En général on ne choisit pas ses ennemis par contre on choisit ses amis, parmi les ennemis de tes ennemis. Cet adage est vrai, surtout en p...
En général on ne choisit pas ses ennemis par contre on choisit ses amis, parmi les ennemis de tes ennemis. Cet adage est vrai, surtout en politique, aussi alors que depuis quatre décennies, nos gouvernants ont toujours préférés la facilité plutôt que l’action pour développer et apporter à la population le travail, la santé et les joies du modernisme, je milite pour le Candidat AZALI, car au moins lui , a laissé une situation claire et positive lorsque l’heure de la fin de son mandat a sonné et croyez-moi, la globalisation du marché appelle à des stratégies nouvelles plus élaborées et mieux adaptées et le modernisme que nous a démontré AZALI dans sa conception de la politique est plus crédible que celle que nous proposent Mamadou et autres.
Les politiques successives mises en œuvre depuis notre accession à notre indépendance se sont révélées inefficaces et contre-productives voire nocives pour le développement harmonieux de notre pays.
Les politiques successives mises en œuvre depuis notre accession à notre indépendance se sont révélées inefficaces et contre-productives voire nocives pour le développement harmonieux de notre pays.
La situation politique depuis le Premier Tour des élections présidentielles et des Gouverneurs des iles autonomes, démontre un point certain, le pouvoir est recherché par tous les moyens, non pour agir pour le bien du peuple mais bien pour continuer à s’enrichir personnellement !
Le coup de force, perpétré par le camp du pouvoir ,dans la nuit du 21 février dernier à consacré l’enterrement du processus démocratique ,né de la conférence nationale de 1990, elle-même arrachée après une longue lutte, qui nous permit d’en terminer une fois pour toute du régime dictatorial et mercenariat qui s’était installé, au Pays de 1978 à 1989 , sachez Sœurs et Frères Comoriens que le coup d’état de la nuit du 21 février n’est autre chose que le prolongement de l’opération conduite par l’armée nationale pour le compte du pouvoir au parlement national en 2015, dans le but d’empêcher la nouvelle majorité sortie des urnes de s’affirmer dans ses nouvelles prérogatives institutionnelles et constitutionnelles, heureusement, il y a eu un sursaut, un élan patriotique de cette opposition silencieuse qui prit ses responsabilités et permit cette remise en question d’un mouvement préparé par le pouvoir, certes on assista à ces agissements peu glorieux de certain politiques qui choisirent tout de suite la sécurité d’un poste ministériel, mais voyez-vous cette bassesse , même accompagnée d’une remise en grande fanfare de groupes électrogènes, sortis on ne sait d’où, la population n’en veut plus, elle veut des actes , des faits concrets, le Colonel AZALI, sait très bien qu’il faudra qu’il compte sur la volonté de cette population pour lui faire rappeler ses promesses !
Nous venons de connaître cinq années de récession, sauf pour les intéressés, n’est-ce-pas Ikililou ? Nous devons œuvrer, pour que cette « race » de politiques disparaissent à jamais de l’espace comorien, en soutenant le colonel AZALY SSOUMANI, c’est le choix de la raison, un choix utile, réfléchi, pour l’intérêt supérieur du Pays, mais me direz-vous êtes-vous certain que AZALI tiendra ses promesses ?
