Par le passé, les médias Comoriens étaient dirigés par l’Etat et la censure lui appartenait. Aujourd’hui ils sont moins écoutés et sa liber...
Par le passé, les médias Comoriens étaient dirigés par l’Etat et la censure lui appartenait. Aujourd’hui ils sont moins écoutés et sa liberté d’informé est quasi nulle. Les limites de la censure sont de plus en plus repoussées. Les réseaux sociaux sont de nos jours, les sources majeures d’influence exercé sur chacun.
La portée de cette influence est plus ou moins importante selon le niveau d’instruction et de réflexion de chacun. En effet, il faut savoir discerner le vrai du faux informations, ce qui est exagéré.
Le réseau social étant un des objets d’information les plus courants, il présente un grand danger au niveau de l’influence médiatique:
Elle peut inculquer de mauvaises pensées par de nombreux intermédiaires, tels que les stéréotypes par exemple (image toute faite, décrivant un individu réduit à ses caractéristiques les plus superficielles, reflétant un jugement simplifié à l’extrême, ou encore erroné; donc restreignant quelque part l’opinion personnelle, et influençant notre conception de l’être humain et de nous-mêmes) ; ou provoquer la haine de l'autre, une guerre civile.
On peut donc dire que ceux qui détiennent l’information et la diffusent possèdent une immense responsabilité et peuvent par le biais des images et de paroles, transmettre des pensées malveillantes. Par conséquent tenter de passer des informations erronées et surtout de mauvaise foi.
Tous ces dangers étant invisibles au premier plan, ils peuvent bien sûr atteindre plus facilement un peuple ou les personnes les plus fragiles; c’est à dire les plus naïves ou les moins cultivées; celles-ci peuvent bien moins " s’auto-protéger " de la fausse information :
Il faut apprendre à utiliser le réseau social et à savoir décoder les messages qu’il diffuse pour ne pas être sous l’emprise de ses personnes mal intentionné.
Par Rafik Adili