Ahmed Sambi corrompt des politiciens usant et abusant de la «notabilité» Un spectacle honteux, hideux et abominable. De l’opprobre et de...
Ahmed Sambi corrompt des politiciens usant et abusant de la «notabilité»
Un spectacle honteux, hideux et abominable. De l’opprobre et de la fange à l’état pur. Ce lundi 16 juin 2014, à la première heure, les principaux acteurs de la fronde haineuse menée contre Hamada Madi Boléro étaient reçus par le Gouverneur Mouigni Baraka de la Grande-Comore à Mrodjou. Pour rappel, cette fronde est menée par Salim Abdourazak, Damir Ben Ali, Saïd-Hassane Saïd-Hachim, Ali Bazi Selim, le Colonel Abdourazakou Abdoulhamid et Saïd-Mohamed Sagaf, et n’a qu’une mission: faire déculotter Ikililou Dhoinine en public, en l’obligeant à limoger, pour des futilités, Hamada Madi Boléro, le Directeur de son Cabinet chargé de la Défense, le seul et vrai collaborateur qu’il a, son seul rempart, uniquement parce qu’il a rappelé une évidence historique que tout le monde connaît sur le transfert de la capitale des Comores de Mayotte à la Grande-Comore par Saïd Mohamed Cheikh. Ce matin donc, les frondeurs ont pris la lourde responsabilité morale d’aller voir le Gouverneur Mouigni Baraka à Mrodjou, avec un ultimatum des plus honteux: «Si le Président Ikililou Dhoinine ne lâche pas son Directeur de Cabinet, c’est la Grande-Comore, à notre instigation, qui va le lâcher».
Ce nouveau naufrage n’a pas surpris l’analyste Saïd-Omar Allaoui, qui déclare: «Si le chef de l’État voulait limoger son Directeur de Cabinet chargé de la Défense, il n’aurait pas attendu que de vieux briscards qui n’ont laissé aux Comoriens aucun souvenir impérissable viennent lui dire leur Loi. Si le Président Ikililou Dhoinine, malgré toutes les réserves qu’on peut avoir à l’endroit de sa gouvernance, était convaincu que ces gens-là pouvaient lui apporter des idées et des projets, il y a longtemps qu’il les aurait nommés à des fonctions ministérielles. Mais, s’il ne les a pas nommés, c’est parce qu’il est convaincu qu’en présentant aujourd’hui leurs candidatures pour un poste de chef de quartier dans leurs villes et villages d’origine, ces gens-là n’obtiendraient même pas 8 voix. Est-ce qu’on se met martel en tête pour un Colonel Abdourazak Abdoulhamid, qui n’a même pas 8 électeurs derrière lui? Est-ce qu’on se fouette le sang pour un Ali Bazi Selim qui ne pourrait pas se faire élire dans sa ville d’origine, qui ne pourrait même pas mobiliser 8 électeurs, et dont le fils Mourad ne voterait pas pour lui? Pourquoi à Mohéli, aucun politicien ne fait d’Ali Abdou le centre de la vie politique à Syrie-Ziroudani, de Soilihi Mohamed le chef de la vie politique à Djoiezi, malgré sa proximité avec Ikililou Dhoinine, de Mohamed Hassanaly le chef de la vie politique à Fomboni, alors que ces politiciens mohéliens appartiennent à la même génération que leurs homologues de Grande-Comore? Est-ce qu’Abdoulhaffar Soilihi Mohamed va appeler son propre père pour solliciter son avis en politique? Nous savons qu’il ne le fera pas».
