Malgré de timides avancées, le statut des femmes n'a que peu progressé en Union des Comores., la principale raison: :le modèle patria...
Malgré de timides avancées, le statut des femmes n'a que peu progressé en Union des Comores., la principale raison: :le modèle patriarcal
Nous voudrions parler du parcours exemplaire de Madame MOINAECHA YOUSSOUF DJALALI, qui en tant qu'opératrice économique à la tête de plusieurs entreprises en Europe, a su séduire les financiers, les organismes économiques pour son pragmatisme et son courage, qui n'hésita pas de confier sa maison en sa ville natale pour permettre à un organisme CARITAS d'établir un hôpital, une maternité et bientôt un service pour les séniors.
Il faut savoir qu'en matière de condition féminine il y a eu quelques changements, mais toujours à petites doses, car la Société des Hommes veille à ce que cette émancipation reste toujours sous contrôle.
Le premier succès est la possibilité pour les femmes d'accéder nombreuses au travail salarié, mais l'égalité hommes-femmes reste à réaliser même au travail, car l'inégalité du traitement, à travail égal est quasi généralisée et les très hautes responsabilités restent interdites à la Femme.
La valorisation de la Femme dans la Société Comorienne est un résultat de ses possibilités de travailler, mais nous touchons là le vrai problème, cette concession masculine cache une réalité:la hausse de la pauvreté, les aventures extra-conjugales du mari, ont poussé les femmes à prendre un travail, afin de contribuer financièrement aux revenus du ménage, car hélas le salaire de l'homme du foyer est très souvent partagé pour différentes raisons.
L'éclatement de la cellule familiale, place de plus en plus la Femme comme Chef de famille et ce sans la reconnaissance de la Loi et encore moins de la Société Comorienne.
Et cette grande Dame, fidèle à sa Culture, à sa religion, qui a bravée tous les interdits dits de civilisation non seulement pour réussir mais pour devenir un modèle pour les Femmes bien entendu mais aussi les Hommes qui devant elle cherchent son point faible. Nous vous avons dit dernièrement qu'elle était veuve et qu'elle venait de prendre un époux, qui lui a compris que les Comores ont peut-être trouvés en cette Dame celle qui brisera ce joug du passé. En effet, nous voyons en France de nombreuses jeunes femmes Comorienne, modernes, intelligentes, combatives et voulant réussir d'abord professionnellement puis bien entendu créer un foyer.
Femmes des Comores, belles vous l'êtes, intelligentes aussi, courageuses, vous avez devant vous cette Dame qui vous ouvre la porte certes aux responsabilités, mais elles ne vous ont jamais fait peur, car tous les jours vous savez conduire votre famille vers ce que l'on appelle la joie de vivre et l'avenir de vos enfants.
Nous voudrions parler du parcours exemplaire de Madame MOINAECHA YOUSSOUF DJALALI, qui en tant qu'opératrice économique à la tête de plusieurs entreprises en Europe, a su séduire les financiers, les organismes économiques pour son pragmatisme et son courage, qui n'hésita pas de confier sa maison en sa ville natale pour permettre à un organisme CARITAS d'établir un hôpital, une maternité et bientôt un service pour les séniors.
Il faut savoir qu'en matière de condition féminine il y a eu quelques changements, mais toujours à petites doses, car la Société des Hommes veille à ce que cette émancipation reste toujours sous contrôle.
Le premier succès est la possibilité pour les femmes d'accéder nombreuses au travail salarié, mais l'égalité hommes-femmes reste à réaliser même au travail, car l'inégalité du traitement, à travail égal est quasi généralisée et les très hautes responsabilités restent interdites à la Femme.
La valorisation de la Femme dans la Société Comorienne est un résultat de ses possibilités de travailler, mais nous touchons là le vrai problème, cette concession masculine cache une réalité:la hausse de la pauvreté, les aventures extra-conjugales du mari, ont poussé les femmes à prendre un travail, afin de contribuer financièrement aux revenus du ménage, car hélas le salaire de l'homme du foyer est très souvent partagé pour différentes raisons.
L'éclatement de la cellule familiale, place de plus en plus la Femme comme Chef de famille et ce sans la reconnaissance de la Loi et encore moins de la Société Comorienne.
Et cette grande Dame, fidèle à sa Culture, à sa religion, qui a bravée tous les interdits dits de civilisation non seulement pour réussir mais pour devenir un modèle pour les Femmes bien entendu mais aussi les Hommes qui devant elle cherchent son point faible. Nous vous avons dit dernièrement qu'elle était veuve et qu'elle venait de prendre un époux, qui lui a compris que les Comores ont peut-être trouvés en cette Dame celle qui brisera ce joug du passé. En effet, nous voyons en France de nombreuses jeunes femmes Comorienne, modernes, intelligentes, combatives et voulant réussir d'abord professionnellement puis bien entendu créer un foyer.
Femmes des Comores, belles vous l'êtes, intelligentes aussi, courageuses, vous avez devant vous cette Dame qui vous ouvre la porte certes aux responsabilités, mais elles ne vous ont jamais fait peur, car tous les jours vous savez conduire votre famille vers ce que l'on appelle la joie de vivre et l'avenir de vos enfants.
Par Philippe DIVAY