Je me nomme MOINAECHA Youssouf Djalali, femme opératrice économique Comorienne, formée à la Foi Musulmane, que beaucoup croyaient emprunter ...
Je me nomme MOINAECHA Youssouf Djalali, femme opératrice économique Comorienne, formée à la Foi Musulmane, que beaucoup croyaient emprunter un chemin où je pourrais me consacrer à une activité qui m’emmènerait à aider les plus nécessiteux, comme je l’ai fait avec l’hôpital que j’ai créé avec Caritas dans mon village aux Comores. Non, j’ai choisi une voie bien différente où les coups bas sont la norme : la Politique ! J’ai fait ce choix dans le seul but d’aider à promouvoir un projet de société pour les Comores .
Actuellement, la principale préoccupation des Comoriennes et Comoriens sur le plan politique c’est la question du Code électoral et de la tournante. Je suis satisfaite qu’actuellement une majorité de partis politiques et d’associations populaires réclament une table ronde pour résoudre ces deux problèmes et permettent ainsi à tous candidats d’avoir une chance d’être élu dans la transparence, l’équité et suivant un programme préétabli prenant en compte les exigences du peuple : la remise en état des services de santé , l’électrification des communes par le solaire notamment, l’eau pour tous et pour la jeunesse une école créative et sérieuse et du travail pour cette jeunesse désemparée et n’ayant plus d’espoir de pouvoir un jour vivre en bon patriote.
Franchement, je pense qu’on ne peut apporter aucune solution réelle aux défis quotidiens des Comoriens dans le cadre de ce régime politique. C’est un régime qui a été mis en place pour détruire la population Comorienne : détruire ses capacités d’agir, détruire ses droits et même détruire l’identité personnelle des gens. En 40 ans d’indépendance, nous n’avons plus aucun sens moral, c’est-à-dire la capacité de distinguer le bien du mal, la loi du plus fort est reconnue, nous n’avons pas pu instituer un Etat de droit ce qui fait qu’il n’y a pas de justice (même l’appareil judiciaire est au service du régime !) cela se voit car même notre qualité humaine s’est dégradée
Souvent j’ai personnellement l’impression qu’on ne peut plus mesurer notre résistance à ce régime qu’à travers nos innombrables tourments à travers nos efforts désespérés de survie ! Les gens du Pouvoir prennent pour des solutions concrètes ce que j’appelle des listes d’épicerie qui leur tiennent lieu de réalisations ! Pour nous, tenir une Assemblée du peuple Comorien, une sorte de Constituante serait un début de solution car on pourrait instituer un Etat de droit et par exemple régler la question de passation de pouvoir de façon démocratique et enfin commencer à réorganiser notre Société sur la base des nouvelles forces sociales d’aujourd’hui, avec la participation de la jeunesse
Oui, mon Frère je suis une Femme ! Oui, mon Frère je suis candidate à la Présidence de la République, pour apporter par le travail, la diplomatie le développement que notre Pays mérite : l’électrification par le solaire, l’eau pour tous par des forages et des pompes solaires, des services de santé capables de guérir et soigner la population qui a été trop longtemps abandonnée , des routes et moyens de circulation qui enfin feront des Comores un Pays normal et puis nos frères et sœurs agriculteurs nous devrons penser à apporter à ces travailleurs les moyens de bien gagner leur vie et en faire profiter leurs enfants.!
Voilà ce que je suis, une Candidate qui se veut libre de choisir la population comme témoin de ma volonté de faire démarrer la croissance, pour enrayer le chômage et redonner l’espoir à la jeunesse.
MOINAECHA YOUSSOUF DJALILA
Candid ate à la Présidence de la République
Oui, j’ai fait ce choix en pleine conscience de la rudesse de ce métier, car quand on voit la guerre que ce font les hommes entre eux dans l’arène politique, dans un Pays de 800.000 de citoyens, si 5 personnages de l’espèce que vous connaissez ont réellement le droit d’apparaître, vous pensez bien qu’ils ne sont pas prêts à laisser une Femme occuper la scène politique Je vais me présenter ma candidature à la Présidence de la République, mais je ne suis je ne suis ni militante d’un parti, ni présidente d’un organisme quelconque, si ce n’est Ambassadrice de Caritas, je ne négocie qu’avec la population Comorienne, avec le Peuple à qui je demande de voter pour moi, non par plaisir de gouverner mais pour apporter le Changement, apporter la croissance afin que le travail revienne au Pays, créer les conditions d’une réelle alternative politique, économique et sociale aux Comores. A cet effet, je libérerais l’économie comorienne sortir notre pays de l’Impasse politique, de la ruine économique et de la misère qui en a résulté pour la majorité de la population.
Actuellement, la principale préoccupation des Comoriennes et Comoriens sur le plan politique c’est la question du Code électoral et de la tournante. Je suis satisfaite qu’actuellement une majorité de partis politiques et d’associations populaires réclament une table ronde pour résoudre ces deux problèmes et permettent ainsi à tous candidats d’avoir une chance d’être élu dans la transparence, l’équité et suivant un programme préétabli prenant en compte les exigences du peuple : la remise en état des services de santé , l’électrification des communes par le solaire notamment, l’eau pour tous et pour la jeunesse une école créative et sérieuse et du travail pour cette jeunesse désemparée et n’ayant plus d’espoir de pouvoir un jour vivre en bon patriote.
Franchement, je pense qu’on ne peut apporter aucune solution réelle aux défis quotidiens des Comoriens dans le cadre de ce régime politique. C’est un régime qui a été mis en place pour détruire la population Comorienne : détruire ses capacités d’agir, détruire ses droits et même détruire l’identité personnelle des gens. En 40 ans d’indépendance, nous n’avons plus aucun sens moral, c’est-à-dire la capacité de distinguer le bien du mal, la loi du plus fort est reconnue, nous n’avons pas pu instituer un Etat de droit ce qui fait qu’il n’y a pas de justice (même l’appareil judiciaire est au service du régime !) cela se voit car même notre qualité humaine s’est dégradée
Souvent j’ai personnellement l’impression qu’on ne peut plus mesurer notre résistance à ce régime qu’à travers nos innombrables tourments à travers nos efforts désespérés de survie ! Les gens du Pouvoir prennent pour des solutions concrètes ce que j’appelle des listes d’épicerie qui leur tiennent lieu de réalisations ! Pour nous, tenir une Assemblée du peuple Comorien, une sorte de Constituante serait un début de solution car on pourrait instituer un Etat de droit et par exemple régler la question de passation de pouvoir de façon démocratique et enfin commencer à réorganiser notre Société sur la base des nouvelles forces sociales d’aujourd’hui, avec la participation de la jeunesse
Oui, mon Frère je suis une Femme ! Oui, mon Frère je suis candidate à la Présidence de la République, pour apporter par le travail, la diplomatie le développement que notre Pays mérite : l’électrification par le solaire, l’eau pour tous par des forages et des pompes solaires, des services de santé capables de guérir et soigner la population qui a été trop longtemps abandonnée , des routes et moyens de circulation qui enfin feront des Comores un Pays normal et puis nos frères et sœurs agriculteurs nous devrons penser à apporter à ces travailleurs les moyens de bien gagner leur vie et en faire profiter leurs enfants.!
Voilà ce que je suis, une Candidate qui se veut libre de choisir la population comme témoin de ma volonté de faire démarrer la croissance, pour enrayer le chômage et redonner l’espoir à la jeunesse.
MOINAECHA YOUSSOUF DJALILA
Candid ate à la Présidence de la République
Titre ©habarizacomores