Dans un point de presse ce matin, les Forces de la gendarmerie d'Anjouan (FGA), l'ancienne armée du colonel Mohamed Bacar, metten...
Dans un point de presse ce matin, les Forces de la gendarmerie d'Anjouan (FGA), l'ancienne armée du colonel Mohamed Bacar, mettent en garde les fauteurs des troubles à Anjouan et se déclarent du coté de l'émergence du président Azali.
«Il n'y aura pas de tournante en 2021. On se prépare pour 2030 conformément à la nouvelle constitution.»
Pour rappel : En mai 2007, Mohamed Bacar prend le contrôle militaire de l'île d'Anjouan à l'aide des Forces de la gendarmerie d’Anjouan (FGA) et aurait eu, à sa disposition, entre 600 et 800 hommes.
À partir de 2007, et plus encore après les annonces de débarquement de l'armée comorienne, en février 2008, le régime de Bacar se rend responsable d'un certain nombre d'exactions et de violations des droits de l'homme (incluant des actes de torture, d'arrestations arbitraires, d'exécutions extra-judiciaires, etc.), visant en particulier des civils anjouanais soupçonnés de soutenir l'Union des Comores.
Sa réélection en 2007 est déclarée illégale par le gouvernement des Comores qui prévoyait alors d'organiser de nouvelles élections en mai 2008, après la destitution de Bacar.
Le 25 mars 2008, une intervention militaire de l'Armée nationale de développement des Comores et de l'Union africaine, appuyée par la France, permet la reprise du contrôle militaire de l'île sans effusion de sang. Des exactions sont toutefois commises contre la famille et les proches de Bacar, arrêtés par les nouvelles autorités.
«Il n'y aura pas de tournante en 2021. On se prépare pour 2030 conformément à la nouvelle constitution.»
Pour rappel : En mai 2007, Mohamed Bacar prend le contrôle militaire de l'île d'Anjouan à l'aide des Forces de la gendarmerie d’Anjouan (FGA) et aurait eu, à sa disposition, entre 600 et 800 hommes.
À partir de 2007, et plus encore après les annonces de débarquement de l'armée comorienne, en février 2008, le régime de Bacar se rend responsable d'un certain nombre d'exactions et de violations des droits de l'homme (incluant des actes de torture, d'arrestations arbitraires, d'exécutions extra-judiciaires, etc.), visant en particulier des civils anjouanais soupçonnés de soutenir l'Union des Comores.
Sa réélection en 2007 est déclarée illégale par le gouvernement des Comores qui prévoyait alors d'organiser de nouvelles élections en mai 2008, après la destitution de Bacar.
Le 25 mars 2008, une intervention militaire de l'Armée nationale de développement des Comores et de l'Union africaine, appuyée par la France, permet la reprise du contrôle militaire de l'île sans effusion de sang. Des exactions sont toutefois commises contre la famille et les proches de Bacar, arrêtés par les nouvelles autorités.
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