Se montrant encore plus incisif, Saïd-Omar Allaoui ne se fait pas prier pour affirmer: «Je suis en contact direct et permanent avec certaines figures proches d’Ahmed Sambi, et je peux affirmer que le but des notables politisés et manipulateurs de Grande-Comore repose sur la réconciliation entre Ikililou Dhoinine et Ahmed Sambi, seul moyen pour eux de se retrouver autour de la gamelle pour manger et exister, car ils n’existent plus. Ce sont des gens aigris qui ne représentent qu’eux-mêmes. Dans leur mouvement d’humeur contre Hamada Madi Boléro, ce n’est pas une personne qui est visée, mais l’honneur et la dignité de toute l’île de Mohéli. Nous subissons leurs injures depuis la période de l’autonomie interne, et à leur âge, ils n’ont pas honte de se lancer dans ce baroud d’honneur qui est celui du déshonneur».
Qu’est-ce qui se passe de nouveau, alors que pour tout le monde, l’affaire des «notables» contre Hamada Madi Boléro était censée avoir pris un terme? En réalité, alors que les gens commençaient à revenir à la sagesse, conscients qu’on n’exige pas publiquement d’un chef d’État la tête de son Directeur de Cabinet pour des futilités, les politiciens usant et abusant jusqu’à l’excès de la notabilité sont tombés sous le charme d’Ahmed Sambi, qui n’hésite pas à déployer les gros moyens que lui offre son passage à la Présidence de la République. En effet, son très fidèle Ahmed Abdallah Salim joue les Pères Noël, en distribuant les billets de banque à tout ce qui peut constituer une voix pouvant contribuer à éloigner Hamada Madi Boléro d’Ikililou Dhoinine. Comment des hommes qui ont incarné l’État acceptent-ils de tomber si bas et de se renfermer dans un rôle fait de mesquinerie et de petitesse?
Pour Saïd-Omar Allaoui, il faut voir le problème sous l’angle de l’insularité et ne pas avoir peur de dire les choses telles qu’elles sont: «Vraiment, nous autres Mohéliens sommes haïs et méprisés par ces gens des autres îles de l’Union des Comores! Il n’y a qu’avec les Mahorais que nous nous sentons considérés comme des êtres humains. C’est parce que ces dinosaures ont tout tenté contre le Président Ikililou Dhoinine et parce qu’ils ont constaté qu’ils ne réussissent pas qu’ils ont décidé de pousser le chef de l’État à la plus grave des erreurs politiques, celle consistant à agir sous la pression de gens qui ne sont élus par personne. Les dinosaures avaient l’habitude de percevoir des “salaires” et de bénéficier de carburant et même des véhicules achetés par l’État sous Ahmed Abdallah Sambi. Mais, le “petit Mohélien”refuse d’entrer dans leurs combines et de leur accorder des passe-droits, et c’est pour cela qu’ils le haïssent à mort. Ils croient que leur visite à Mrodjou, chez Mouigni Baraka, est passée inaperçue, alors que l’information est dans la rue, à cause du caractère puéril et antirépublicain de leur démarche. Ils estiment qu’ils ont le droit de faire des injonctions au “petit Président mohélien”. Ils ont été contre Saïd Mohamed Djohar, mais n’ont jamais cherché à l’humilier publiquement. Ils ont été contre Azali Assoumani, mais n’ont jamais poussé le bouchon et l’outrecuidance si loin. Contre Ali Soilihi, ils n’auraient même pas osé car le chef de la Révolution les aurait définitivement cassés. Mais, aujourd’hui parce qu’ils estiment qu’il y a un Mohélien là où il ne devrait pas être, et qu’il devrait être un simple suiveur suiviste, ils démontrent encore une fois que les Mahorais avaient eu raison de fuir la République de l’humiliation et du mépris de l’autre».