Le coup de force, perpétré par le camp du pouvoir ,dans la nuit du 21 février dernier à consacré l’enterrement du processus démocratique ,né de la conférence nationale de 1990, elle-même arrachée après une longue lutte, qui nous permit d’en terminer une fois pour toute du régime dictatorial et mercenariat qui s’était installé, au Pays de 1978 à 1989 , sachez Sœurs et Frères Comoriens que le coup d’état de la nuit du 21 février n’est autre chose que le prolongement de l’opération conduite par l’armée nationale pour le compte du pouvoir au parlement national en 2015, dans le but d’empêcher la nouvelle majorité sortie des urnes de s’affirmer dans ses nouvelles prérogatives institutionnelles et constitutionnelles, heureusement, il y a eu un sursaut, un élan patriotique de cette opposition silencieuse qui prit ses responsabilités et permit cette remise en question d’un mouvement préparé par le pouvoir, certes on assista à ces agissements peu glorieux de certain politiques qui choisirent tout de suite la sécurité d’un poste ministériel, mais voyez-vous cette bassesse , même accompagnée d’une remise en grande fanfare de groupes électrogènes, sortis on ne sait d’où, la population n’en veut plus, elle veut des actes , des faits concrets, le Colonel AZALI, sait très bien qu’il faudra qu’il compte sur la volonté de cette population pour lui faire rappeler ses promesses !
Nous venons de connaître cinq années de récession, sauf pour les intéressés, n’est-ce-pas Ikililou ? Nous devons œuvrer, pour que cette « race » de politiques disparaissent à jamais de l’espace comorien, en soutenant le colonel AZALY SSOUMANI, c’est le choix de la raison, un choix utile, réfléchi, pour l’intérêt supérieur du Pays, mais me direz-vous êtes-vous certain que AZALI tiendra ses promesses ?
Oui, parce qu’il sait très bien, qu’ayant dirigé notre Pays, il n’aura aucune excuse s’il retombe dans les erreurs du passé. L’histoire s’arrête quand l’homme n’agit plus et ce n’est pas demain que ce sera le cas, la vigilance de nous tous permettra à la peur de changer de camp, les Hommes et Femmes au pouvoir connaitront l’angoisse des contrôles, des résultats, car voyez-vous le droit sans la force est impuissant. La question qui mérite d’être posée dans ces heures particulièrement difficiles pour notre Pays, n’est pas de savoir ce que le pays dans son état de déliquescence actuel, peut encore offrir, mais plutôt ce que tout en chacun, peut consentir comme sacrifice, pour le tirer des griffes d’un pouvoir compromis, noyé dans un affairisme sournois et assassin.
Azali sera confronté à cette réalité implacable, il lui faudra agir vite et bien, il devra tenir compte de cette volonté populaire pour un changement, il peut se faire obéir par l’Armée, les Forces de l’Ordre, car quelque part elles reconnaitront un des leurs, même si de ce côté il y a aussi des précédents, mais il le sait donc il fera en sorte que cette faction de l’Etat soit fière de son travail ! Ne nous trompons pas d’adversaire ce régime est le mal incarné, une aberration de l’histoire. Dans le cas actuel des choses, AZALI est le seul recours crédible.
Il a démontré depuis quelque temps, qu’il est un homme de consensus, un homme pétri d’expérience et d’une grande capacité d’écoute. Il en a fait la preuve durant cette crise, sa loyauté et sa solidarité à l’endroit de ses sœurs et frères, ont fait montre d’une vraie autorité morale et d’humanisme. On peut toujours en exiger plus mais de toutes les façons l’homme public ne peut pas échapper aux éclaboussures des calomnies; d’autant il faut admettre, qu’il est plus facile de critiquer à posteriori qu’apriori, car la critique est facile, l’art est lésé.
Je ne peux conclure sans saluer la sagesse le courage et l’esprit de sacrifice consenti par le parti juwa et son leader Abdallah-Mohamed SAMBI , en apportant leur soutien à la candidature du colonel AZALY ASSOUMANI une décision certes qui n’a pas été facile mais dictée par la raison et le souci permanent de mettre toujours en avant l’intérêt supérieur de la nation avant l’intérêt partisan.
Maintenant Excellence Monsieur AZALI votre défi consiste à faire renaitre l’espoir dans le peuple en redonnant un sens à la vie de chaque citoyen comorien ; une belle manière de lui restituer une dignité bafouée et profondément altérée.
KAMAL ABDALLAH©habarizacomores.com