(Agence Ecofin) - La Compagnie Nippon Export and Investment Insurance (NEXI), agence d’assurance et d’évaluation de risques, a mis dans s...
(Agence Ecofin) - La Compagnie Nippon Export and Investment Insurance (NEXI), agence d’assurance et d’évaluation de risques, a mis dans son viseur le projet Ambatovy, le gigantesque projet minier de production de nickel et de cobalt au Madagascar.
Une délégation de la compagnie japonaise, en séjour exploratoire sur les niches porteuses de la Grande Ile, a abordé la question d’Ambatovy, avec les autorités malgaches. « Le cas du Projet Ambatovy a préoccupé particulièrement cette délégation japonaise. Mais nous les avons rassurés», a déclaré à la presse le ministre d'Etat, Joeli Lalaharisaina, au terme des échanges avec la délégation japonaise.
Selon M. Lalaharisaina, le gouvernement malgache est « ouvert » aux partenariats et aux coopérations avec l'extérieur mais fait en sorte que « les investissements étrangers soient efficaces et bénéficient au peuple malgache, tout comme aux investisseurs».
« Concernant les permis miniers, la suspension des délivrances ne durera pas. Il faut juste régler certains détails», a–t-il souligné.
L’évolution du projet Ambatovy est « suivie de près pour que les nouveaux investisseurs japonais intéressés puissent davantage intervenir à Madagascar », a relevé Fuminori Inagaki, vice-président de la régie d’Etat au sein de NEXI, rapporte le 23 juin Midi Madagascar.
Le projet Ambatovy, au coût de 5,5 milliards $ et qui est entre les mains d’un consortium de grandes compagnies, produirait par an en moyenne 60 000 tonnes de nickel, 5600 tonnes de cobalt et 190 000 tonnes de sulfate d’ammonium sur 29 ans.
Une délégation de la compagnie japonaise, en séjour exploratoire sur les niches porteuses de la Grande Ile, a abordé la question d’Ambatovy, avec les autorités malgaches. « Le cas du Projet Ambatovy a préoccupé particulièrement cette délégation japonaise. Mais nous les avons rassurés», a déclaré à la presse le ministre d'Etat, Joeli Lalaharisaina, au terme des échanges avec la délégation japonaise.
Selon M. Lalaharisaina, le gouvernement malgache est « ouvert » aux partenariats et aux coopérations avec l'extérieur mais fait en sorte que « les investissements étrangers soient efficaces et bénéficient au peuple malgache, tout comme aux investisseurs».
« Concernant les permis miniers, la suspension des délivrances ne durera pas. Il faut juste régler certains détails», a–t-il souligné.
L’évolution du projet Ambatovy est « suivie de près pour que les nouveaux investisseurs japonais intéressés puissent davantage intervenir à Madagascar », a relevé Fuminori Inagaki, vice-président de la régie d’Etat au sein de NEXI, rapporte le 23 juin Midi Madagascar.
Le projet Ambatovy, au coût de 5,5 milliards $ et qui est entre les mains d’un consortium de grandes compagnies, produirait par an en moyenne 60 000 tonnes de nickel, 5600 tonnes de cobalt et 190 000 tonnes de sulfate d’ammonium sur 29 ans.