ITSANDRA-MDJINI,MA VILLE ÉDUCATIVE,ADOPTIVE ME DÉÇOIT. WOUSTANRABOU MWINDJI WOUDJINGA. Itsandra Mdjini, autrement appelée Sankoulé...
WOUSTANRABOU MWINDJI WOUDJINGA.
Itsandra Mdjini, autrement appelée Sankoulé Al'aranbiya est l'une, si ce n'est en tout cas, pour moi, la première ville la plus civilisée des Comores. Son importance historique, commerciale, culturelle, religieuse dans l'archipel comorien n'est pas à démontrer.
Siège du pouvoir central, Beit-Salam, mais aussi lieu privilégié par les diplomates arabo-musulmans et occidentaux résidant aux Comores.
Par sa mosquée de vendredi que ces diplomates arabes y font régulièrement la prière, par sa plage splendide que diplomates, touristes étrangers se rendent, par la tombe du feu Alhabib Omar que beaucoup de comoriens par respect saluent sa mémoire en haletant ou en passant avec leurs voitures, comment une telle ville aussi d'envergure régional, national, mondial, peut se laisser être un paillasson sur lequel d'autres essuient pour arriver à leurs fins.
Comment une telle ville si fière, digne et multiples raisons y'en a de cette dignité, peut encore continuer à honorer ceux qui n'ont jamais manqué d'occasion pour nuire la réputation d'Itsandra-mdjiniens ?
En 2005, la ville d'Itsandra-Mdjini porte jusqu'aujourd'hui les cicatrices pour ses jeunes du quartier Béfouni blessés. Aucune enquête n'a été diligentée au moins pour savoir pourquoi cette brutalité à l'endroit de cette localité.
Pourtant les jeunes d'Itsandra-Mdjini en 1999 ont joué un rôle important pour l'inter-position de l'AND ayant permis le principal auteur de ce coup d'arriver au pouvoir.
En 2016, ensemble Fahami Said Ibrahim et Vice-président Djaffar et Maître Bahassan nonobstant le différend politique font une cause commune pour élire ceux malgré ce passé douloureux avec leur cité au pouvoir.
La récompense, c'est l'humiliation de trop. Fahami viré sans aménagement, Djaffar jugé presque à la perpétuité forcé à l'exil, son petit frère Bahassani, c'est l'emprisonnement.
Itsandra-Mdjini me déçoit car il ya un moment il faut dire Ngamkozo. Ce n'est ni une faute pénale, ni une désobéissance morale, ni un pêché de le crier haut et fort et sans violence. L'occasion électorale prochaine à Itsandra-Mdjini, les yeux y sont rivés.
Par Partisan Du Peuple Comorien
Par Partisan Du Peuple Comorien
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