Ce journaliste infatigable, professionnel, réformateur, à la plume limpide, concise et profondément pertinente, et connu pour sa cordiali...
Ce journaliste infatigable, professionnel, réformateur, à la plume limpide, concise et profondément pertinente, et connu pour sa cordialité, sa modestie, son calme et le respect de l’autre est aujourd’hui lynché et voué aux gémonies par ses soi-disant amis d’hier, y compris des jeunes journalistes qu’il a lui-même formés.
Son seul tort, c’est d’exercer sa profession où il veut et avec qui il veut en se reconvertissant à la communication institutionnelle et en acceptant de coordonner la presse de la présidence de la République.
En dépit de ce lynchage « facebookien », ce natif de Moroni est déterminé à s’employer pour une organisation des assises de la presse en vue d’émettre des propositions et de formuler des recommandations afin d’améliorer les conditions des métiers de la presse. La priorité sera l’adoption de la loi sur la presse initiée par le Conseil National de la Presse et de l’Audiovisuel(CNPA).
Son optimisme n’est nullement entamé : il espère faire bouger les choses en comme il avait su le faire à Alwatwan en ouvrant les colonnes du canal de l’Etat à toutes les opinions. Il dit qu’il y a urgence à peser sur le cours de notre histoire commune.
Son cheval de bataille sera, aujourd’hui comme hier, la défense de la liberté de la presse, la restructuration et le renforcement des organisations des médias.
En substance, il s’est fixé un contrat d’objectifs dont il émet le vœux de pouvoir remplir pendant que ses « amis » misent sur son échec avant même qu’il franchisse les portes de Beit-Salam.
Abdou elwahab Msa Bacar
COMMENTAIRES