L'Université des Comores profanée
L'Université est un centre d'enseignement supérieur par la laquelle chaque étudiant ou étudiante est censé découvrir l'univers et apprendre des compétences adéquates qui vont lui permettre de s'affranchir à certains problèmes liés à la vie professionnelle. Or L'UNIVERSITÉ DES COMORES fait défaut à ce principe et est devenu un champs de bataille où les timides et les respectueuses sont automatiquement vaincus. Ces lieux sacrés ont été depuis un décennie profanés par certains professeurs dont l'expression : "avoir honte" ne fait pas parti de leurs vocabulaires.
Des enseignants méritant qu'on leurs apprend les bonne manières. Durant les deux périodes d'examens, l'expression célèbre selon laquelle "ye lavani yahatru yidja" reste sur leurs lèvres. Cette situation est pour nous autres particuliers un mal et pour les victimes un mal nécessaire. Ceci constitue de part et d'autres une abdication des valeurs religieuses, éducatives voire humanitaires.
Vous, professeurs de l'Université des Comores vous nous fêtes la honte. Chers lecteurs, je suis conscient que toute vérité, n'est pas bonne à dire. Mais il est temps d'enterrer cette dicton et dire NON à cette expression purement africaine qui nous immerge de plus profond. Chers lecteurs, cette université est profanée. Pourquoi ne pas en croire puisque certains professeurs et responsables de département occasionnent l'intrusion des casses vides.
Vous, professeurs de l'Université des Comores vous nous fêtes la honte. Chers lecteurs, je suis conscient que toute vérité, n'est pas bonne à dire. Mais il est temps d'enterrer cette dicton et dire NON à cette expression purement africaine qui nous immerge de plus profond. Chers lecteurs, cette université est profanée. Pourquoi ne pas en croire puisque certains professeurs et responsables de département occasionnent l'intrusion des casses vides.
Car tout le monde gère tout et sait faire tout. Ils sont forts. Ces cases volontaires introduites est une sorte nasse, une piège qui occasionne une autre module intitulé : " Réclamation". Ils sont très forts. C'est dans cette occasions que certains enseignants qui n'ont pas l'intégrité morale osent réclamer en retour devant nos sœurs ce qui peut être une valeur pour elles. C'est une honte pour la nation, une honte pour les valeurs de notre cher pays. C'est une situation qui attriste les parents sur le choix d'envoyer leurs filles à cette université.
Des cases vides : UNE NASSE. une expression inventée par les académiciens de notre université. Mais le plus comble de l'imprudence ce que les responsables du pays, les parents, toute la société sont au courant de cette façon, de cette bêtise : les payements en nature des passages, mais ils ferment les yeux, Ils ne disent rien et ils accusent tout le monde. Car dans un tel pays, on ne sait qui corrige qui puisque tout le monde en fait autant. Et pourtant, Il n'y a aucun échappatoire, cela continue toujours. Nos pauvres sœurs !!!! Mais, peut être, il n'y a pas un Dieu, un Dieu de pitié, un Dieu sauveur des innocents victimes d'actes blasphématoires. Si oui pourquoi pas un tornade à cette université pour sauver nos sœurs innocentes victimes.
Pourquoi un Dieu d'amour et de pitié à ses sujets n'intervient pas. Je préfère mettre un terme à mes propos par des propos qui ressemblent à ceux de la grande Royale, un personnage de l'Aventure Ambiguë : Je j'aime pas l'Université des Comores, je la déteste, mais mon avis, il faut y envoyer nos sœurs cependant. Ici présent, je verse des larmes de sang tout en sachant que très bientôt, nous souhaiterons faire parti de ce corps enseignant. Que vais-je devenir ? Que Dieu aide nos volonté de bienfaisance. Ahmed Takou, Ntsaoueni. Enseignant Chercheur