La visite de ce lundi 16 juin 2014 à Mrodjou est méprisable et indéfendable. Elle contribue à détruire le peu d’image qui restait de politiciens devant œuvrer pour le rassemblement du pays et non pour sa division. Aucune communauté insulaire n’a subi plus d’injures blessantes de la part d’autres communautés insulaires que les Mohéliens. Or, de mémoire de Comoriens, les Mohéliens n’ont jamais exercé des pressions publiques sur un chef d’État comorien. À Mohéli, les gens ont un répertoire des injures les plus blessantes proférées par les politiciens venus des autres îles. Pourtant, cela n’a jamais empêché les Mohéliens de vivre leur vie de la manière la plus normale qui soit. Pourquoi aujourd’hui, le rappel d’une vérité historique pousse des gens qui ont occupé par le passé d’importantes fonctions étatiques à la plus basse des mesquineries et des bêtises politiques? Les savoir sous la coupe financière d’Ahmed Sambi et d’Ahmed Abdallah Salim rabaisse leur respectabilité à un niveau déplorable.
Aujourd’hui, il est temps de comprendre qu’aucun politicien n’est au-dessus de l’humanité. Quand, le 31 mai 2014, j’ai publié un article expliquant que le Président Ali Soilihi n’a pas été assassiné par Robert «Bob» Denard, mais par un politicien comorien, un intellectuel comorien a tout fait pour que je révèle l’identité de l’assassin, qu’il connaît, d’ailleurs. Je lui ai expliqué patiemment qu’à la lumière du mauvais procès fait à Hamada Madi Boléro pour avoir dit la vérité sur Dieu Saïd Mohamed Cheikh, il n’était pas compliqué de comprendre qu’il est interdit de parler des hommes d’État grands-comoriens. C’est tout simplement regrettable car la République et la démocratie valent la vérité et non l’hypocrisie et le conformisme.
En tout état de cause, aujourd’hui, si Ikililou Dhoinine cède aux sirènes des anciens et se débarrasse de Hamada Madi Boléro, il doit préparer ses baluchons pour aller se reposer sous l’ombre des badamiers à Mohéli car ça sera fini de son régime politique. Il est poussé vers l’irréparable mais il lui appartient de savoir ce que lui veulent ceux qui défendent des intérêts d’une caste passéiste et travaillant de façon à casser l’autorité et le prestige de la République. On aurait voulu garder des dinosaures une image plus propre que des enfantillages ridicules.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Lundi 16 juin 2014.
Un spectacle honteux, hideux et abominable. De l’opprobre et de la fange à l’état pur. Ce lundi 16 juin 2014, à la première heure, les principaux acteurs de la fronde haineuse menée contre Hamada Madi Boléro étaient reçus par le Gouverneur Mouigni Baraka de la Grande-Comore à Mrodjou. Pour rappel, cette fronde est menée par Salim Abdourazak, Damir Ben Ali, Saïd-Hassane Saïd-Hachim, Ali Bazi Selim, le Colonel Abdourazakou Abdoulhamid et Saïd-Mohamed Sagaf, et n’a qu’une mission: faire déculotter Ikililou Dhoinine en public, en l’obligeant à limoger, pour des futilités, Hamada Madi Boléro, le Directeur de son Cabinet chargé de la Défense, le seul et vrai collaborateur qu’il a, son seul rempart, uniquement parce qu’il a rappelé une évidence historique que tout le monde connaît sur le transfert de la capitale des Comores de Mayotte à la Grande-Comore par Saïd Mohamed Cheikh. Ce matin donc, les frondeurs ont pris la lourde responsabilité morale d’aller voir le Gouverneur Mouigni Baraka à Mrodjou, avec un ultimatum des plus honteux: «Si le Président Ikililou Dhoinine ne lâche pas son Directeur de Cabinet, c’est la Grande-Comore, à notre instigation, qui va le lâcher».
