La nomination d’Azali Assoumani à la présidence de l’UA : un affront à la démocratie et au peuple ! Sous son règne, la liberté d’expression est réprim
La nomination d’Azali Assoumani à la présidence de l’UA : un affront à la démocratie et au peuple !
L’Union Africaine est confrontée à de nombreux défis, tels que la corruption, les conflits et l’absence de leadership efficace. Cependant, certains de ces problèmes peuvent être attribués à la mainmise de l’Occident sur l’Union et à la présence de dirigeants autoritaires tels que le dictateur Azali Assoumani des Comores. Cette situation transforme l’Union Africaine en une corbeille de crabes où les intérêts personnels des dirigeants prévalent sur ceux de l’ensemble du continent.
Depuis des années, les peuples en Union des Comores sont soumis à la tyrannie d’un dictateur sans pitié. Sous son règne, la liberté d’expression est réprimée, les élections sont truquées, et les opposants politiques sont emprisonnés, torturés et assassinés. Les droits de l’homme sont bafoués, la corruption est généralisée et l’économie du pays a été pillée.
Malgré ces crimes en tous genres et contre l’humanité, ce despote Azali Assoumani vient d’être nommé président de l’Union africaine, l’organisation continentale qui prône la démocratie, les droits de l’homme et la bonne gouvernance. Cette nomination est un outrage à la démocratie, à la justice et à la dignité humaine.
En acceptant cette nomination, les dirigeants africains ont tourné le dos aux valeurs qu’ils prétendent défendre. Ils ont trahi la confiance de leurs peuples et ont sapé la crédibilité de l’Union africaine. Ils ont également envoyé un message désastreux aux autres dictateurs et tyrans du monde entier : que leurs crimes ne seront pas punis, qu’ils seront récompensés et même célébrés.
Cette nomination est également une insulte aux victimes comoriens et anjouanais de la tyrannie. Ceux qui sont torturés, emprisonnés ou assassinés sous le règne de ce dictateur, ont droit à la justice et à la réparation. Ils ne méritent pas de voir leur bourreau célébré comme un leader africain.
Enfin, cette nomination est un danger pour la stabilité et la paix en Afrique. Les dictateurs sont souvent les premiers à exploiter les conflits et les divisions pour maintenir leur pouvoir. En leur offrant une tribune internationale, l’Union africaine risque d’encourager leur ambition et leur agressivité.
Il est temps que l’Union africaine se ressaisisse. Il est temps que les dirigeants africains se tiennent aux côtés de leur peuple et défendent les valeurs de la démocratie, des droits de l’homme et de la justice. La nomination d’un dictateur à la tête de l’Union africaine est un scandale qui ne doit pas être ignoré ou toléré.
En le nommant président de l’Union africaine, l’UA envoie un message fort que la promotion de la démocratie et des droits de l’homme ne sont pas ses priorités. C’est une insulte aux peuples africains qui aspirent à la liberté et à la justice.
L’UA doit se ressaisir et annuler immédiatement cette nomination. L’Afrique mérite des dirigeants qui respectent la démocratie et les droits de l’homme, pas des dictateurs comme Azali Assoumani.
Le peuple anjouanais mérite : droits, justice et souveraineté !
Anli Yachourtu Jaffar
28 février 2023
COMMENTAIRES