Sambi: Le père de la stabilité retrouvée aux Comores
En cette période de mousse émergente, de tentative de réécriture de l'histoire, il est important de rappeler les faits pour les jeunes générations montantes. On ne permettra pas à Azali de parler d'opération d'interposition à Ngazidja quand il s'agissait d'un coup d'état qu'il avait fait pour torpiller le processus de négociation en cours et donner sans le savoir une bouffée d'oxygène aux séparatistes acculés par la communauté internationale à Tana.
On ne permettra pas à Azali de s'arroger le costume de défenseur de l'Unité nationale et de pourfendeur du séparatisme, quand sa gestion de la crise anjouanaise, n'était que fleur faite au promoteur de cette idéologie, quand sa gestion du pouvoir actuel sectaire et régionaliste ne fait qu'alimenter ce monstre.
Nous avons un devoir de vérité à défendre. La réconciliation nationale de Fomboni en 2001 n'avait en rien réglé à la crise anjouanaise. C'était une reculade face aux exigences séparatistes. (Voir ci dessous).
Malgré cet accord et la tournante, Azali n'était que président de Ngazidja et Mohéli. A Anjouan, il était simple citoyen et y allait pour voir son ami Moustadrane à l'occasion de Madjliss.
AHMED Bourhane
Malgré cet accord et la tournante, Azali n'était que président de Ngazidja et Mohéli. A Anjouan, il était simple citoyen et y allait pour voir son ami Moustadrane à l'occasion de Madjliss.
AHMED Bourhane