Ce nouveau naufrage n’a pas surpris l’analyste Saïd-Omar Allaoui, qui déclare: «Si le chef de l’État voulait limoger son Directeur de Cabinet chargé de la Défense, il n’aurait pas attendu que de vieux briscards qui n’ont laissé aux Comoriens aucun souvenir impérissable viennent lui dire leur Loi. Si le Président Ikililou Dhoinine, malgré toutes les réserves qu’on peut avoir à l’endroit de sa gouvernance, était convaincu que ces gens-là pouvaient lui apporter des idées et des projets, il y a longtemps qu’il les aurait nommés à des fonctions ministérielles. Mais, s’il ne les a pas nommés, c’est parce qu’il est convaincu qu’en présentant aujourd’hui leurs candidatures pour un poste de chef de quartier dans leurs villes et villages d’origine, ces gens-là n’obtiendraient même pas 8 voix. Est-ce qu’on se met martel en tête pour un Colonel Abdourazak Abdoulhamid, qui n’a même pas 8 électeurs derrière lui? Est-ce qu’on se fouette le sang pour un Ali Bazi Selim qui ne pourrait pas se faire élire dans sa ville d’origine, qui ne pourrait même pas mobiliser 8 électeurs, et dont le fils Mourad ne voterait pas pour lui? Pourquoi à Mohéli, aucun politicien ne fait d’Ali Abdou le centre de la vie politique à Syrie-Ziroudani, de Soilihi Mohamed le chef de la vie politique à Djoiezi, malgré sa proximité avec Ikililou Dhoinine, de Mohamed Hassanaly le chef de la vie politique à Fomboni, alors que ces politiciens mohéliens appartiennent à la même génération que leurs homologues de Grande-Comore? Est-ce qu’Abdoulhaffar Soilihi Mohamed va appeler son propre père pour solliciter son avis en politique? Nous savons qu’il ne le fera pas».
Se montrant encore plus incisif, Saïd-Omar Allaoui ne se fait pas prier pour affirmer: «Je suis en contact direct et permanent avec certaines figures proches d’Ahmed Sambi, et je peux affirmer que le but des notables politisés et manipulateurs de Grande-Comore repose sur la réconciliation entre Ikililou Dhoinine et Ahmed Sambi, seul moyen pour eux de se retrouver autour de la gamelle pour manger et exister, car ils n’existent plus. Ce sont des gens aigris qui ne représentent qu’eux-mêmes. Dans leur mouvement d’humeur contre Hamada Madi Boléro, ce n’est pas une personne qui est visée, mais l’honneur et la dignité de toute l’île de Mohéli. Nous subissons leurs injures depuis la période de l’autonomie interne, et à leur âge, ils n’ont pas honte de se lancer dans ce baroud d’honneur qui est celui du déshonneur».
Qu’est-ce qui se passe de nouveau, alors que pour tout le monde, l’affaire des «notables» contre Hamada Madi Boléro était censée avoir pris un terme? En réalité, alors que les gens commençaient à revenir à la sagesse, conscients qu’on n’exige pas publiquement d’un chef d’État la tête de son Directeur de Cabinet pour des futilités, les politiciens usant et abusant jusqu’à l’excès de la notabilité sont tombés sous le charme d’Ahmed Sambi, qui n’hésite pas à déployer les gros moyens que lui offre son passage à la Présidence de la République. En effet, son très fidèle Ahmed Abdallah Salim joue les Pères Noël, en distribuant les billets de banque à tout ce qui peut constituer une voix pouvant contribuer à éloigner Hamada Madi Boléro d’Ikililou Dhoinine. Comment des hommes qui ont incarné l’État acceptent-ils de tomber si bas et de se renfermer dans un rôle fait de mesquinerie et de petitesse?
