Depuis le début de la pandémie de Coronavirus qui frappe le monde entier, les autorités comoriennes gardent le silence. De la gestion c...
Depuis le début de la pandémie de Coronavirus qui frappe le monde entier, les autorités comoriennes gardent le silence.
De la gestion chaotique des premières quarantaines venues de Chine au dossier du Grand Mufti révélé par les autorités françaises à Mayotte, le gouvernement continue de jouer avec la population comorienne.
Certains journalistes dénoncent le manque de communication sur cette pandémie.
La gestion de cette crise sanitaire a ouvert une brèche à la panique et à la récupération politique. Chaque partie manipule l'opinion avec, ces dernières heures, des tournures graves.
De la gestion chaotique des premières quarantaines venues de Chine au dossier du Grand Mufti révélé par les autorités françaises à Mayotte, le gouvernement continue de jouer avec la population comorienne.
Certains journalistes dénoncent le manque de communication sur cette pandémie.
La gestion de cette crise sanitaire a ouvert une brèche à la panique et à la récupération politique. Chaque partie manipule l'opinion avec, ces dernières heures, des tournures graves.
Pour la journaliste Faïza, les médecins doivent se montrer disponibles et communiquer : « Les 1000 comités scientifiques peuvent tous opter pour la politique de l’autruche, à moins qu’ils ne prônent une sorte de sélection naturelle où les plus faibles seront sacrifiés pour une immunisation de groupe, ou alors regarder les choses en face, et nous dire la vérité. Nous leur donnons la possibilité de nous dire la vérité parce que seuls eux devraient le faire. Ce serait plus « élégant ».
Les médecins qui sont déjà en première ligne devraient accepter nos micros, nos interviews et dresser le tableau de la situation au lieu de nous prévenir « nous sommes en off, prière de ne pas me citer ». Les médecins ne devraient pas avoir peur.»
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