A suivre MAMADOU et surtout MOUIGNI BARAKA, on a l'impression d'une opposition tremblante, cachant mal une phobie d'affronter...
A suivre MAMADOU et surtout MOUIGNI BARAKA, on a l'impression d'une opposition tremblante, cachant mal une phobie d'affronter la vérité.
L'opposition n'a pas le droit de se faire petit face à un AZALI acculé par le peuple et l'Union Africaine. J'ai l'impression, partagée par des nombreux analystes, que l'opposition fuit les journalistes, évite les questions qui impose la vérité: est-il cohérent de comprendre que le régime parle d'élections de 2019 et que l'opposition dit poursuivre des négociations? Que font SAMBI, BARWANE, SIDI, MADI ALI, SAST..., toutes ses victimes de la politique en prison et que l'opposition hésite à en parler? Quel jeu jouent ces hommes?
L'opposition doit comprendre qu'elle doit faire des efforts pour avoir l'adhésion du peuple. A dire vrai, le peuple ne porte pas l'opposition sur son coeur. Pour lui, c'est opposition non de coeur mais de circonstance; certains pour ne pas dire la quasi majorité de ces opposants trainent des casseroles. C'est face à cette dictature sans foi ni loi que notre opposition doit se purifier, faire ses preuves et faire rêver un peuple échaudé par une gestion calamiteuse du pays par des hommes qui ne changent que des costumes.
Oui, je reconnais les efforts consentis, je désapprouve l'attitude de FAHAMI qui semble dire ne pas s'asseoir avec eux; mais je persiste sur la mise en garde de notre opposition en leur rappelant le caractère manipulateur et mensongère d'AZALI.
Il convient de résister contre la dictature, d'appeler un chat par son nom et de ne laisser aucune chance à la peur et à la naiveté. AZALI doit partir! AZALI doit payer pour avoir massacré les institutions de ce pays, d'avoir blessé le peuple. MOHAMED BACAR paie ce prix, pourquoi pas AZALI? Il entraine ce pays dans un spirale de violence, de haine et de rancoeur. Il instrumentalise la religion, moyen aisé d'attirer les fanatiques, les radicalistes.
Il ne mérite pas de détenir les cartes comme le dit MOUIGNI BARAKA! Il ne mérite pas le respect du peuple qu'il asservit. C'est AZALI qui doit demander pardon et non le contraire. Non à la prostitution politique, Messieurs de l'opposition! laissez libres les journalistes dans leur quête de vérité!
BEN ALI
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