Pour Saïd-Omar Allaoui, il faut voir le problème sous l’angle de l’insularité et ne pas avoir peur de dire les choses telles qu’elles sont: «Vraiment, nous autres Mohéliens sommes haïs et méprisés par ces gens des autres îles de l’Union des Comores! Il n’y a qu’avec les Mahorais que nous nous sentons considérés comme des êtres humains. C’est parce que ces dinosaures ont tout tenté contre le Président Ikililou Dhoinine et parce qu’ils ont constaté qu’ils ne réussissent pas qu’ils ont décidé de pousser le chef de l’État à la plus grave des erreurs politiques, celle consistant à agir sous la pression de gens qui ne sont élus par personne. Les dinosaures avaient l’habitude de percevoir des “salaires” et de bénéficier de carburant et même des véhicules achetés par l’État sous Ahmed Abdallah Sambi. Mais, le “petit Mohélien”refuse d’entrer dans leurs combines et de leur accorder des passe-droits, et c’est pour cela qu’ils le haïssent à mort. Ils croient que leur visite à Mrodjou, chez Mouigni Baraka, est passée inaperçue, alors que l’information est dans la rue, à cause du caractère puéril et antirépublicain de leur démarche. Ils estiment qu’ils ont le droit de faire des injonctions au “petit Président mohélien”. Ils ont été contre Saïd Mohamed Djohar, mais n’ont jamais cherché à l’humilier publiquement. Ils ont été contre Azali Assoumani, mais n’ont jamais poussé le bouchon et l’outrecuidance si loin. Contre Ali Soilihi, ils n’auraient même pas osé car le chef de la Révolution les aurait définitivement cassés. Mais, aujourd’hui parce qu’ils estiment qu’il y a un Mohélien là où il ne devrait pas être, et qu’il devrait être un simple suiveur suiviste, ils démontrent encore une fois que les Mahorais avaient eu raison de fuir la République de l’humiliation et du mépris de l’autre».
La visite de ce lundi 16 juin 2014 à Mrodjou est méprisable et indéfendable. Elle contribue à détruire le peu d’image qui restait de politiciens devant œuvrer pour le rassemblement du pays et non pour sa division. Aucune communauté insulaire n’a subi plus d’injures blessantes de la part d’autres communautés insulaires que les Mohéliens. Or, de mémoire de Comoriens, les Mohéliens n’ont jamais exercé des pressions publiques sur un chef d’État comorien. À Mohéli, les gens ont un répertoire des injures les plus blessantes proférées par les politiciens venus des autres îles. Pourtant, cela n’a jamais empêché les Mohéliens de vivre leur vie de la manière la plus normale qui soit. Pourquoi aujourd’hui, le rappel d’une vérité historique pousse des gens qui ont occupé par le passé d’importantes fonctions étatiques à la plus basse des mesquineries et des bêtises politiques? Les savoir sous la coupe financière d’Ahmed Sambi et d’Ahmed Abdallah Salim rabaisse leur respectabilité à un niveau déplorable.
Aujourd’hui, il est temps de comprendre qu’aucun politicien n’est au-dessus de l’humanité. Quand, le 31 mai 2014, j’ai publié un article expliquant que le Président Ali Soilihi n’a pas été assassiné par Robert «Bob» Denard, mais par un politicien comorien, un intellectuel comorien a tout fait pour que je révèle l’identité de l’assassin, qu’il connaît, d’ailleurs. Je lui ai expliqué patiemment qu’à la lumière du mauvais procès fait à Hamada Madi Boléro pour avoir dit la vérité sur Dieu Saïd Mohamed Cheikh, il n’était pas compliqué de comprendre qu’il est interdit de parler des hommes d’État grands-comoriens. C’est tout simplement regrettable car la République et la démocratie valent la vérité et non l’hypocrisie et le conformisme.
En tout état de cause, aujourd’hui, si Ikililou Dhoinine cède aux sirènes des anciens et se débarrasse de Hamada Madi Boléro, il doit préparer ses baluchons pour aller se reposer sous l’ombre des badamiers à Mohéli car ça sera fini de son régime politique. Il est poussé vers l’irréparable mais il lui appartient de savoir ce que lui veulent ceux qui défendent des intérêts d’une caste passéiste et travaillant de façon à casser l’autorité et le prestige de la République. On aurait voulu garder des dinosaures une image plus propre que des enfantillages ridicules.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Lundi 16 juin 2014.