Les citoyens Comoriens, ne cessent de vivre une vi.Cette vie chère qui nous laisse indifférent à cause de l’assistanat et qui nous réduit en silence !
Cette vie chère qui nous laisse indifférent à cause de l’assistanat et qui nous réduit en silence !
La stratégie en est que, toutes réformes et mesure prises en périodes de nos festivités de mariages, personne ne s'en souci guerre pour ne pas perturbé en petite pensée, "Yemashuli bahalaza gnungu pvodziho".
Les citoyens Comoriens ne cessent de vivre une vie dure pour certains et misérables pour d’autres dans les autres coins de l’archipel. Du quotidien de nos foyers à commencer par la santé, l’éducation de nos enfants en passant aux matériaux de construction, les formalités administratives et des voyages, que dis-je mieux pour ne pas dire c’est le calvaire ? Mais pourquoi l’indifférence de notre part et ni même le courage d’en parler, on est réduit au silence.
Les médias interposés, les chroniques de la presse et radios si comme si c'est pas aux Comores. Pour pouvoir nourrir la famille une fois par jour au marché, finalement, il faut un portemonnaie de 15 000 francs avec modestie alors que, la meilleure famille et celle qui a une revenue mensuelle qui ne dépasse pas le 200 000 fc. Et là, nous croyons comme fer d'appartenir à un pays qui, ses économistes nous laissent croire à une croissance et voir avec des revenues intermédiaire. Si cela ne nous interpelle pas, c’est tout simplement parce qu’on est assisté en permanence par la diaspora et les pays amis des Comores.
L’orgueil de nos us et coutumes se voient déclassés du jour au jour, nos principes musulmanes dont nous devrons disposer sont déracinées, bref, personne ne se soucie pas des flambés des prix et de la vie chère de tous les jours des Comoriens. L’assistanat ne nous rend pas service, juste parce qu’une fois la famille au pays, demande une somme d’argent aux compatriotes de la diaspora, le code est envoyé aussitôt et surtout qu’aujourd’hui, les systèmes monétaires et de transfert d’argent fleurissent par tout dans le pays comme des champignons.
Personne dans ce pays ne veut pas suer son énergie pour gagner dignement son gagne pain et ni chercher à cultiver nos terrains inexploités ou par des initiatives de production comme faisaient nos parents. Mais aussi en face d'une gouvernance sans perspectives de production ou d'une politique d'auto suffisance alimentaire et qui sera probablement la guerre qui nous prend encours.
Et pourtant, notre dignité comorienne qui était l’embryon de nos us et coutumes " UFUKARA KAWUPUWA MILA " est mis fin avec cette adage. La raison et les bons mœurs n’existent pas. La bonne conduite est déclassé en arrière plan.
On voit même des jeunes s’afficher dans les réseaux sociaux juste pour mendier de l'aide pour toute une cause que se soit, alors que ce n’était pas dans nos traditions. Mais vraiment avec l’envie de gagner une vie facile et d’assistanat, nous rongent et nous réduits au silence de ce que nous font subir les politiques qui ne cessent de nous gouverner. Il est temps de se ressaisir et se mettre au travail au service de nos familles pour une nation bâti.
Bon week-end à toutes et tous !
Par Fayssoile Moussa
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