Suite à l’article paru dans Habarizacomores.com le 10 Aout 2016, concernant l’affaire du « préposé collectif des victimes de DIJOUX » . Je ...
Suite à l’article paru dans Habarizacomores.com le 10 Aout 2016, concernant l’affaire du « préposé collectif des victimes de DIJOUX ». Je tiens à apporter les lumières qui suivent : Toutd’abord, Monsieur MASTABA, secrétaire général duditcollectif, vous vous positionnez comme une victime en prétendant être un arbre qui cache une forêt de 200 arbres tous victimes de ma personne alors que j’ai crains que vous n’êtesqu’une simple feuille du mauvaise herbe qui prolifère au sain d’un milieu plein de manipulations. Vous profanez à mon égard depuis plus de 6 mois des propos diffamatoires, injurieux et xénophobes… Et pourtant, étant un grand juriste, vous n’êtes pas sans le savoir les conséquences néfastes quepeuvent avoir vos actions sur ma personne, mon entourage, mes activités, ma famille….
Apres avoir usé des multiples procédures diverses maladroites, infondées, le juriste que vous êtes se transforme en clown de festival dont vous trouverez certainement un public averti de ce type de spectacle. En tout état de cause, je profite de votre publication pour démentir et condamner fermement, à titre personnel, et au nom des sociétés que je représente, les accusations mensongères que vous faites circuler à tout-va.
A cet effet, je me permets d’interpeller l’ensemble des autorités et en particulier l’administration judiciaire de seposer les questions suivantes. Est-ce-que ce genres de diffamations sont-elles un bon signal pour le milieu des affaires ? A qui pourrait profiter ces agissements ? En tout cas, ce n’est pas pour l’intérêt du pays ! Cependant, je tiens àsaluer la presse libre dans le rôle essentiel qu’elle joue dans la démocratisation du pays, mais je vous interpelle de bien vouloir toujours vérifier les informations et la crédibilité des faits.
Enfin, à mes proches, mes amis, mes clients et à vos lecteurs, je tiens à remercier tout ceux qui m’ont envoyé de message de soutien. Par ailleurs, j’informe mes clients que les choses avancent bien, certes mais au rythme de la conjoncture. Soyez rassurez que nous sommes tous ensemble dans la voix de la réussite de ce projet d’envergure nationale.
Pour clore, cet article, je vous dis Monsieur MASTABA, qu’être d’une nationalité française ne signifie en rien que je ne suis pas comorien car, au regard de mes 15 ans dans ce pays, de la valeur ajoutée que j’ai produite, je m’estime en droit de le clamer haut et fort que je suis plus comorien que vous. Ou bien dites nous ce que vous apportez à ce pays ?
Advis Dijoux