J'apporte mon soutien à notre héros national, le général Salimou. Les Comores de ses dernières années, sont celles des crises incessante...
J'apporte mon soutien à notre héros national, le général Salimou. Les Comores de ses dernières années, sont celles des crises incessantes. Les Comoriens qui, en 1975 ont lutté pour l'indépendance des îles, vivent aujourd'hui avec un sentiment de déception et une très grande amertume. Après l'indépendance, notre pays a eu le malheur d'être dirigé par des hommes sans scrupule ni conviction. Et aujourd'hui, les Comoriens vivent dans l'extrême pauvreté. Entre accumulation des arriérés de salaires, chômage en hausse, impunité grandissante, un système éducatif en déliquescence, une corruption à tous les étages, etc. Il est vraiment temps que les Comoriens se réveillent.
En effet, les comoriens vivent au rythme des crises multiformes : crises sociales, crises économiques et financières, puis politiques, (...) Une chose est sûre, les Comoriens traversent une période très délicate. Ils vivent sans doute dans une période de tourmente profonde dont tout peut y arriver. On a besoin d'un unisson pour désigner notre sauveur qui mettrait les Comores sur les rails.
Et pour moi, notre rédempteur est entre nous. Dans les prochaines échéances électorales de 2016, j'apporterai mon soutien à quelqu'un de confiance qui sait honorer ce pays et cette nation souvent meurtris.Je soutiendrais celui qui incarnerait mieux le changement. Un homme ou une femme capable à redonner confiance aux comoriens. Pour moi, le général Salimou inspire confiance à la majorité des comoriens.
Pendant que les Comoriens d'Anjouan vivaient sous un règne dictatorial, en 2008, audacieux qu'il l'est, Salimou décide de donner l'assaut pour chasser l'ex homme fort d'Anjouan, Mohamed Bacar et ses lieutenants.
C'est de cet acte de bravoure que les Comoriens voient en lui le sauveur, le héros de la nation. Bravo général Salimou ! Une opération qui, aux yeux de la communauté internationale a été une réussite totale. De cette triomphe nationale, il s'est vu promu général de brigade par la volonté du peuple. En ce mois de mars 2008, les comoriens étaient fiers de leur armée qui a été jusqu'ici qualifiée « d'une armée de pacotille » et reléguée dans les rayons « des loosers ». La réussite de l'opération « démocratie aux Comores » de 2008 , est le symbole d'une unité nationale retrouvée. Cet acte nationale permet aux comoriens d'affirmer que le général Salimou devient naturellement le Père de l'unité des Comores. Il est notre libérateur, et tant pis pour ceux qui ne veulent pas citer son nom pendant la célébration de la libération d'Anjouan . Tant pis ceux qui n'aiment pas non plus citer les hommes qui font l'Histoire de notre nation. Encore une fois avec ces gens là du mauvaise foi, notre Histoire est têtue et on retient rien des faits.
Ainsi pendant que le pays traverse une zone de turbulence troublante, les comoriens ont du mal à retrouver l'espoir. Pour des raisons bien connues : les grèves répétitives des fonctionnaires d'Etat, les interminables coupures intempestives du courant électrique, les conditions calamiteuses de la santé, et les infrastructures routières délabrées (…) Je pense sincèrement qu'il faut changer les hommes pour changer aussi de politique. J'espère que 2016 sera l'année du changement, l'année du redressement économique, l'année d'une justice impartiale et équitable, l'année d'espérance, et du consensus national pour les comoriens. Pour de telles semences porteuses, je ne vois qu'une seule issue, qu'une seule personne. C'est le Général SALIMOU.
Wasoule Ouidah Belhadji.
Etudiant à l'Université de Paris8,membre actif de l'association l'Arc-en-ciel des étudiants comoriens de Paris8.
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
En effet, les comoriens vivent au rythme des crises multiformes : crises sociales, crises économiques et financières, puis politiques, (...) Une chose est sûre, les Comoriens traversent une période très délicate. Ils vivent sans doute dans une période de tourmente profonde dont tout peut y arriver. On a besoin d'un unisson pour désigner notre sauveur qui mettrait les Comores sur les rails.
Et pour moi, notre rédempteur est entre nous. Dans les prochaines échéances électorales de 2016, j'apporterai mon soutien à quelqu'un de confiance qui sait honorer ce pays et cette nation souvent meurtris.Je soutiendrais celui qui incarnerait mieux le changement. Un homme ou une femme capable à redonner confiance aux comoriens. Pour moi, le général Salimou inspire confiance à la majorité des comoriens.
Pendant que les Comoriens d'Anjouan vivaient sous un règne dictatorial, en 2008, audacieux qu'il l'est, Salimou décide de donner l'assaut pour chasser l'ex homme fort d'Anjouan, Mohamed Bacar et ses lieutenants.
C'est de cet acte de bravoure que les Comoriens voient en lui le sauveur, le héros de la nation. Bravo général Salimou ! Une opération qui, aux yeux de la communauté internationale a été une réussite totale. De cette triomphe nationale, il s'est vu promu général de brigade par la volonté du peuple. En ce mois de mars 2008, les comoriens étaient fiers de leur armée qui a été jusqu'ici qualifiée « d'une armée de pacotille » et reléguée dans les rayons « des loosers ». La réussite de l'opération « démocratie aux Comores » de 2008 , est le symbole d'une unité nationale retrouvée. Cet acte nationale permet aux comoriens d'affirmer que le général Salimou devient naturellement le Père de l'unité des Comores. Il est notre libérateur, et tant pis pour ceux qui ne veulent pas citer son nom pendant la célébration de la libération d'Anjouan . Tant pis ceux qui n'aiment pas non plus citer les hommes qui font l'Histoire de notre nation. Encore une fois avec ces gens là du mauvaise foi, notre Histoire est têtue et on retient rien des faits.
Ainsi pendant que le pays traverse une zone de turbulence troublante, les comoriens ont du mal à retrouver l'espoir. Pour des raisons bien connues : les grèves répétitives des fonctionnaires d'Etat, les interminables coupures intempestives du courant électrique, les conditions calamiteuses de la santé, et les infrastructures routières délabrées (…) Je pense sincèrement qu'il faut changer les hommes pour changer aussi de politique. J'espère que 2016 sera l'année du changement, l'année du redressement économique, l'année d'une justice impartiale et équitable, l'année d'espérance, et du consensus national pour les comoriens. Pour de telles semences porteuses, je ne vois qu'une seule issue, qu'une seule personne. C'est le Général SALIMOU.
Wasoule Ouidah Belhadji.
Etudiant à l'Université de Paris8,membre actif de l'association l'Arc-en-ciel des étudiants comoriens de Paris8.
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