Sensible à la pauvreté dans laquelle vivent certains enfants à Mayotte, le collectif « Un sourire pour un enfant » organise régulièrement de...
Sensible à la pauvreté dans laquelle vivent certains enfants à Mayotte, le collectif « Un sourire pour un enfant » organise régulièrement des actions pour récolter des fonds qui leur permettra d'être notamment scolarisées.
Partie visiter Mayotte au mois de décembre, Caterina Serra en est revenue le cœur bouleversé par le sort de la jeunesse mahoraise. Depuis, elle a fondé le collectif « Un sourire pour un enfant » pour récolter des fonds et soutenir l’association Le village d’EVA qui se bat pour inscrire tous les enfants à l’école.
« Il y a beaucoup trop de mineurs qui errent dans les rues et qui sont souvent livrés à eux-mêmes, déplore Caterina.J’ai une amie sur place qui est éducatrice spécialisée et elle est très inquiète quant à l’avenir de l’île. Il faut absolument améliorer la situation car les jeunes sombrent chaque jour davantage dans la délinquance. »
C’est pour venir en aide à cette jeunesse mahoraise en manque de repères que Caterina et ses amis ont organisé un vide-dressing dans l’antre de l’association Le Camion, au 7 rue d’Archimède, dimanche. « L’association du village d’Eva a autant besoin de fonds que de vêtements et de fournitures scolaires, assure t-elle.Il faut autant que faire se peut soulager la souffrance des enfants de Mayotte. » Le cri du cœur de Caterina a semble t-il touché les acheteurs.
« Il y a beaucoup trop de mineurs qui errent dans les rues et qui sont souvent livrés à eux-mêmes, déplore Caterina.J’ai une amie sur place qui est éducatrice spécialisée et elle est très inquiète quant à l’avenir de l’île. Il faut absolument améliorer la situation car les jeunes sombrent chaque jour davantage dans la délinquance. »
C’est pour venir en aide à cette jeunesse mahoraise en manque de repères que Caterina et ses amis ont organisé un vide-dressing dans l’antre de l’association Le Camion, au 7 rue d’Archimède, dimanche. « L’association du village d’Eva a autant besoin de fonds que de vêtements et de fournitures scolaires, assure t-elle.Il faut autant que faire se peut soulager la souffrance des enfants de Mayotte. » Le cri du cœur de Caterina a semble t-il touché les acheteurs.
Par Rabah Ghoul© La voix du nord