Comment peut-on ne pas s'apercevoir de la qualité intrinsèque, de l’ingéniosité, du caractère humble et de la probité professionnelle d...
Comment peut-on ne pas s'apercevoir de la qualité intrinsèque, de l’ingéniosité, du caractère humble et de la probité professionnelle de l'actuel argentier de l'Etat.
Ne pas lui reconnaître ces qualités serait de la malhonnêteté intellectuelle. Autrement, c'est vouloir tuer, dans l’embryon les avancés notables de notre économie nationale et cela grâce à la clairvoyance du chef de l'Etat pour avoir placé la personne qu'il faut à la place qu'il fallait. Sinon que dire des efforts incessants de notre brillant ministre des finances, du budget et du secteur bancaire.
Quelque soit nos divergences politiques, il faut à un moment savoir honorer ceux qui le méritent, et accepter les efforts des uns et des autres. Car comme dit l'adage: "il faut rendre à César ce qui appartient à César".
Qu'on soit noir, blanc, rouge, albinos, quand il s'agit de la reconnaitre les efforts d'autrui il faut savoir transcender nos divergences sociopolitique, régionale et/ou insulaire.
Pour la première fois de l'histoire des Comores indépendants, le Ministre des finances a su mobiliser nos propres ressources pour:
Doter notre pays de 3 centrales électriques et pour une stabilité énergétique on bascule vers le solaires: centrale solaire à Pomoni à Anjouan et Foumbouni à Ngazidja, et bientôt une autre dans la région de Oichili-Dimani;
Réhabiliter des infrastructures routières en enrobés, les accès de nos grandes villes désenclavées, des infrastructures ambitieux financés;
Retrouver notre souveraineté en matière d’organisation et de réalisation électorales (des élections référendaire, présidentielle, goubernatoriales, législatives et communales toutes financées sur fonds souverains);
Assurer la régularité de salaire des agents de l’Etat qui de nos jours perçoivent leur dû tous les 25 du mois, sans avoir recours à la mendicité.
Et de surcroit en guise d’accompagnement par ces temps difficile, plus de 13 000 fonctionnaires ont vu leur salaire augmenté alors que depuis plusieurs années leurs avancements étaient gelés !;
Rompre avec la politique de la mendicité,
C'est bien réconfortant de retrouver une souveraineté accomplie.
Dès son avènement à la tête du ministère des finances et du budget, les Comores ont renoué la confiance avec les institutions financières mondiales telles que le FMI et la Banque mondiale. Grâce aux efforts consentis, notre pays est aujourd’hui classé dans le rang des pays à revenu intermédiaire au même titre que le Sénégal, le Botswana et bien d'autres pays du monde.
Oui on était tous des élèves, on était tous dans les mêmes classes, on avait tous les mêmes enseignants et on a tous fréquenté les mêmes écoles. Mais certains d'entre nous ont pu réussir pendant que d'autres ont déserté l'école. Parmi les lauréats, certains obtenaient des mentions pendant que d'autres réussissaient de justesse.
Certes, on a tous obtenu le visa d'entrée à l'université, par conséquent, on avait le même statut d'étudiant mais on n’avait pas tous les mêmes aptitudes intellectuelles.
- Quand on réussit l'école primaire et secondaire, on dit qu'on a fait une bonne scolarité;
- Quand on réussit nos études à l'université, on dit qu'on a fait un bon cursus universitaire;
- Quand on réussit dans le marché du travail, on dit qu'on a fait une bonne carrière ;
Pour un footballeur, on dit qu'il a un très bon palmarès.
Pourquoi devrait-on donc refuser d'applaudir et d'encourager l'esprit de compétitivité quand il s’agit de la gestion de l'Etat et dans la foulée promouvoir une culture de l'excellence?
La fierté nationale résulte de la souveraineté du pays. Et cela se fait sentir aujourd’hui dans les domaines régaliens, dans le temps et dans l'espace.
Saïd Ali Saïd Chayhane, c’est le choix d'excellence du Président AZALI pour l'émergence des Comores à l'horizon 2030.
Tadjidine Ben Ahmed
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