Vivre dans un bidonville, une véritable violence sociale. DR La question mérite d'être mise en nue si l'on se réfère au protoco...
Vivre dans un bidonville, une véritable violence sociale. DR |
La question mérite d'être mise en nue si l'on se réfère au protocole d'accord de coopération entre la France et les Comores censé régir les relations entre les deux pays.
Dans la mesure où certaines dispositions y afférentes, constituent une reconnaissance de facto de la présence française dans l'île.
Dans la mesure où certaines dispositions y afférentes, constituent une reconnaissance de facto de la présence française dans l'île.
La raison est toute simple et peut être comprise par tous. Dès lors que le gouvernement Comorien admet que la présence des Comoriens à Mayotte relève du délit et à ce titre expulsable, cet acte vaut assentiment.
Si cet accord n'est pas accompagné d'un calendrier évolutif sur le devenir de Mayotte. Autant réfléchir, fût-ce les milliards promis, 150 millions d'euros dit-on. Une somme ventilée pour attirer l'appétit des dirigeants Comoriens, connus désireux.
L'accord prévoit la déportation vers les autres îles de quelques 5000 jeunes, que la France n'a pas su donné de l'avenir et qui sont tombés dans la délinquance. Imaginez 5000 délinquants présents à Moroni avec les conséquences que cela entraînent, vols, viols, crimes de toutes sortes.
C'est pourquoi il faut combattre cet accord, qui n'est en réalité qu'une convention d'adhésion pour les Comores, puisque les principaux points sont imposés par la partie française. Et que le déblocage des fonds ventilés est subordonné à la signature de cet accord.
Nous devrons refuser ces conditions soumises, car elles sapent notre souveraineté et notre honneur. Argent perdu rien est perdu, honneur perdu tout est perdu. L'accord soumis ne doit pas être signé en l'état.
Par Daoud Halifa
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