Moins de 20% d’admis d’office à la Grande-comore et moins de 10% à.La mort du système éducatif d’une Nation est synonyme de la fin de tous ses espoirs
La mort du système éducatif d’une nation est synonyme de la fin de tous ses espoirs
Moins de 20% d’admis d’office à la Grande-comore et moins de 10% à Anjouan à l’examen national le plus important du pays et personne ne dit rien.
Sans avoir fait les calculs, mais se basant sur le schéma des années passées, moins de 20% de ces lauréats seraient issus de l’enseignement public.
Le système éducatif se meurt ainsi à petit feu sous la responsabilité de ces comédiens incompétents qui dirigent les Comores et pendant ce temps le peuple est noyé dans les Machouhouli.
Cela va bientôt faire une décennie que l’on est resté dans cette série de résultats catastrophiques sans qu’aucune mesure sérieuse et durable ne soit prise pour redresser cette pente drastique.
Pire, il semblerait que personne ne se rende compte que la coïncidence des Machouhouli à la période des examens nationaux tel le baccalauréat ne peut être que d’un effet très négatif sur la performance des élèves.
Il est donc de la responsabilité partagée de l’Etat et des communautés de revoir les priorités de ce peuple.
On peut tout reconstruire de ce que ces aventuriers sont en train de saboter (agriculture, santé, infrastructures etc) mais si on les laisse détruire le système éducatif ce sera la fin de tout espoir et de tout rêve.
Prof CHARAHABIL MOHAMED M.
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