsieur Barouwane a apposé sa signature sur une lettre écrite par Idi Boina du parti mwigni, au Président de la République, ce qui n'a pas fait l'unanimité en leur sein, et accentue encore plus leur division. Même pas deux semaines de cela, le même Barouwane d'une semaine plus tôt et son groupe nous disent que la fameuse lettre au président est dorénavant considérée comme nulle et non avenue.
Mais quelle idiotie ? Qu'est ce que cela veut dire ? Comment réagit -il le groupe de Mouigni Baraka en apprenant la comédie du front commun ? En vrai, avec les illusions et l'hypocrisie dont l'opposition fait preuve, elle a fini par créer de l'indignation, du rejet, de dégoût chez les Comoriens. Tantôt , cette opposition a bêtement l'impression d'être la seule et unique formation politique légitime aux Comores, tout en oubliant que la population comorienne se rajeunit et se forme, par conséquent, la force et la prise en otage du pays par Azali en est, certes, le fruit. Tantôt elle recule sur le paramètre politique du pays, et s'absente au rendez-vous démocratique, comme elle le prétend, du fait qu'elle se sent en réalité, impuissante et dépourvue de vraie personnalité politique propre.
L'azalisme à réussi à en découdre avec l'opposition et nul n'arrivera jamais à faire la tentative de revigorer cette inconsistance. L'opposition s'embrase pour de vrai.
La classe politique Comorienne est composée de deux types de tyrans qui sont les suivants :
- le tyran assoiffé de pouvoir comme l'est l'opposition malheureusement mise hors du jeu par l'emprise azaliste. Elle fait preuve d'imposture, de panne de profil, d'éléments de langage politique. Elle a complètement perdu la boussole.
- le tyran érotomane ou de syndrome de Clérambault , ceci est à la fois attribuée au président Azali et à l'opposition.
a/ au président Azali par rapport à sa détermination non réfléchie, de faire tout ce qu'il veut, quand il veut et où il veut, en ayant, en même temps, la conviction délirante d'être aimé. Ceci se traduit, certes, par une forme de psychose paranoïaque de la catégorie des délires pationnels. La chute de ces genre de personnes est souvent surprenante du fait qu'on ne voit même pas arriver.
b/ à l'opposition de par son immaturité politique, son manque de vision mais surtout sa vantardise de se croire excessivement le meilleur de la politique Comorienne, pourtant elle est égale à 0 × 1.000.000 = 0. Du coup, l'opposition se déguise en convocations illusoires. Elle est toujours campée dans les Comores d'hier.
Même si la démocratie ne s'applique pas aux Comores, et que les populations ne sont pas laissées choisir librement leur mandataire pour gérer leur pays et leurs biens , la participation de l'opposition au rendez-vous démocratique, est substantielle.
Le mouvement yaroibi-oummat, la voix des sans-voix vous souhaite un ramadan Moubarak.
Du SG Salim
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